Finance

générale) ont annoncé fin 2011 de nombreuse suppressions d’emploi dans le secteur de la banque d’investissement et de financement. Cela traduit la volonté des banques de réduire leurs bilans aussi bien sur les activités de crédit que dans les salles de marchés. Il s’agit d’une mutation en profondeur du modèle de financement français de l’économie par les banques au profit des marchés. « Les banques française ont annoncé des réductions de leur bilan de 50 à 70 milliards d’euros d’ici 2013 ».

Les banques françaises ont en effet prévu de réduire leurs effectifs dans les banques de financements et d’investissements au profit de la banque de détails.

Cependant, bien que les banques françaises aient été durement touchées par la crise, ce sont les banques anglo-saxonnes qui ont en ont le plus souffert car leur partie de financement occupait une partie beaucoup plus importante que dans nos banques. L’activité principales des banques française étant la banque de détail, ont comprend alors pourquoi elles ont été moins touché par la crise.

Répartition entre les différentes activités de la banque (en% du PNB)

Ils faut cependant nuancer les conséquences de la crise sur les banques, notamment française, car comme nous le démontre le graphique ci-dessus, les banques française ont une activité de financement plus faible que leurs activités de banques de détails contrairement a leurs homologues anglo-saxonne, qui ont une activités plus tournés sur la spéculation boursières. Or ce sont les activités de financements et d’investissements qui ont le plus souffert de la crise. Par exemple selon le plan de licenciement de la BNP qui prévoit 1396 suppressions de poste, près de 60% concerne les activités de financement et d’investissement

Nouvelles stratégies

Les crises mondiales successives ont contraint les banques à s’adapter de manières rapides à la nouvelle donne économique. Elles ont pour la plupart réduit leurs voilures de trader, qui est une activité hautement risquée, surtout en cette période. Ces décisions ont aussi été poussées par des considérations éthique, morale et médiatique. On se souvient tous de l’affaire Kerviel qui avait défrayé la chronique, et de la Société générale qui à beaucoup perdu dans cette affaires, aussi bien sur le plan comptable qu’au niveau de son image de marque auprès de la clientèle.

Les banques françaises ont prévues de se concentrer sur leur activité de banque de détails, c’est-à-dire de financement de l’économie auprès des particuliers et des entreprises.

Causes et conséquences

Aucune banque ne peut dire qu’elle n’a pas souffert de la crise. Cependant elles sont aussi en partis responsables de la crise. Aux Etats-Unis les banques ont distribués des crédits immobiliers à des ménages modestes sans se soucier de leurs capacités de remboursement, puisqu’elles ont cédés ces mêmes créances sous formes de titres à d’autres intermédiaires qui les ont eux-mêmes mélanger à d’autres actifs puis recéder sur les marchés financiers. Ces créances douteuse ont changés plusieurs dizaines de fois de propriétaires, de sortes qu’il était impossible de reconnaitre ces actifs toxiques. Cela à engagés une période de méfiance de la part de tous les acteurs financiers, les banques ne se prêter plus entre elles sur le marchés interbancaire. Suite à cela l’accès aux crédits été rendues beaucoup plus difficiles pour les entreprises.

Les banques ont aussi eu un rôle dans la crise de la dette grecque. Il faut savoir que la banque Goldman Sachs à permis aux grecque de rentrer dans la zone euros en certifiant les comptes grecques à l’époque alors que qu’il aurait été assez facile de déceler des anomalies. Aujourd’hui c’est un continent entier qui est plonger dans la crise, depuis que la malversation à été découverte, la Grèce emprunte à des conditions très désavantageuse et met sa population dans la plus grande précarité. Ce sont les autres états européens qui doivent se porter garant de l’emprunt grec en créant un fond commun de solidarité. En effet la défaillance d’un des pays de la européens pourrait avoir des conséquences très grave pour toute la zone euros.

CONCLUSION

La récente crise mondiale à démontré la fragilité de certaines banques,