La situation alimentaire au Sénégal

Le Sénégal est un pays d’Afrique de 196 000 km² et de 13 millions d’habitants.

Sa croissance démographique pose des problèmes pour la satisfaction de ses besoins alimentaires.

Les productions nationales ne suffisent pas à satisfaire la demande.

Le pays va donc mettre en place des modes de productions durables.

Comment lutter contre l’insécurité alimentaire au Sénégal ?

Tous d’abord, le Sénégal se trouve dans une insécurité alimentaire car sa production ne permet pas de répondre à la demande. Le pays dépend donc des importations et de l’aide internationale qui lui permette de lutter contre la mal-nutrition ( quantité insuffisante -2400 calories) et de la sous nutrition (quantités non suffisante, déséquilibre alimentaire ). Le Sénégal souffre également d’inégalités entre les milieux ruraux comme Kédougou dans la région du Tambacounda et les milieux urbains comme Dakar dans la région de Dakar. En effet les milieux urbains ont plus de facilités à se procurer de la nourriture contrairement au milieu rural ou les villages sont très éloignés des villes . Par conséquent, en milieu rural l’alimentation est moins variées qu’en milieu urbain.

L’agriculture vivrière qui consiste à produire pour nourrir la population locale ne permet pas au Sénégal d’assurer sa sécurité alimentaire tout comme l’agriculture productiviste destiner à être revendu a d’autre pays. L’agriculture vivrière est une agriculture traditionnelle qui est faiblement mécanisé, qui emploie très peu voir pas d’intrant ce qui cause donc des rendements faibles. De même l’agriculture productiviste est aussi très peu mécanisés à cause du manque de moyen et qui cause aussi des rendements faibles ( 15 % du PIB, 60 % d’emplois). Ces types d’agriculture sont aussi dépendants des aléas climatique comme la sécheresse.

Pour lutter contre l’insécurité alimentaire le pays pourrait moderniser les outils agricoles, faire une réforme agraires ( redistribuer les terres de façon équitable ), développer le maraichage urbain, augmenté les rendements, diversifier la production, préserver l’environnement, construire des écos-villages pour développer le maraichage, créer des « Murailles vertes » ( plantages d’arbres à la limite du désert pour éviter qu’il avance ).