Cas Ft

n, Thierry Breton, Didier Lombard et maintenant Stéphane Richard ont initiés les changements selon leur méthode, intimement lié à leur style de leadership.

Dans un premier temps, Michel Bon a entrainé FT par des investissements importants et mal anticipés dans un contexte de pertes financières et de dettes de plusieurs milliards d’euros. Par une structure décisionnelle extrêmement décentralisée, Michel Bon a conduit le changement de manière participative, déléguant excessivement son pouvoir décisionnel.

Dans un deuxième, c’est Thierry Breton qui reprend la barre. En court-circuitant la hiérarchie, il redonne le pouvoir à la direction mais attribut la conduite de certains projets à des groupes d’individus avec des objectifs précis (ex : recherche du gaspillage ou PO Leaders). On peut donc identifier la conduite du changement comme un style d’intervention. En effet, la direction contrôle le changement et délègue en partie sa coordination.

Didier Lombard lui, continuera sur la lancée de Thierry Breton, il réduira simplement la direction.

Succès ?

Dans le contexte d’endettement, les changements mis en place par Thierry Breton ont effectivement permis de diminuer la dette conséquemment, cependant, la crise suicidaire de 2009 souligne bien le malaise intervenu au sein de la firme d’abord par la mise sous pression du management de Thierry Breton puis des choix de Didier Lombard sur le même modèle. L’image de la firme s’est effondrée et la situation de crise a été extrêmement délicate à gérer au sien du contexte de crise que l’on connaît, interrompant le plan sociale de FT.

Les différents Leaderships

Michel Bon :