Cours radicalisme

e sur les questions de justice et d’égalité sociale, beaucoup de lois sont votées dans ce sens (27 fev 1880, conseil supérieur de l’instruction publique non lié à l’Eglise, les 6 facultés sous l’ordre moral de l’Eglise sont inutiles. Interdit l’enseignement aux congrégations non autorisées par l’Etat. Instruction modernisées et ouverte aux filles). Lois dans le sens des ouvriers (-10h par jour, interdiction travail dans les mines de nuits aux femmes et aux enfants.) Opportunistes et radicalistes : opposition à une réforme violente. Ecole gratuite, mais des frais, enseignement dans les lycées plus accessibles, favoriser l’éclosion d’aptitudes diverses. Impôt unique sur tous, par rapport aux revenus. Bourgeois s’est heurté la réforme. Opposition importante à la politique coloniale, dont Ferry. Parallèle à la mouvance du solidarisme, responsabilité entre deux ou plusieurs personnes, devoir d’assister ceux qui sont dans l’infortune. Occasion d’une opposition : Clémenceau. Supprimer la Chambre Haute. Tout révolutionner. (affaire Dreyfus)

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1901 : le parti éclate en deux.

Octobre 1893 : création du Comité, qui fusionnna avec une assos pour les réformes républicaines. But :préparer les élections de 1902.

Rassemblement en fédérations auxquels peuvent adhérer les comités de base ; l’organisme central est le Comité exécutif qui gère l’administration et la gestion du parti entre les congrès. Membres de droit, notables locaux. Bureau de 33 membres, exécutif,

Place prédominante du parti radical. Amène des modifications : place centrale, plus à gauche mais très structuré et de plus au pouvoir donc modifie leur position dans le paysage politique. Statut des fonctionnaires, question de l’apprentissage professionnel. Le parti radical trouvait ce fondement dans des notions ‘basiques’.

Les tensions entre radicaux et socialistes sont fortes, notamment sur la question de la propriété privée, les radicaux sont contre la socialisation. Intérêt d’un import global et progressif. Faisaient partie du bloc de gauche. Prise en compte du prolétariat. Appelle à l’union républicaine en 1901. Mais garde les idées distinctes.

Concordat aboli en 1905, symbolise la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Les radicaux doivent faire face aux difficultés des contestations internes, reprennent leur programme en 1907 ; Abolition de la peine de mort, dévouement absolu aux institutions républicaines, détruire tout ce qui est hostile à la démocratie, constitution sociale plus rationnelle pour le prolétariat, code du travail et de la prévoyance sociale (rachat des voies de chemin de fer, nationalisation).

1901 loi liberté d’association.

Le Parti à cette époque apparaît par un organe de démocratie important, les citoyens peuvent s’exprimer à travers eux (optique de Léon Bourgeois).