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Sociologie politique

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Par   •  31 Octobre 2015  •  Cours  •  12 869 Mots (52 Pages)  •  1 188 Vues

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Sociologie

        • Le nom même de la discipline

Les classification administrative prennent plutôt le terme de « sciences politiques » alors que les praticien de la discipline valorisent la notion sociologique. Il y a à cela une raison c’est que une très large majorité de spécialiste ont tendance a réinscrire la science politique dans le département de la sociologie.

        

        • Le nom des partisans de cette discipline

Le nom des pratiquant de cet matière devrait être des « politistes » mais la thèse

minoritaire s’avance plus vers des politologues.

• Les difficultés générales.

Les difficulté de la société française face à cette discipline se posent sur des difficulté générales.

Ces premiers types de difficultés sont universelles.

Cette difficulté tient au mot politique lui même ==> un terme saturé de sens et de signification, on

ne parviendra pas à s’attendre sur la définition pure et simple des sciences politiques.

• Dualités

Portent sur la valeur attribué à la politique ou aux politique, depuis longtemps on peut distinguer des qualifications nobles ou plus polémiques.

Les qualifications nobles sont celles de la philosophie antique comme Platon ou de Aristote, le

politique serait cette activité permettant à une société nécessairement divisée ( humainement,

économiquement) de s’ordonner vers une fin supérieure. On avait une interprétation forte

de la valeur du politique se qui en fait une interprétation plus polémique. Le politique désignerai une activité dégradante qui va être associé à des images péjoratives.

Une deuxième dualité, elle concerne l’étendu de l’aire de l’activité politique. Nous rencontrons

une conception plutôt restrictive ou plutôt extensive. Selon la conception restrictive, le politique

serait un e discipline parmi d’autre au sein de la société. On le résume à un département

particulier. Selon la thèse extensive on s’appuierait sur « tout est politique » . La politique serai

omniprésente à travers de part et d’autre dans la société.

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Le politique devrait être restreint ou bien le politique pourrait s’appuyer sur de multiple activité.

Voilà les deux dualités présentes.

La notion même de problème politique peut être extrêmement mouvante selon les cultures et

selon les époques.

Les conditions intellectuelles on des répercutions sur les pensées de la société, il faut au

départ un accord minimum entre un certain nombre d’individu autour des objectifs de cette

nouvelles discipline. C’est la que se trouve le premier obstacle. Il faut que se développe parallèlement

des lieux des supports des acteurs qui vont permettre à cette nouvelle discipline se développer et de

s’inscrire dans la durée. La difficulté c’est aussi pour une nouvelle discipline candidate de rentrer

dans l’éducation pour donner naissance à une matière « scolaire ».

Pour lui le premier facteur était le démocratisation et la professionnalisation de l’activité

politique en France.

La laïcisation qui se fit au milieux de conflit émancipe l’étape de la brutalité religieuse. L’état se

développe va d’avantage intervenir sur des terrain sociaux, de la sécurité. L’appareil d’Etat

commence à se densifier. C’est un ensemble de facteur qui vont amener à une discipline spécifique.

Trois disciplines existante qui on par la même occasion considérablement retardé une discipline de science

politique autonome. Donc elle c’est dispersé entre trois discipline. La première qui est la

philosophie politique, la deuxième la sociologie et la troisième c’est le droit public.

La philosophie politique est derrière nous mais pendant une époque à réduit le retard de la science

politique. jusque vers les année 1950 la philosophie politique capté à sont profit l’essentiel des

questions politiques. D’une part la philosophie politique puise ses origine dans l’antiquité avec

Aristote et dans l’histoire. Elle c’est basée sur une finalité claire, il s’agit du phénomène politique

mais avec l’ambition fondamentale de dégager ce qui doit être le bon régime. D’opposer des formes

bonne d’organisation de la société à des formes mauvaises corrompues de la société.

La philosophie politique va très largement se conjuguer avec le développement des grands

affrontements politiques tout au long du XIX et dans la première moitié du XX. Tous les

affrontement politique vont se cristallisé dans des œuvres qui participait à cette bataille de la

laïcité. Elle regroupe le champs des affrontement politique. La longe hégémonie de la philosophie

politique en France au détriment d’approche plus neutre plus scientifique explique très largement

l’énergie que mettent aujourd’hui la majorité des politistes français à se détacher de la philosophie

politique à opérer entre distinction radicale entre philosophie politique et sciences politiques.

La sciences politique ne doit pas être rattaché à la philosophie politique. Tout d’abord la

philosophie politique serait de nature abstraite, spéculative, elle conduirait des réflexions parfois

intéressante mais détachée du réel. Alors que la sciences politique serait elle une discipline

rigoureuse expérimentale comme n’importe qu’elle autre science, elle soumettrait ses propositions

aux testes de l’expérience empirique. la philosophie politique chercherai depuis ses origines à

indiqué le bon régime à prescrire la forme de société vers laquelle il faut tendre. Alors que la

sciences politique se contenterai de dire ce qui est.

3- Droit politique

La question politique s'est un peu restreinte dans les départements de droit. Elle s'est confondue avec 2 branches importantes : droit administratif et droit constitutionnel. A partir des 50's, un certain nombre de juristes vont accepter d'élargir le champ du droit public et du droit constit à une connaissance plus globale des mécanismes de la vie politique. Une avancée cependant contrôlée. Burdeau écrit « la science politique est seulement une méthode pour une fructueuse étude du droit constit et un angle de vision élargi où s'inscrivent les pbs traditionnels du droit public » Jusque dans les 60's la science po n'est jamais perçue comme une discipline autonome, au mieux ce serai une branche du droit constit.

Section 2 – L'émancipation de la science po française

Un double visage apparaît : institutionnel et intellectuel.

André SIEGFRIED, est un homme de la 3ème république, le fils de l'un des premiers préfets républicains. Il est originaire des disciplines de Géographie et d'Histoire. Il a crée de nouvelles études sur la sociologie. Il met en relation les résultats électoraux et les origines sociales. Les sols granitiques (peu de culture, vote plutôt à droite) et les sols argileux (plus de culture, vote plutôt à gauche). C'est un homme qui a étonné à son époque par des études d'un genre encore peu connu.

Raymond ARON. Il vient d'un département de philosophie. Il sort de la promotion avec Sartre et Simone de Beauvoir. Les 2 hommes plutôt proche au début, les relations se sont éloignées par leur façon de voir la sociologie. On va lui demander de se préoccuper de la sociologie allemande et y faire un constat. Les écrits de Max Weber qu'il découvre en 1933 vont alors rythmer l’œuvre de Aron. Il publiera d'ailleurs « La sociologie allemande contemporaine ». Il sera témoin de a montée du nazisme. Aron n'avait pas un charisme extraordinaire et même si il avait plus souvent raison, Sartre resta l'homme le plus écouté. Il va formuler, le premier, l'idée de totalitarisme et faire l'état de la démocratie. Aron n'était pas non plus un marxiste mais reconnaissait les valeurs que Marx cherchait à faire passer.

Maurice DUVERGER. Il vient du droit public. Avant les années 2000, il était un homme que tout le monde citait. Il symbolise l'émancipation de la science politique par rapport au droit pour :

        . premier grand juriste d'après guerre a considérer les partis politiques et groupes d’intérêts, les élections et les modes de scrutins, de manière générale les partis politiques, comme des objets d'analyse tout a fait indispensable pour un juriste. Il publie « Les partis politiques » en 1951.

        . il va considérer la science politique comme une discipline à part entière et non pas « l'appendice » du droit constitutionnel.

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