Citations issues de Juste la fin du monde
Mémoire : Citations issues de Juste la fin du monde. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar maxbnt1809 • 2 Septembre 2024 • Mémoire • 587 Mots (3 Pages) • 97 Vues
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Citation Jean Luc Lagarce Juste La Fin Du Monde :
Louis :
- Plus tard, l’année d’après, j’allas mourir à mon tour
- Je décidais de retourner les voir […] pour annoncer […] ma mort prochaine et irrémédiable.
- Je décide de marcher le long de la voie ferrée.
- Donner au autres une dernière fois l’illusion d’être responsable
- Je me suis enfui, je visite le monde
- Je ne faisais rien, je faisais semblant
- Je suis mal a l’aise
- Cette pensé étrange et clair […] qu’on ne m’aime plus
- Qu’on m’abandonne toujours car je demande l’abandon
- Cette absence d’amour fit toujours plus souffrir les autres que moi
- On m’aimait déjà vivant comme on voudrait m’aimer mort sans pouvoir et savoir jamais rien me dire
- Je ne sis pas pourquoi il a dit ça
- Il a dût vous prévenir contre moi
- Excuse-moi, je ne savais pas (Ta gueule Suzanne)
- Je pensais que tu aurais pu être content que je te le dise
- Sans avoir rien dit de ce qui me tenais à cœur
- Je dis des mensonges, je promets d’être là, à nouveaux, très bientôt, des phrases comme ça.
Antoine :
- Cela vas encore être de ma faute
- Coupable aussi, de ne pas être assez malheureux
- Je devais me montrer « raisonnable »
- M’arrive-t-il quelque chose que je ne peux me plaindre
- Toi silence, O tellement silencieux, bon, plein de bonté, tu attend
- Ne me regardez pas tous comme ça !
- Je ne suis pas brutal, vous êtes terribles, tous, avec moi
- Ne me touche pas !
- Tu me touche ; Je te tue
- Celui-là se laissait battre, perdait en faisant exprès et se donnait le beau rôle
- C’est lui, l’homme malheureux.
- J’était convaincu que tu manquais d’amour.
- Nous pensions que en effet, nous ne t’aimions pas assez
- On devait trop m’aimer puisque on ne t’aimais pas assez.
- Malgré toute cette colère, j’espère qu’il ne t’arrive rien de mal.
- Nous ne savions pas te le dire.
- Rien, jamais ici, ne se dit facilement.
- Il y a longtemps que tu ne me connais plus.
- Je me taisait pour donner l’exemple.
Suzanne :
- Je ne voudrait partir mais ce n’est guère possible.
- Tu ne te rend même pas compte, tu est désagréable
- Son propre frère, il ne l’embrasse même pas
- Parfois, tu nous envoie des lettres elliptiques
- Jamais nous concernant, tu ne te sers de cette qualité
- Ce que je veux dire c’est que tout vas bien et que tu aurais eu tort en effet de t’inquiéter.
- Ce n’est pas bien que tu sois parti, parti si longtemps
Catherine :
- Il ne vous imaginent pas
- Tu ne veux laisser parler personne
- Il croit que vous ne vouliez rien savoir de lui
- Tu est un peu brutal
La mère :
- Antoine, voudrait plus de liberté
- C’est à toi qu’ils semblais vouloir demander l’autorisation
- Ce qu’il voudraient, c’est que tu les encourages
- Ils ne s’aimaient pas beaucoup, ils se chamaillait toujours […] ce furent les dernières fois et plus rien n’étaient pareil.
- Toujours, elle imagine et ne sait rien de la réalité
- Tu as fait et toujours fait ce que tu avais a faire.
- Ils ne doivent pas se souvenir, ils ne peuvent pas, ils étaient trop petits .
- Ils voudrait tout les deux que tu sais plus là
- Ils veulent te parler.
- Ils voudront t’expliquer mais ils t’expliqueront mal, car ils ne te connaissent pas, ou mal.
- Il ne se souviendront que de ce sourire
- Quel âge-est-ce que tu as aujourd’hui ?
Jean-Luc Lagarce :
Il n’y a pas assez de mots pour s’exprimer avec exactitude.
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