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La situation financier, social et les sentiments de gervaise par rapport aux logements

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d avait décollé le papier ; la perse pompadour

étalait des lambeaux qui pendaient pareils à des toiles d’araignée lourdes de poussière.“

“ Une odeur d’amidon aigre, une puanteur faite de moisi, de graillon et de crasse. “

“ Elle n’avait pas vu la boutique se salir ; elle s’y abandonnait et s’habituait au papier

déchiré, aux boiseries graisseuses. “

(Chapitre IX page 339)

On voit que la boutique de Gervaise n’est plus propre comme au début, de toute

façon elle perd sa boutique car elle a des gros problèmes d’argent après que

Coupeau est tombé du toit car toutes les économies du couple ont été dépensés au

frais médicaux donc elle n’a pas pue payer ses dettes. Ils ont du changer de

logement et ils viennent d’emménager au sixième étage, sous les toits. Leur misère

est grandissante.

 “ Gervaise dura ainsi pendant des mois. Elle dégringolait plus bas encore, acceptait les

dernières avanies, mourait un peu de faim tous les jours. Dès qu’elle possédait quatre

sous, elle buvait et battait les murs. On la chargeait des sales commissions du quartier.

Un soir, on avait parié qu’elle ne mangerait pas quelque chose de dégoûtant ; et elle

l’avait mangé, pour gagner dix sous. M. Marescot s’était décidé à l’expulser de la

chambre du sixième. Mais, comme on venait de trouver le père Bru mort dans son trou,

sous l’escalier, le propriétaire avait bien voulu lui laisser cette niche. Maintenant, elle

habitait la niche du père Bru. C’était là dedans, sur de la vieille paille, qu’elle claquait

du bec, le ventre vide et les os glacés. “

(Chapitre XIII page 503)

On voit le visage de la misère qui est la faim, le froid et la peur de se retrouver à la

Rue. Il ya une opposition par rapport au début du roman car elle était dans une

chambre d’hôtel quel aimait pas mais maintenant elle se retrouve dans une situation

plus pire. Plus d’argent du tout.

Depuis le début du roman on voyait Gervaise dans un lieu clos où il y avait le symbole de la mort et une opposition entre le rouge et le noir. Gervaise à réaliser son rêve qui est la boutique mais qui n’a pas duré longtemps car Coupeau tombe du toit est toute les économies du couple a été dépensées en frais médicaux. Donc à partir de ce moment la Gervaise rencontre de gros problème et vit dans niche du père Bru.

 “ Commode de noyer dont un tiroir manquait, de trois chaises de paille et d’une

petite table graisseuse, sur laquelle traînait un pot à eau ébréché. On avait ajouté, pour

les enfants, un lit de fer. “

(Chapitre I page 49)

“ C’était la belle chambre de l’hôtel. “

(Chapitre I page 50)

Le champ lexical de la pauvreté caractérise la description de la chambre d’hôtel

Boncoeur. Ce champ lexical a une valeur réaliste et plante le décor de ce que l’on

imagine être la vie d’ouvrier.

Plusieurs éléments sont symboliques. Le paquet de reconnaissance du mont-de-piété

implique le manque d’argent. Nous pouvons noter l’ironie du narrateur par le choix

de la couleur : rose tendre. L’expression soulignée en orange implique que le

manque d’argent du couple les forcera à l’abandonner.

 “ Le ménage vécut dans l'enchantement de sa nouvelle demeure. Le lit d'Etienne occupait le cabinet, où l'on pouvait encore installer une autre couchette d'enfant. La cuisine était grande comme la main et toute noire ; mais, en laissant la porte ouverte, on y voyait assez clair. “

(Chapitre IV page 147)

Après avoir vécu à l'hôtel Boncoeur, cet appartement ravit Gervaise car elle est

tranquille, ses voisins sont charmants et son ménage va bien.

 “ Les boiseries et les carreaux de la vitrine, qu’on oubliait de laver, restaient du haut en bas éclaboussés par la crotte des voitures. “

“ L’humidité des linges séchant au plafond avait décollé le papier ; la perse pompadour

étalait des lambeaux qui pendaient pareils à des toiles d’araignée lourdes de poussière.“

“ Une odeur d’amidon aigre, une puanteur faite de moisi, de graillon et de crasse. “

“ Elle n’avait pas vu la boutique se salir ; elle s’y abandonnait et s’habituait au papier

déchiré, aux boiseries graisseuses. “

(Chapitre IX page 339)

On voit que la boutique de Gervaise n’est plus propre comme au début, de toute

façon elle perd sa boutique car elle a des gros problèmes d’argent après que

Coupeau est tombé du toit car toutes les économies du couple ont été dépensés au

frais médicaux donc elle n’a pas pue payer ses dettes. Ils ont du changer de

logement et ils viennent d’emménager

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