Analyse poisson scorpion

ien ne bouge et à la fin on comprend qu’il se parle tout seul.

NARRATION ET TEMPS VERBAUX

Le premier paragraphe dans lequel le narrateur n’intervient pas car il ne contient que la mise en place du décor et donc que de la description il n’y a pas d’action crée par lui. Ce qui s’y passe y est instantané et est décrit avec du présent nous faisant nous sentir visionnant cette scène avec le narrateur grâce à la description de plusieurs événement instantané sur lesquelles on ne peut agir ‘’la mer est aplatie ; les odeurs m’atteignent… ‘’ . Puis, et ce jusqu’à la fin le pronom ‘’je’’ faisant référence au narrateur qui apparait dès le début du deuxième paragraphe. Malgré cela il n’est toujours pas maitre de la scène qui se passe devant lui, il aimerait pouvoir agir mais n’y arrive pas c’est pour cela qu’intervient le conditionnel ‘’j’irai, j’aimerai’’, mais contrairement au premier paragraphe les sensations et les volontés du narrateur nous sont fait par. A par les volontés du narrateur les événements extérieur nous sont toujours fait part au présent ce choix de l’auteur nous permet de mieux comprendre la solitude du narrateur et ses sensations dans l’instantanéité de ce moment.

Figures de style :

Premier paragraphe : la ville qui fume est une métaphore. Cela signifie qu’il y a eu un orage la vapeur s’échappe du sol car il fait chaud et l’eau s’évapore. Cela nous fait ressentir la lourdeur du climat.

‘’Le velouté des couleurs qui se reposent en secret dans le noir’’. Des couleurs ne peuvent pas se reposer ou dormir, mais cela montre qu’à cause de la nuit on ne les voit plus. Elles sont au même endroit et réapparaîtront dès que la lumière reviendra, comme si elles avaient dormi pendant la nuit, et que en quelque sorte la nuit et son obscurité les masques et les empêches d’exprimer leurs gaité tout la nuit nous empêche de les observer

Champs lexicaux :

Champ lexical des sens est très présent dans ce passage.

Odeur : citronnelle, morues séchées, la fade pestilence des latrines de ma cour.

L’ouïe : silence, entendre, bruyant, tendre l’oreille.

Ce champ lexical qui nous rapporte a des éléments négatif apporté par différent sens nous aide a mieux comprendre l’environnement peut salubre dans lequel se trouve le narrateur.

Champ lexical de la nuit : averse nocturne, sommeil, dormeur, silence, ombre, nuit.

De nouveaux la nuit nous est rapporté comme quelque chose de négatif un moment sans grande humanité et dans un endroit insalubre

Champ lexical de la représentation : balcon (qui peut aussi se rapporter au balcon se trouvant au théâtre) cinéma, spectateur, soliloqué, théâtre.

Solitude : sans ombre, seul, monologue, soliloqué.

Maladie et folie : la tête dolente et chaude, sueur etc.. Le narrateur semble avoir de la fièvre et ses jambes ne peuvent pas le mouvoir.

Grace a ces CL nous pouvons mieux ressentir tout ce que le narrateur traverse en ce moment précis de ce voyage ; il assiste a une scène dans laquelle il ne peut intervenir seul, sans possibilité d’y échapper dans un endroit totalement infecte ou en plus il a l’air malade cela crée un réel contraste avec le titre ‘’au théâtre ce soir’’ car même si il assiste a une sorte de représentation il n’est absolument pas au théâtre un lieu dans lequel on y vient pour se détendre, se divertir,