Compte critique metropolisation
Note de Recherches : Compte critique metropolisation. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresr qui ajoute à la fragmentation de la ville une division internationale du travail. Ce fait a déterminé la création de fragments de villes autonomes et distantes comme les campus, les parcs à thèmes, les centres commerciaux. L’auteur signale que la forte dissociation existante est à l’origine de leur crise et de la difficile viabilité. Les clusters vont détruire la mixité et la distance entre les différents centres favorise par conséquence la dépendance par la voiture. Aussi le centre-ville court le risque de voir tous les fonctions présentes délocalisées par la fonction touristique. Ainsi, Venise est une ville qui vit petit à petit cette transformation: les habitants ne peuvent plus habiter le centre à cause de problèmes liés au tourisme et aux transports et il y a une migration vers les petites villes voisines. La course vers le symbole de la ville dans le monde est un objectif caché derrière la volonté de construire des tours de plus en plus haut pour arriver à être unique. Un exemple de la mondialisation de l’économie est visible dans le symbole du « M » de McDonald’s, qui en même
temps est un emblème d’un mode de consommation. On peut justifier cette tendance à partir de la constatation que la ville aujourd’hui est de plus en plus extirpée de son contexte et les citoyens éprouvent un besoin d’appartenance et de singularité. Selon l’auteur l’espace public a encore un rôle aujourd’hui, mais il faut faire attention sur ce concept parce que il n’est plus seulement « une place, une rue, mais un moment, à la fois d’urbanité et de société » où il y a de nombreux aspects mélangés. Une faiblesse du texte est le fait que l’auteur donne des principes qui sont très clairs et qui peuvent partagés par quiconque, mais il expose ses idées de manière très générale sans donner des exemples d’actions convenables : il dit qu’on doit sauvegarder l’intégrité de l’individu et la complexité de la société mais c’est difficile de comprendre l’actualisation du principe dans la réalité. On a fait une distinction entre deux différents modèles de « sprawl » : le bidonville du Lagos et le lotissement de Los Angeles. L’attraction de la ville est remarquable dans le phénomène du lotissement où la planification publique laisse place à la fragmentation individuelle avec la domination de la voiture. La tendance de l’étalement de la ville dans l’espace avec une diminution de la densité, en opposition à la nature originaire de la ville, est très remarquable en Europe et dans les États Unis. Le phénomène de la ville générique qui est décrit comme un modèle anarchique où la société s’auto-organise et la population augmente aussi si la condition de vie n’est pas meilleure par rapport à la campagne. Par exemple la ville de Lagos était témoin d’une croissance à un rythme très intense pendant les années 80 même si l’économie était en récession. C’est juste de reprendre aussi le chapitre précédent pour développer l’étalement de la ville. Est-il possible après les années deux mille de donner une configuration urbaine du Monde ? Est-ce que les villes peuvent encore être définies par une forme déterminée ? Après avoir visité « Bruxelles 2040 », une exposition qui veut donner trois possibles vision de la ville future, on commence vraiment à s’interroger sur quelle sera la configuration de la ville dans laquelle le développement urbain et démographique est toujours en hausse. Je trouve trop approximatif le départ de l’analyse de la « photographie de l’urbain» en proposant que deux seuls critères, celui du temps et des situations. Le mot situation peut être approfondi en différenciant les aspects sociaux et culturels d’un côté et le contexte géographique et le développement économique. Dans le but de définir une carte du monde urbain il faut représenter la mutation interne. Les mérites du texte sont la structure claire en paragraphes qui permettent au lecteur une lisibilité prédéterminée en relation aux titres et la capacité de relier beaucoup des thématiques actuelles. Entre les expressions artistiques qui veulent décrire « le mal de la ville » provoqué par l’aliénation vécu par l’habitant des grands immeubles on peut remarquer la contribution du réalisateur Stanley Kubrick au début de sa carrière de photographe était fasciné par l’étrangeté qui régnait dans la métropole par excellence : à New York dix millions d’habitants vivent ensemble sans se connaitre l’un l’autre et consécutivement, la vision de la ville était très personnelle.
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