Lecture analytique (lorsque j'étais une oeuvre d'art) E.E.Schmit
Commentaire de texte : Lecture analytique (lorsque j'étais une oeuvre d'art) E.E.Schmit. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Alexis D • 4 Octobre 2019 • Commentaire de texte • 1 040 Mots (5 Pages) • 1 344 Vues
Lecture analytique (lorsque j'étais une oeuvre d'art) E.E.Schmit
Cet extrait marque la première rencontre entre les deux protagonistes du roman ZPL et le narrateur Tazio (Firreli) Placé au début du roman de lorsque que j’étais une œuvre d’art Cette scène montre Tazio perturbé dans sa tentative de suicide par un homme énigmatique qui lui permet de reporter son dessin macabre outré Tazio décide de ne pas lui prêter attention mais c’est sens compté sur la force persuasive du personnage et son caractère diabolique est sur humain cette scène contient les germe d’une relation ambigüe à la fois fusionnelle et destructrice. Comment cette scène mette-elle en place les bases de cette relation ambiguë
I) La confrontation entre les deux protagonistes
II) ZPL, une figure énigmatique et diabolique
I) La confrontation entre les deux protagonistes
a) Du caractère trivial, de la conversation
- Tout d’abord, après un incipit on ne peut plus surprennent car le roman s’ouvre sur la volonté du personnage principal à se suicider la suite immédiate est tout aussi surprenante. En effet, alors que le personnage est au bord du précipice, seul face à une nature déchainée, un autre personnage apparait de maniéré totalement énigmatique et rentre en discussion avec le narrateur pour le dissuader de se suicidés
- Le début de la discutions est également énigmatique « j’ai vu beaucoup d’homme et de femme se suicider » « je ne suis jamais intervenu » comment et pourquoi ce personnage à t-il déjà vu autant de personnage se suicider
- La discussion est surtout mener par ce nouveau personnage, les répliques sont plus longue, et argumenter et développer
- Comme dans l’incipit le narrateur apparait comme un personnage ridicule, qui manque de détermination est de volonté mêmes si il dit le contraire « je marchai d’un pas ferme vers le précipice et m’arrêtai tout aussi fermement sur le bord
b) Une véritable confrontation
- ZPL joue avec le héros un jeu sadique en la prouvant tout tant le contrarient dans son suicide. « je » vissant à le convaincre d’accepter sa proposition cherche à faire douter T du bien-fondé de sa décision. Il utilise une stratégie argumentative efficace. Dans la première réplique ZPL lui affirme qu’il ne veut pas qu’il meurt. Il enrobe ses propos en évoquent un obscure sentiment inhabituelle pour lui compte tenus de sa personnalité « moi qui ne prête aucune attention à mes contemporaine » dans la deuxième phrase ZPL justifie son première argument en jouent l’empathie est va dans ce sens de l’état d’espoirs du narrateur en le dénigrent totalement. On trouve du faite un vocabulaire péjoratif + l’adverbe d’intensité « si ». « physique découragent » « 20 ans sans fraicheur avec l’air déjà avariée vocabulaire lié à la nourriture. Il finit par se contredire en lui ordonnant de ce tué « je sauterais » de ce faite trouble jeté dans l’esprit du narrateur qui se sent blesser. Quelqu’un d’autre a émis un avis sur sa désistions ce qui fait qu’il ne sent plus mettre de celle-ci. « Comment l’homme au bagues se permet ’ile de me juger » périphrase il ne le connaît pas. Le narrateur reprend la conversation pour ce justifié.
- Dans la troisième réplique ZPL lui reproche son indécision alors que c’est précisément ce qui la voulue provoqué « ligne 26, faut-il toujours que vous contredisiez celui qui parle ? » parallélisme + antithèse souligne les hésitations du narrateur par rapport à sa désistions de se suicider. Le narrateur continue à se justifier (ligne 28-29) de se faite il est détourné de son principale objectif
Dans la quatrième réplique ZPL utilise un argument d’autorité pour formuler comme une vérité général afin de le rendre irréfutable « si on hésite au-delà de quatre minutes au
...