La Surmontee D'Une Souffrance Insurmontable

ice qu’ils ont acquis, ils l’ont fait exécuter le lendemain sans jugement. L’affaire des meurtres a été vite fermée puis la famille a été maltraitée à ce jour. Les citoyens du village étaient ignorants ; ils n’ont jamais questionné le conseil pour cette décision prise ni faire l’effort pour connaitre et savoir qui réellement était le coupable. Cette injustice était la raison pour laquelle ils étaient si maltraites. L’histoire de ces meurtres s’étaient vite propagées entre le peuple et racontaient à ce jour même. Maxime, âgé de 17 ans avait pris une décision importante, rendre honneur au titre de sa famille. Il ne pouvait plus soumettre aux insultes dites en direction de sa famille et aux punitions qu’ils subissaient. Sa mère lui avait souvent parlé de ses ancêtres, mais a été surpris que nul de ces ancêtres avaient fait un effort pour libérer leur famille de ce titre pitoyable. Sa colère et volonté lui donnaient le soutien pour se battre contre le village pour sa vénération. Il dit à sa mère :

-Je ne supporterai plus ses injustices imposées sur ma famille. Je me battrai matin et soir pour qu’on reçoive ces libertés qu’on mérite. Je ne pardonnerai jamais au conseil pour avoir établi Sakim comme meurtrier ; je me vengerai !

Après sa manifestation, sa mère lui répondit avec beaucoup de soutient :

-Tes remarques et décisions sont très justes et vrais ; dans ma jeunesse mon père ne m’avait pas laissé me manifester car il avait peur de déshonorais la famille encore plus.

Maxime répondit avec frustration :

-Au contraire ! Il est temps de se manifester.

-Je sais.

-Les conditions ne s’améliorent point, mais s’empirent. J’ai besoin de ton aide pour propager cette manifestation à toute la famille.

-Je serai toujours à ton support.

-J’aurai besoin d’aide de toi, Iman, Alardo, Jamal, Seclo, et le reste de la famille ! Il faut se manifester à ce jour.

-Je le ferai… Tu as bien raison ! J’ai une bonne nouvelle, j’ai appris que Jocaste et Lucile parlaient de commencer notre première manifestation en famille. Cela nous donnera une excellente opportunité d’élever nos différences et se parler entre famille.

Maxime n’a jamais été aussi heureux et fier de lui. Il aura pour la première fois uni sa famille depuis le scandale et se manifestera contre le conseil général. Il pensa souvent aux mots et paroles qu’ils devraient s’exclamer devant sa famille et le conseil. Il pensa aussi aux paroles de son père décédé qui avait une influence énorme sur Maxime. C’était un génie, il avait de nombreuses qualités qui auraient permis de s’échapper de la pauvreté ; mais leur titre de famille l’avait obstrué de ces possibilités. Il avait dit des mots très émouvants pleins d’inspiration :

-L’homme qui déplace une montagne commence par déplacer les petites pierres.

Ces mots d’inspiration lui avait permis de formuler un plan d’attaque pour regrouper sa famille et d’influencer le reste du village dont Maxime et sa famille étaient dignes. Il allait regrouper sa famille avec quelques mots émouvants de la souffrance que lui et le reste des membres de la famille ont plutôt éprouvé des injustices qu’il faut surmonter et combattre. Il se disait :

-Mais paroles pour les membres de ma famille devront être touchante pour les gagner de mon coter… Mais comment est-ce que je vais convaincre le village.

Il sut, il partira voir les proches de la famille qui a leur tour feront un effort pour propager notre manifestation et coup d’attaque contre le conseil général. Il faudra qu’il commence avec les gens pauvres pour qu’ils influencent les autorités de la classe au-dessus. Il pensa toujours aux paroles de son père :

« L’homme qui déplace une montagne commence par déplacer les petites pierres. »

Son plan était finalement compléter; il allait raconter ses décisions prises à sa mère puis convaincre sa famille de le joindre pour manifeste contre le conseil.

Maxime Alvardo était pré lendemain ; il avait changé quelques paroles avec sa mère et son oncle d’annoncer au reste de la famille de se réunir au centre du campement vers midi. Sa mère lui disait quelques mots d’encouragement avant de repartir regrouper la famille et lui souhaita bonne chance. Elle repartait regrouper la troupe avec Jacomo. Pendant qu’il attendait, il se sentit seul ; différent des membres de sa famille puis anxieux des décisions prises pour manifester devant le conseil. Des pensés troublantes se formaient dans sa tête :

-Est-ce que j’ai le courage de poursuivre cette quête pour la liberté, ou l’influence de convaincre le village ou le peuple, et l’encouragement qui me faudra pour compléter