Fiche de lecture : Candide, Voltaire

Candide

Voltaire de son vraie nom François-Marie Arouet est un écrivain philosophique mais aussi poète, conteur et dramaturge des lumières (18e siècle). Voltaire, engagé dans son époque va participer à la rédaction de l'encyclopédie universelle en plus des nombreuses œuvres qu’il a écrit, Ces œuvres reste aujourd’hui importantes pour la littérature et ont très largement contribuées aux mouvements philosophiques du siècle des lumières.

Candide est un roman satirique écrit par Voltaire au 18e siècle (1759). Il raconte l'histoire d'un jeune homme, Candide, qui est élevé dans un château en Westphalie à l'abri du monde et de ses réalités. Il est convaincu que "tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles" grâce à la philosophie de son mentor, Pangloss. Cependant, au fil de ses aventures, Candide est confronté à la violence, à la pauvreté, à la maladie et à la misère et il est obligé de remettre en question ses croyances optimistes. Le livre est considéré comme une critique de la philosophie de Leibniz et de l'optimisme en général. Candide est un conte philosophique mais également une satire ironique et parodique. L'auteur privilégie le rire du lecteur pour dénoncer les travers de la société. De ce faite, même les noms des personnages a été choisi de façon bien définit. Candide=crédule et naïf et Pangloss=qui parle toutes les langues.

J'ai choisi le livre Candide de Voltaire pour plusieurs raisons. Tout d abords car il est question d’un voyage dans le livre et cela ma permit de me dire que le livre allait être amener à évoluer et que ça ne serait pas une histoire statique. Ensuite, la manière de faire grandir Candide intellectuellement est aussi intéressante car au début du livre il voit le monde uniquement par la vision de son maitre Pangloss qui adopte le raisonnement « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles » et au fil de ces aventures, Candide va donc être amené à rencontrer la réalité du monde et à réfléchir et voir par lui-même.

Le passage que j’ai le plus apprécié est celui de la rencontre avec le nègre chapitre 19 ligne 13 :

« Il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. « Eh, mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais, que fais- tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ?

J'attends mon maître, M.Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre.

Est-ce M.Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi ?

Oui, monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année. Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous