La Belle et la Bête : Deuxième Partie
Étude de cas : La Belle et la Bête : Deuxième Partie. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar carolineobrien22 • 7 Octobre 2016 • Étude de cas • 488 Mots (2 Pages) • 1 467 Vues
La Belle et la Bête : Deuxième Partie
Dans la deuxième partie de l’histoire ‘La Belle et la Bête’ de[a] Jeanne-Marie Leprince du Beaumont, la bonne et courageuse Belle se trouva prisonnière dans le palais de la Bête, à la place de son père qui cueillit pour elle une rose dans le jardin de ce monstre. La Belle était convaincue[b] que la Bête allait [c] la dévorer, mais elle découvrit, par de petits indices, que la Bête était en fait[d] bien complaisante. La Bête, gardienne discrète, laide et sans esprit, offrit à la jeune femme une belle chambre à coucher et de bon repas. En un rien de temps, la Belle découvrit que la Bête avait, en fait, de la bonté et un bon[e] cœur, une belle âme le faisait paraitre moins laid[f]. Pendant trois mois, à neuf heures chaque soir, la Bête demanda à la Belle si elle voulait l’épouser, mais sans faute celle-ci[g] répondit toujours avec chagrin ‘non’. Cependant, elle promit à la Bête qu’elle ne le quitterait jamais s’il la[h] laissait rendre visite à son père. La Bête lui accorda une permission[i] pourvu qu’elle revienne au château au bout de[j] huit jours. La Bête lui tendit une bague magique qui assurait[k] son retour au palais. Quand elle arriva[l] à la maison de son père, le viei[m]l homme cria de[n] joie lorsqu’il vit sa fille. Ses deux sœurs, jalouses et déçues du retour de Belle, mirent en action un plan de la garder chez elle plus de huit jours ce qui mettrait sûrement la Bête si[o] en colère qu’elle[p] la mangerait. Dix jours passèrent et la Belle se reprochait la tristesse qu’elle causait à sa belle b[q]ête. Elle enleva sa bague, retourna au palais et partit à la recherche de la bête qu’elle trouva sans connaissance dans le jardin. À ce moment, la Belle demanda à la Bête de l’épouser car elle ne pourrait plus jamais vivre sans lui. Le cœur de la Belle, ainsi gagné, rompit le sortilège et transforma l’horrible Bête en un joli Prince charmant. Une fée apparut et d’un coup de baguette, transforma les sœurs en statues afin de punir[r] leur arrogance et cœur méchanceté[s]. Le Prince et la Belle se marièrent et vécurent une longue vie heureuse ensemble!
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