Dossier interculturel sur la Belgique.
Rapport de stage : Dossier interculturel sur la Belgique.. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar wesley_0325 • 30 Novembre 2016 • Rapport de stage • 1 677 Mots (7 Pages) • 1 675 Vues
Introduction
Dans le cadre de ma formation en BTS commerce international, je dois réaliser un stage à l’étrange de 8 semaine. Pour ma part, j’ai décidé d’effectuer ce stage en Belgique dans la ville de Liège. Au court de ce stage je dois réaliser une prospection client. Suite à ce stage je dois composer un dossier interculturel qui a pour objectif de présenter la culture et les code du pays dans lequel je suis.
- Connaissance sur la Belgique en matière culturelle
Éléments historiques de la Belgique :
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La Belgique est séparée en deux grandes parties principales la Belgique francophone et la Belgique Flamande.
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Monuments célèbres :
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Fiche du pays :
Forme de l’Etat : Monarchie constitutionnelle[pic 10]
Roi : Philippe
Premier ministre : Charles Michel
Langues Officielles : Néerlandais / Français / Allemand
Capitale : Bruxelles
Superficie : 30 528 km²
Population : 11 239 755 Habitants
Monnaie : L’euros (€)
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Eléments économiques :
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Taux de chômage : 8.5%
Salaire moyen : 2.369 euros
Déficit public : 2,7% du PIB
En Belgique, il y a 30 % de familles monoparentales ou recomposées.
Les spécialités alimentaires :
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- Codes culturels et usages commerciaux en Belgique
Les différences de langage :
En Wallonie la langue utilisé est le Français, cependant il existe des différences avec la langue que nous connaissons en France, la plus grosse différence et sans doute la plus marquante est l’utilisation du verbe « savoir » à la place de « pouvoir », par exemple un Belge dira « tu sais me tenir la porte » pour dit « tu peux me tenir la porte ».
Au niveau des expressions « à tantôt » est utilisé pour dire au revoir et « ça va » et souvent mis à la fin des phrases.
Au niveau des codes culturels et usages commerciaux la Belgique et la France sont très similaire,
pour les présentations, elles sont brèves et la poigné de main est utilisé pour saluer l’interlocuteur. A la fin d’un entretien commercial les cartes de visite sont automatiquement échangées. Le style vestimentaire choisi est plutôt décontracté (jean, chemise).
Ces entretiens commerciaux restent relativement informels, les interlocuteurs adoptent une posture décontractée et le tutoiement est rapidement utilisé. Le langage courant est utilisé. Les interlocuteurs se touche parfois lors d’échanges, ils se regardent dans les yeux, le contraire est un manque de respect tout comme en France.
Dans les relations sociales les Belges sont très francs les uns envers les autres et n’hésite pas à manifester leurs émotions.
Lors de négociation il y a souvent des silences et des pauses qui ne sont pas gênant mes laisse le temps a l’interlocuteur de réfléchir.
La ponctualité n’est pas un point fort chez les Belges, ils partent souvent à la dernière minute pour un rendez-vous au risque d’être en retard. Le fait d’arriver 5 ou 10 minutes en retard n’est pas un problème pour eux.
- Les styles de management et cultures nationales
- Modèle de ET HALL
E.T. Hall met en avant l’importance du contexte pour la communication en général, la signification des mots et des phrases dépend du contexte dans lequel ils sont exprimés. Plus les personnes qui se parlent partagent d’informations, plus fort sera le contexte. Dans certains pays les individus ont besoin d’un maximum d’informations explicites pour communiquer et interagir alors que dans d’autre pays les individus observent plus les expressions du visage ou tout autres signe externe pour se comprendre et dégager des messages implicites des entretiens.
En Belgique, la communication est plutôt explicite, l’essentiel des informations se trouve dans le message lui-même. Les Belges se disent clairement les choses sur un ton informel et décontracté. On parle alors de culture a message pauvre.
En Belgique les distances physiques lors d’un échange sont semblable à celles de la France, c’est-à-dire environs 50 cm de distance. Par contre les Belges n’hésite pas à se toucher ou à s’approcher lors de la discussion.
E.T. Hall distingue les cultures monochroniques et polychronique ;
Cultures monochroniques :
Dans les cultures occidentales, la pensée fonctionne selon un schéma linéaire par lequel un effet entraîne une cause. E.T. Hall relie ceci aux fondements religieux de vérité révélée et considère que cela permet de comprendre la volonté de maîtriser son environnement.
Cultures polychoroniques
Dans les cultures orientales, passé, présent et futur sont interconnectés. Au Japon, on arrive jusqu’à une heure en avance à un rendez-vous.
En Belgique la culture est monochronique, les Belges sont souvent en retard et partent à la dernière minute pour un rendez-vous.
- Modèle de HOFSTEDE
D’après le modèle d’Hofstede, il y a quatre dimensions pour comparer un pays à l’autre :
- « Individualisme ou collectivisme » (IDV)
- « Distance hiérarchique forte ou faible » (PDI)
- « Contrôle de l’incertitude fort ou faible » (UAI)
- « La dimension « masculinité ou féminité » (MAS)
L’IDV (Individualisme) détermine le degré par lequel sont liés les individus aux groupes. L’échelle d’individualisme va de 0 à 100 et montre les caractéristiques générales d’une société. Si l’indice IDV est élevé, la culture serai plus individualiste et l’individu est au centre de l’intérêt. Si l’indice est plus bas, la société est plus communautaire.
Le PDI (Power Distance Index), définit le grade de la distance par rapport au pouvoir et montre la tolérance des individus face à une répartition inégale du pouvoir.
L’UAI (Uncertainty Avoidance Index) décrit dans quelle mesure une culture se sent menacée par une situation inconnue ou un évènement inattendu.
MAS (Masculinity) détermine la division des rôles des sexes dans une société. Un indice très élevé définit une culture masculine et fait une claire distinction entre les rôles exclusivement féminins et les rôles exclusivement masculins. En revanche, dans les sociétés féminines les rôles des sexes ne sont pas clairement différenciés. Cela veut dire que l’homme, par exemple, s’occupe aussi de l’éducation des enfants.
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