Le droit d'avorter- pour ou contre
Dissertation : Le droit d'avorter- pour ou contre. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar ritamk • 15 Février 2018 • Dissertation • 1 201 Mots (5 Pages) • 891 Vues
« Le droit d’avorter – plus encore que la contraception – a mis au jour une éthique radicalement nouvelle : les droits de la femme passent avant ceux du fœtus et avant les devoirs de la mère. Entre l’humain en puissance et l’individu en acte, le XXe siècle a tranché en faveur du second [1]».
Le droit de la vie, c’est un droit à naître. La libre disposition de soi marque aux autonomies fondamentales s’attachant à la protection d’un être humain. En plus, l’avortement c’est le bannissement d’un fœtus ou d’un embryon hors de l’utérus. Annuellement, le nombre de IVG (interruption volontaire de grossesse) dans le monde est approximativement de 42 millions, dont près de 22 millions sont appliqués illégalement dans des situations agressives.
À qui la priorité, la liberté de la femme de prendre décision d’avortement ou bien le droit de la vie du fœtus ?
Dans un premier temps, nous allons discuter à propos des limites et des causalités de l’avortement, et dans un second temps nous allons discuter à propos de droit de vie du fœtus et les raisons de sa naissance.
Tout d’abord, l’interruption volontaire de grossesse était exclusivement et noblement supprimer. Mais ils existent plusieurs causes de l’avortement dont des problèmes financiers comme par exemple si le père n’a pas de capacité monétaire pour former une famille complète, sa femme peut être forcée d’après lui ou par sa conscience d’avorter. Au niveau des problèmes psychologiques, si la femme souffre d’une forte dépression ou d’une colère terrible, il y a un très grand risque d’avorter dans cet état-là. En plus, et le plus important sont les problèmes de santé. Si la femme est tombée enceinte et au niveau de son fœtus comporte des chromosomes atteignant de trisomie 21 ou la femme est atteinte d’un cancer du sein, c’est la cause la plus convainquant pour avorter ce fœtus. Mais ces causalités sont reliées a des limites pour se débarrasser de tous ces problèmes.
Généralement, au Liban et en France, l’avortement est une violation sanctionne par l’État. Mais la différence entre la France et le Liban, ce dernier est tellement strict d’après ses lois et il n’a pas des exceptions sauf au cas de la santé (art. 32-1-2 de la loi de l’éthique médicale [2]). En France, même si la femme enceinte ne veut pas poursuivre une grossesse et a le droit d’avorter avant la fin de la douzième semaine de grossesse selon l’article L2212-1 [3], si l’IVG sans l’acquiescement de la passionnée est sanctionnée de 75000 euros d’amende et de cinq ans d’emprisonnement selon l’article 223-10 du code pénal français [4] . Au Liban, selon le code pénal libanais, la femme qui avorte va s’emprisonner de six mois à trois ans et quiconque avorte une femme sans son acceptation serait environner au moins cinq ans avec des travaux plaqués. Ces limites du IVG sont supportés par le principe de droit de vie.
Le droit à la vie est postérieurement un droit diversement administré. La déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948, souligne que la vie de l’enfant à naître est adéquate à celle de la mère et que la dignité de la vie d’un être humain est pour la vie. Cette déclaration a résous que l’IVG est inconstitutionnelle car cette dernière contredit l’article 3 de la déclaration universelle des droits de l’Homme [5], dont cet article affirme le droit à la vie de tout individu. Selon le code de la sante publique de l’article L2211-1 [6], ce dernier inscrit que la loi accorde la priorité de l’individu avec interdiction de toute atteinte à sa dignité et va assurer le respect de cet individu dès sa naissance. On atteint sa dignité lors de l’interruption de sa croissance au niveau de l’utérus de la femme, et on respecte l’individu en le laissant d’accomplir sa croissance dans l’utérus de sa mère et de naître tout autour d’un environnement accueillant et confortable.
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