Lecture linéaire, acte II, scène 5, le malade imaginaire
Analyse sectorielle : Lecture linéaire, acte II, scène 5, le malade imaginaire. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar jemappellap • 12 Février 2023 • Analyse sectorielle • 1 393 Mots (6 Pages) • 1 651 Vues
Lecture linéaire 5
En 1673, Molière de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, comédien et dramaturge français, écrit Le Malade imaginaire, juste après la campagne victorieuse de Louis XIV en Hollande. C’est d’ailleurs cette victoire qui fait jaillir l’idée de préparer un spectacle mêlant musique et danse pour la cour et le Roi. Pour effectuer cette lecture, je répondrai à la question suivante :
En quoi ce texte nous apporte une vision plus large des relations humaines présentent dans la pièce ?
« LECTURE »
Le texte que je viens de vous lire est une partie de l’acte II scène 5 du Malade imaginaire. Dans ce texte, Cléante et Angélique déclare leur amour mutuel en chantant. Ce chant est suivi d’un dialogue entre Argan et Cléante.
Pour répondre à notre problématique, je vais organiser ma réponse en suivant les deux axes suivants :
- L’amour est exprimé dans ce chant.
- Le dialogue entre Argan et Cléante.
- L’amour exprimé dans ce chant
- Répétition dans la strophe 1 qui exprime une augmentation de la souffrance subie ici. - Antithèse ligne 4 : « vivre » « mourir » - Didascalie exprimée à voix haute « je soupire » 🡪 expression de ce que ressent angélique. - Intervention vulgaire de d’Argan ligne 10 qui montre un certain désaccord face à cette situation. On pourrait qualifier cette intervention de comique de mot ou de situation. - « Hélas ! » ligne 12 est élégiaque et exprime donc la tristesse de Cléante. - « amoureux » ligne 13 appartient au champ lexical de la galanterie, une expression poétique des sentiments qu’a Cléante pour angélique. - « Je ne m’en défends point » ligne 16, utilisation d’une litote pour exprimer le fait qu’Angélique affirme (ici son amour). - « Je vous aime » ligne 25/25/26, est un comique de répétition, ici utilisé sous forme de jeu. - Se pose ensuite la question de Philis qui était censé épouser Angélique, selon le bon vouloir du père : « Philis » ligne 29, répétition de « un rival » ligne 31. - « troubler ce doux transport » ligne 30, ce questionnement viens décevoir et stopper une certaine euphorie alors présente chez Cléante. - Angélique entreprend alors de rassurer Cléante contre une quelconque rivalité avec Philis : « je le hais plus que la mort » ligne 32. - « plutôt mourir » ligne 36/38. Répétition pour encore une fois rassurer Cléante, ici d’un désaccord possible du père : « un père à ses vœux vous veut assujettir » ligne 35.
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