La Doctrine Classique
Commentaires Composés : La Doctrine Classique. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresart est fait. Mais quelles sont ces règles ? Moyen parfait de réaliser le beau ? La Corneille est libre. Il est consent qu’il a des préceptes puisqu’il y a un art mais il n’est pas constant qu’elle sont-ils. Il garde une certaine liberté. La Fontaine dit – le principal point est d’attacher le lecteur de le réjouir d’attirer malgré lui son attention de lui plaire enfin. Et on ne considère enfance que ce qui plait. Ce la grande règle et pour incendier la seul. La Fontaine proclame que l’art vise avant tout aux plaisirs du lecteur, il n’entend nullement que ce résultat puisse être obtenu par le hasard ou par le désordre. Pour Molière comme pour Fontaine et Corneille, la grande règle est de plaire. Ils acceptent donc les règles comme de bons moyens de plaire. Mais il prétendent ce passer d’Aristote. Et du toutes les érudites sont bon sens lui suffit. Ses autres ne sont faites, que pour parvenir à cette première. Une pièce qui plait ne peut pas être étudier l’Aristote pour y trouver le meilleur moyen d’arriver a son but. Boileau dit : n’offre rien aux lecteurs que ce qui peut lui plaire ! En général il s’agit d’observer les règles supérieurs il faut comprendre les véritables règles.
La querelle du Cid
On a écrive la traite contre Corneille parce qu’il ne respectait pas les règles. Les règles sont rigides.
SIECLE DE LA METHODE
En France au XVIIème siècle on passe dans tous les domaines de la confusion à l’ordre. Ce qu’ils sont aperçus sont la forme de la règle, laissant quand fait la valeur. La raison qui la dicte et la légitime. Le XVIIème siècle a tenu vers la règle par besoin de se soumettre. Soumis il a légitime son obéissance par son culte de leur raison.
LE RATIONALISME CLASSIQUE
Le culte de la raison est l’un de plus importants et il est le fondement de l’esthétique classique. Le gout de l’ordre et le gout de la raison – on est fatigue par la recherche de nouveaux thèmes et de curiosité dans le trésor retrouve de l’antiquité. Au XVIIème siècle on veut voir clair et juge avec certitude. C’est pourquoi se développe le rationalisme littéraire, de classique voisin du rationalisme cartésien. Le siècle a le même culte. Tout ce qui n’est pas conforme à la raison nous blesse. C’est a sa raison et non pas a son imagination ou a sa sensibilité que le poète doit faire appel pour donner a sa pense une valeur d’art. L’homme n’est l’homme que par la raison, dit on, en déprécions l’imagination. Notre langage est le langage des hommes raisonnables. Le génie de notre siècle est oppose a cette esprit du fable et de faux mystère. Nous aimons le vérité déclare, le bon sens préface aux illusions de la fantaisie. Rien ne nous contente aujourd’hui que la solidité et la raison. Le culte de l’ancien est subordonne aux cultes de la raison. Chez les classiques on considère le problème artistique du point de vue de l’universelle. On du point de vue de la société. Jamais du point de vue de l’individu.
L’art n’est pas pour un telle ou telle publique mais c’est l’éducation morale de toute la postériorité. Le poète doit observer un code des préceptes établis par tout a elle –même. Le système est facile à construire – raison éternelle, beauté universelle, règle permanente. La raison juge de la beauté. Le rôle dont la raison dans la création artistique. Les critiques et théoriciens recommandent aux poètes de ne pas se laisser à l’aide sans contrôle au feu de l’imagination, mais de guider cette force aveugle par le jugement. Le jugement est le bon sens. Boileau dans son « Art poétique » dit : ‘Tout doit tendre au bon sens !’ Les deux mots sont synonymes c’est a dire la tutelle de la raison impose a l’imagination. Tutelle sévère et tyrannique. Arrêtons le l’haine et l’enthousiasme. L’art classique n’est
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