Friman Critique Strange

rciale comme une autre » pr certains…Strange souligne l’impact social de ces groupuscules, semblables les uns aux autres car a la recherche des rentes de monopole dans des activités illégales. (Frihman postule au contraire qu’ils ne sont pas tous semblables)

Frihman :

* les groupes diffèrent dans leur fonction (certes recherche de rentes de monopole, mais bcp agissent en tant que pourvoyeurs a titres de protection privée…d’autres préfèrent assumer des roles limités de biens et de services)…

* et dans leur caractéristiques internes : débat vieux comme le monde sur le degré réel d’organisation de ces groupes (Frihman estime que Strange surestime le degré de concentration de ces groupes à l’échelon national elle parle de centralisation et coordination des différents groupes…) En gros elle exagère de fait le défi posé aux état par le crime organisé en négligeant leurs caractéristiques internes

La conviction d’une menace réelle

Strange : menace réelle qui doit être perçue par gouvernants et chercheurs qui jusqu’ici semblent en minimiser l’impact. Deux responsabilités essentielles de l’Etat sont menacées :

* le pouvoir de l’état de percevoir des recettes

* son monopole sur l’emploi de la violence à l’intérieur de ses frontières territoriales.

Friman : elle flagelle les chercheurs et les gouvernants pr leurs discours réducteurs visant a minimiser ce phénomène, mais ne propose pas une véritable analyse CRITIQUE de ce discours.

Des réalités incontestables

Stranger :

* s’appuie sur des chiffres officiels pr accréditer l’existence d’une « pax mafiosa » (c'est-à-dire des liens entre les différents groupuscules, ou encore des similarités), avec le nombre croissant de passages illégaux a la frontière et de blanchiment d’argent (exemple : utilise les chiffres proposés par les Nations Unies)

* estimations sur le blanchiment d’argent : 100 millards de dollars générés par commerce de la drogue depuis 90.

Friman :

* Bien que les chiffres aient réellement augmenté ...les statistiques sur le crime organisé sont en général très contestables.

* Elle parle d’un essor du marché de la drogue depuis els 60’s en se basant sur les chiffres des organes de répression qui ont tout intérêt a pointer du doigt ce phénomène et se livrentt à une concurrence afin d’être reconnu comme source statistique officielle…Sans remettre en question les technique de recensement de ces chiffres.

* Enfin elle ne se soucie pas, de placer ces chiffres dans un contexte comparatif.

* le blanchiment d’argent par le crime organisé ne constitue qu’une petite partie des activités financières internationales illégales !

Susan Strange a contribué à légitimer le travail de spécialistes visant à

élargir le champ des relations internationales au-delà de ses paramètres

orthodoxes. En soutenant que des acteurs étatiques et non étatiques se disputent

le pouvoir dans le