Dossier sur lhumanisme

s mathématiques à la physique.

Pendant la Renaissance l’Europe a eu une trés grande quantité d’oeuvres d’arts dans le monde de la peinture. Il y a eu la peinture architecture et la sculpture mais aussi les arts décoratifs, tels le vitrail, l’orfèvrerie,la tapisserie, la céramique ou le verre.Pendant la Renaissance les gens vont comencer aussi a maitriser la perspective qui donne l’illusion du volume et il y a aussi Leonard de Vinci qui utilise le sfumato qui dégrade la coleur et la lumiére pour donner de la profondeur. La peinture a l’huile est aussi une innovation a cette époque.

Pour l’art de la guerre il il y a la cavalerie soutenu par les archers qui est remplace par des armes de feu. Et entre 1450-1550 ils vont utiliser aussi la poudre à canon.

Pour la médecine les connaissances du corps humain progresse. Michel Servet fait une description de la double circulation du sang dans le pulmos et Ambroise Paré dissèque les cadavres et effectue les premières ligature des artères. Vésale pose les fondements de l’anotomie moderne.

3) L’imprimerie est née vers les années 1450 . Incunable vient du latin « incunabula » qui signifie « berceau ». on utilise ce mot pour designer les oeuvres imprimées avant 1500. C’est aussi un ouvrage datant du berceau de l’imprimerie.

4) L'Encyclopedie nait au XVIIe siecle avec les Lumieres qui cherchent a compiler l'intégalité des connaissances de l'époque dans cet immense ouvrage

Portulan était une sorte de carte nautique qui servait a repérer les ports et connaître les dangers qui pouvait les entourer. Un Atlas est un recueil de cartes, presentées sous la forme d’un livre. Mercateur est un géographe, cartographe et mathématicien flamand. Il realise un systeme de lignes paralleles appelés merediens dont elles sont tres utilisées dans la navigation, pour les routes maritimes.

IV) Le domaine intellectuel et artistique :

1) En 1434 Cosmos Medicis inaugure la tradition du mécénat. Ils font construire des eglises et c’est eux qui vont aider les artistes a cette époque. Ces eux qui vont donner de manger et du logement. Ils comandait aussi des oeuvres, et les proteges les humanistes.

L’economie vers les XVI siecles augmente et provoque des changements importants ce qui donne des nouvelles catégories sociales, comme celles des banquiers, artisans riches, etc...Et ces ces gens qui vont favorisé l’épanouissement des arts et des lettres.

Les papes et les princes qui gardaint des oeuvres imprimes ou des manuscrites anciens qui étaint apportes aprés la chute de Constantinople, eux aide ausii les humanistes et en plus ils les encouragent les arts et ils protegent aussi les ateliers où les humanistes faisent des formations technique et scientifique. Les Humanistes bénéficient souvent d’un lieu où se reunir avec d’autres lettrés. Une Academie trés célebre qui est dans une villa de la famille Medicis s’appele Pic de la Mirandole.

Les princes , les banquiers ou les rois s’attachent aux humanistes et ils confient les postes

Clés chancelleries.

Les humanistes ne sollicitait pas l’enseignement traditionnel de l’universite et du coup ils s’opposent. Les Humaniste voulaint un type d’enseignement different avec de la pratique des langues anciennes, programmes encyclopédiques basés sur l’étude livresque, mais aussi sur l’observation de la nature. Rabelais et Montaigne le montrent bien pas ces 2 oeuvres, Pantagruel de Rabelais et Essais de Montaigne. Pour les humanistes, le savoir et l’érudition sont au service d’une meilleure compréhension de l’homme, du monde et de Dieu.

2) La Pléiade est un terme qui au départ désigne une constellation de sept étoiles, et dont s’était déjà emparé, dans l’antiquité, un groupe de sept poètes alexandrins.

Les poétes lyonnais plus connues sont Maurice Scève, Pernette du Guillet et Louise Labé.

Pétrarque est un poète italien qui s’est illustré notamment avec son oeuvre intitulé Canzoniere, recueil de sonnets.

Il a marqué ses successeurs au point qu’on peut considérer qu’il est l’inventeur d’un style poétique nouveau.

Le sonnet et une forme poétique d’origine italienne mais répandue dans toute la littérature européenne.

Un sonnet se compose de quatorze vers de même mètre, organisés en deux quatrains à rimes identiques embrassées (abba-abba) suivis d’un sizain.

3)

Jérôme Bosch est né vers 1450 à Bois-le-Duc ('s-Hertogenbosch), d'une famille modeste originaire d'Aix-la-Chapelle (van Aken = d'Aix-la-Chapelle), venue s'installer aux Pays-Bas deux siècles plus tôt. Son grand-père Jan van Aken et son père Anthonis van Aken ont aussi exercé le métier de peintre. À l'époque de Jérôme Bosch, les conflits sociaux étaient à leur apogée et la religion vivait une crise profonde. Au moment où la peinture florentine crée l'esthétique de la Renaissance, la peinture flamande reste fidèle à la tradition religieuse. Mais celle-ci, par le déclin du Moyen Âge, va subir une crise fondamentale dont Bosch est le reflet.

La Nef des fous, en allant plus loin que l'aspect burlesque qu'elle dégage au premier abord, est une critique de la folie des hommes qui vivent à l'envers et perdent leurs repères religieux.

Le monde qu'il peint est un monde renversé tel qu'on le retrouve dans la vie à l'époque (mis à part les interventions d'origine imaginaire de l'artiste). Ce n'est pas la tête qui règne ici mais le ventre. Si la tête ne règne pas, c'est qu'elle est folle. Sa folie est d'adorer le ventre, sa folie est le péché. Le péché de la gourmandise ainsi que celui de la luxure étaient des vices très répandus depuis longtemps dans les monastères. Bosch nous montre donc son regard sur le monde de l'époque en critiquant les mœurs dissolues du clergé, la débauche de la vie monastique et la folie humaine cédant aux vices.

Il dénonce les vices par la folie en les attribuant à des personnages appartenant apparemment aux classes inférieures de la société. Ainsi le convive qui vomit montre la débauche de celui qui succombe aux effets de l'alcool, une cruche serait le symbole du sexe féminin ou du diable, le poisson mort sans écaille est le péché, le masque de chouette regardant la scène symbolise le démon…

La nef des fous est un terme repris aux traditions des Flandres du xve siècle. En effet, l'œuvre de Bosch trouve aussi ses sources dans la littérature de l'époque. Publiée en 1494, La Nef des fous de Sébastien Brant accueille, dans sa nef symbolique, des fous de toutes catégories et fait défiler les faiblesses humaines. L'une de ses strophes dit : « Mieux vaut rester laïque que de mal se conduire en étant dans les ordres ». Beaucoup de similitudes existent entre ce livre et la représentation faite par Bosch. Un lien non négligeable avec L'Éloge de la folie d'Érasme est à faire. De plus, la métaphore de la barque était l'une des plus fréquentes au Moyen Âge. On la retrouve aussi dans La Barque bleue de Jacques Van Oestvoren.

Léonard de Vinci (Leonardo di ser Piero da Vinci écouter, dit Leonardo da VinciNote), né à Vinci le 15 avril 1452 et mort à Amboise le 2 mai 1519, est un peintre italien et un homme d'esprit universel, à la fois artiste, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, peintre, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain.

Après son enfance à Vinci, Léonard est élève auprès du célèbre peintre et sculpteur florentin Andrea del Verrocchio. Ses premiers travaux importants sont réalisés au service du duc Ludovic Sforza à Milan. Il œuvre ensuite à Rome, Bologne et Venise et passe les dernières années de sa vie en France, à l'invitation du roi François Ier.

Léonard de Vinci est souvent décrit comme l'archétype et le symbole de l'homme de la Renaissance, un génie universel et un philosophe humaniste dont la curiosité infinie est seulement égalée par la force d'invention. Il est considéré comme un des plus grands peintres de tous les temps et peut-être la personne la plus talentueuse dans le plus grand nombre de domaines différents ayant jamais vécu.

En italien, giocondo signifie « heureux, serein ». Léonard était sûrement conscient qu'il peignait non seulement le portrait d'une femme, mais aussi le portrait d'une expression. La Joconde constitue réellement le portrait de l'idée de sérénité, comme la maternité épanouie de Mona Lisa del Giocondo qui venait d'accoucher de son troisième enfant lors de la réalisation de son portrait.

Selon certains, La Joconde est aussi l'expression de la féminité, voire de la maternité, car elle semble apparaître comme tenant un enfant dans ses bras.

Daniel Arasse nous apprend dans un de ses ouvrages que le pont, qui figure dans le paysage, est le symbole du temps qui passe. Ce sourire est remarquable puisque il est l’un des premiers dans l’histoire de