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La liberté dans la littérature

Dissertation : La liberté dans la littérature. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  12 Juillet 2024  •  Dissertation  •  1 268 Mots (6 Pages)  •  100 Vues

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- Arendt : Arendt examine comment les régimes totalitaires utilisent des artifices de séduction pour manipuler les masses. Par exemple, les dirigeants totalitaires peuvent utiliser des discours enflammés et des promesses de grandeur nationale pour séduire les citoyens, les incitant ainsi à soutenir leurs politiques oppressives. Ces artifices de séduction visent à masquer la réalité de l'oppression et à donner l'illusion de liberté et de prospérité.

- Musset : Dans la pièce, Lorenzo utilise des artifices de séduction pour manipuler les autres personnages et les convaincre de se plier à ses desseins. Par exemple, il peut utiliser son charisme et son pouvoir de persuasion pour séduire les personnages faibles ou influençables, les amenant ainsi à agir selon ses propres intérêts. Cette séduction subtile masque souvent les véritables intentions de Lorenzo.

- Laclos : Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont, usent de séduction pour manipuler leurs victimes et les entraîner dans leurs jeux de pouvoir. Par exemple, ils peuvent utiliser leur charme et leur ruse pour séduire leurs proies et les inciter à participer à des intrigues machiavéliques, tout en leur laissant croire qu'ils agissent par amour ou par désir personnel. Ces artifices de séduction contribuent à maintenir les victimes sous leur emprise et à les manipuler selon leurs propres intérêts.

a) La perception individuelle de la liberté / La liberté n’est qu’une illusion ?

On condamne moralement (et pénalement) celui qui a mal agi : il aurait pu et dû agir autrement, il était libre, il est donc responsable de ses actes et de leurs conséquences. De même, quand on loue le comportement de quelqu’un, c’est par ce qu’on suppose qu’étant libre, il aurait pu faire d’autres choix. Mais avons-nous réellement le choix ou nos décisions sont-elles déterminées par des facteurs comme notre éducation, notre milieu nos expériences ou même nos gènes ? Ce débat oppose les partisans du déterminisme aux partisans du libre arbitre.

-Liberté par la compréhension des causes :

Nous sommes exactement comme la pierre qui est lâché et qui oublie qu’elle a été lancée/ le lancement. De la même manière, qu’on oublie nos idées, on oublie le lancement, on oublie le passé.

Admettons que la pierre pense et sache qu’elle fait effort pour se mouvoir. Cette pierre a conscience de son effort, croira qu’elle est très libre, elle se ment car on l’a lancé, elle est totalement déterminée dans sa trajectoire précise/ : la longueur du jet etc.… est prévue dans le lancement. Tout cela est déterminé par cette cause qui est le lancement, mais elle elle se croit libre par ce que une fois qu’elle est plus dans la main de celui qui l’a lancée, elle s’imagine qu’elle est libre  Voila l’illusion du libre arbitre.

Nous ne nous croyons libre qu’a proportion de l’ignorance des causes qui nous détermines.

On ne se libère pas aisément de la liberté, on ne se libère pas aisément de l’illusion du libre arbitre. Pourquoi ? Par ce que le seul moyen de se libérer du libre arbitre c’est de Connaitre les causes.

 Une fois qu’on les connait, on sait que tout est nécessaire et la vraie liberté c’est du coup l’intelligence de la nécessité. Qui coïncide avec ce que Spinoza va appeler, l’amour intellectuel de Dieu.

-Une thèse déterministe :

. Partons d’un exemple emprunté à André Comte-Sponville : c’est le second tour des élections présidentielles,

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