Comportement

Puceron Nipponaphis monzeni qui se sacrifie pour sa colonie. Une galle est une déformation présent sur des végétaux, sur les feuilles en printemps, qui est produite par des pucerons (par les femelles fondatrices en altérant biologiquement le dév° des plantes) par exemple et va servir à leur reproduction. Cette excroissance va abriter les nymphes (jeune puceron) ce qui permet leur protection. Quand la galle est endommagée les nymphes soldats vont la réparer grâce à l’hémolymphe (fluide corporelle) produite. Les nymphes vont ensuite étaler ce fluide pour colmater le trou mais ces actions sont fatigantes et la plupart individus vont y succomber.

Pour les bousiers la transmission des gènes dépend avant tout de leur habilité à manier leur pelote fécale. L’individu qui parvient à garder cette boule et à l’enterrer va pouvoir permettre à sa femelle d’y pondre ses œufs. Quand les petits vont naître ils auront de ce fait une resserve alimentaire jusqu’à l’âge adulte.    

Zones clés pour la biodiversité (ZCB) et aires protégées 🡪 outil essentiels pour lutter contre perte diversité biologique mondiale

Parc National de l’Ichkeul occupe 12 600 ha couvrant successivement la montagne (1.363 ha), le lac Ichkeul (8.500 ha), et les marécages (2.737 ha).

Principaux enjeux relatifs à l’interdiction certains usages directs (pâturage, pêche) pour population locale et réduction niveau eau dans le lac et la salinisation des eaux.

Méthodologie :

• Identifier et classer services écosystémiques : services d’approvisionnement, services de régulation, services culturels
• Estimer leurs valeurs utilisant différentes méthodes d’évaluation économique ainsi que leur distribution entre les bénéficiaires
• Établir liens entre qualités écologiques du site et importance de ces services par une analyse qualitative et quantitative des services écosystémiques
• Estimer valeur économique de l’amélioration de la biodiversité en utilisant la méthode d’évaluation contingente
• Comparer bénéfices rendus par le PNI, ainsi que valeur de l’amélioration de la biodiversité par rapport aux coûts des programmes de préservation du parc, y compris le coût d’une quantité d’eau additionnelle afin d’assurer l’équilibre de l’écosystème en année sèche