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Analyse sur XU Beihong et sa peinture sur le cheval galopant

Dissertation : Analyse sur XU Beihong et sa peinture sur le cheval galopant. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  28 Mars 2016  •  Dissertation  •  1 361 Mots (6 Pages)  •  1 698 Vues

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Analyse sur XU Beihong et sa peinture sur le cheval galopant

Contexte

XU Beihong, né le 19 juillet 1895 et décède le 26 septembre 1953, est un peintre grand chinois. Il est aussi éducateur grand et fondateur des beaux-arts contemporain en Chine. Il est le chef de la peinture réaliste contemporaine en Chine. Il spécialise à peintre le cheval surtout ce qui galope. Son style combine le caractère de la peinture chinoise et le caractère de la peinture occidentale. C’est en raison de ses expériences des études pendant la jeunesse.

Apprenant à peintre à son père depuis son enfance, il était enseignant de dessin et puis travaillait sur l’illustration et l’affichage. En 1916, il a fait l’alternance au département du français à l’Université l’Aurore. En 1917, il a étudié au Japon sur les Beaux-arts. Il est arrivé en France en 1919 et a commencé ses études sur la peinture d’huile et le croquis à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-arts de Paris. Il voyage à pendant ce temps l’Europe. Il a rencontré Dagnan et lui demande des conseils. L’idée de Dagnan sur « ne pas poursuivre le courant et ne pas se limiter dans un petit succès » l’influence beaucoup. Au lieu de poursuivre le style de l’art contemporain, il étudie le style académique, surtout le caractère de l’art classique. Quatre ans après, il est arrivé au Berlin, il demande des conseils ç Komptr. Finalement, il a fini ses études en France.  

Après renter en Chine ne 1927, il détient successivement la poste de directeur des départements des beaux-arts, de présidents des universités et instituts, de président de China Artists Association.

La plupart de Chevaux galopants sont fait pendant la guerre sino-japonaise. Selon une annotation du Cheval Galopant, il est fait en 1941. Il était la période de la deuxième guerre mondiale, pour la Chine, il était l’impasse pour la guerre sino-japonaise. Le Japon voulait conquérir la Chine avant le commencement de la guerre pacifique. Du coup, le japonais faisait du mieux pour possible pour la guerre vise à conquérir le second capital, Chongqing. La Bataille de Changsha avait lieu. La situation est urgente. Au ce moment-là, XU Beihong était en Malaisie pour cherche de la donation pour son pays-natal. Après l’entendre, il a peint le Cheval Galopant pour exprimer le souci, l’anxiété et agité.

Dans la culture chinoise, le cheval signifie la puissance, la vaillance, la santé, l’autorité, le courage et la constance. On a même une notion «la vigueur d'un dragon ou d'un cheval » qui signifie le bonheur et la puissance et qui représente l’esprit chinois. Avec des chevaux galopants qui sont bien forte, XU Beihong voudrait encourager le chinois de lutter contre le japonais, de se défendre pour la Chine et de ne jamais être vaincu. En plus, beaucoup de Chevaux galopants sont vendu, le revenu est donné à financier la guerre antijaponaise.

Le Cheval Galopant

[pic 1] (1)    [pic 2] (2)

(1) : Cheval galopant, XU Beihong, 1941;

(2): Cheval de HAN Gan, peintre de la dynastie Tang (8e siècle), spécialisé au cheval

Premièrement, pour le contenue, dans la peinture, on y trouve un cheval courant avec force. Le cheval est musclé, farouche et vivant. La tête tourne vers le droit. On y trouve pas de selle ni bride. Il court donc librement. La queue et le crin volants dans le vent. Avec cela, il mettre en relief le mouvement. Je pense que c’est une métaphore. Cette technique est issue de la dynastie de Song. La cour a donné un sujet d’examen de peinture : après marcher sur des fleurs, les sabots du cheval sont parfumés. Pour exprimer « parfumé », un candidat a peint des papillons volant après les sabots. Ils sont attirés par le parfum. Il était couronné donc. Cela est la même expression artistique que celle de XU.

Deuxièmement, pour la technique de dessin, XU Beihong utilise en même temps celle chinoise et celle occidentale. Je pense qu’il est inspiré par la technique de peinture d’huile et du croquis grâce à ses expériences d’études en Europe. Je réfère d’autres peintures chinoises sur le cheval, je donne un exemple de HAN Gan, peintre de la dynastie Tang spécialisé au cheval. Nous pouvons voir que la peinture chinoise est plutôt plastique et immobile, elle peint à grand trait avec des lignes simple. Au lieu de souligner « la réalité » comme la peinture occidentale, elle souligne plus une conception artistique. Par contre, dans le Cheval Galopant, on y trouve des variations de l’ombre et lumière qui illustrent le muscle et le mouvement. Ce sont des caractères de la peinture occidentale.

Pour la technique chinoise, il s’agit de l’utilisation du ton d’encre. Pour la technique occidentale, il s’agit surtout la technique de l’utilisation de la lumière et l’ombre. Il est peint par des pinceaux qui sont plus raffiné que les pinceaux occidentaux. Le dessin est en noir et blanc. Dans la peinture, XU Beihong utilise une masse d’encre pour décrire des endroits de noyau comme la tête, le cou, les jambes. Pour ici, il utilise l’encre épaisse et le couleur est donc le plus foncé. Puis, il utilise l’encre sèche pour décrire la queue, cela donne un sens d’être porté par le vent. Les sabots sont droits et fermes. Une variation du ton d’encre décrit des lumières et des ombres, les traits du ventre, du fessier et du crin sont bien souple. Ils correspondent bien à l’optique et l’anatomie. Le cheval devient vivant. C’est grâce aux tons d’encre différents. Cela rend de la flexibilité. Ainsi, il devient stéréoscopique, mobile. Ainsi, la technique chinoise et celle occidentale sont combinés.

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