Réflexion autour de la liberté et l'éducation

Parcours 1 : Réflexion autour de la liberté et de l’éducation.

Rabelais « Gargantua »

Montaigne « Essais »

Fénélon « Traité de l’éducation des filles »

Rousseau « Emile ou de l’éducation »

Contexte

16e siècle - Renaissance

16e siècle – Humanisme

⇒ Homme défend une opinion sur le monde qui l’entoure (→ réflexion sur l’enseignement)

17e siècle

Louis 14 impose le français de Paris avec Richelieu

Analyse

* Il critique l’enseignement de Thurbal Holoferne

* Vraie connaissance : ce qu’il faudrait apprendre pour se débrouiller dans la vie (savoir-vivre, conversation, vocabulaire)

* Le problème vient de la manière d’enseigner : il existe des gens très érudits qui ne savent pas mettre en pratique leurs savoirs

* Les élèves sortent de l’école plus prétentieux et non plus instruit. L’école ne vise qu’à remplir la mémoire et délaisse l’entendement

* Vraie connaissance : l’entendement, la conscience, l’instruction

* La société pense que l’éducation des filles n’est pas importante & que la seule chose qu’elles doivent savoir faire c’est gouverner leur ménage & obéir à leur mari

* Climat de supériorité éco & militaire ⇒ hommes ont confiance en eux, jugent le monde

* Femmes savantes travaillent la langue, le vocabulaire ⇒ elles sont critiquées

* Education = base de la société & contribue à la faire évoluer

* Apprendre aux élèves un petit nombre de choses justes & claires

* L’enfant reste instruisable

* On donne les outils pour apprendre

Conclusion

Rabelais s’oppose :

* À l’enseignement des sophistes (dispensé à la Sorbonne)

* Au fait d’apprendre de la matière incompréhensible par cœur (→ ne sert à rien)

* Au fait de répéter par cœur sans comprendre (→ psittacisme)

Remarque : [Précurseur des philosophes des lumières]

* Il faut différencier l’instruction selon la tâche à exercer.

* Fénélon est un progressiste car contrairement aux autres, il pense que l’éducation des femmes est importante

Voltaire « Questions sur l’encyclopédie »

Condorcet

Ledda « Padre Padrone »

Finkielkraut « La défaite de la pensée »

Contexte

Peu avant la révolution

Modernité: Fin 18e – début 19e →1970

Postmodernité : 1970 → aujourd’hui

Analyse

* Education pour la démocratie MAIS éducation par des dictâtes

* Tous les hommes n’ont pas des bases communes → éducation en fonction des classes sociales (OK si un peu éduqué veut être plus instruit)

* On ne peut pas avoir de démocratie correcte avec un peuple non instruit ⇒ instruction = base de la démocratie

* L’état ne peut pas imposer ses croyances

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