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Economie

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l’activité économique (5% et passage à 3% l’année suivante)

- Dépression : Diminution de l’activité (généralement négative) et elle est cumulative.

La récession technique lorsque pendant 2 trimestres consécutifs, la production à diminuer consécutivement.

Croissance : facteur de progression du niveau de vie a LT

La croissance est considérée comme un facteur de développement et d’augmentation du niveau de vie. Elle n’est jamais synonyme de développement ; le développement est quelque chose de qualitatif, beaucoup plus large.

2. Mesure de la croissance et des fluctuations

Taux d’évolution du PIB

- PIB : Valeur monétaire de tous les biens et services produits par les agents éco. d’un pays.

- PIB : Somme des valeurs ajoutées. Ce qui est produit par l’entreprise en retirant ce qui a déjà été utilisé.

Mesure de l’évolution du PIB : nominale ou réelle

- Nominale : ne prend pas en compte l’évolution des prix

- Réelle : prend en compte l’évolution des prix

B. Le chômage

1. Définition

• Situation dans laquelle une partie de la population peut et souhaite travailler (elle cherche, fait des démarches), mais n’est effectivement pas employée

• Sous utilisation des ressources disponibles

Chômage : préoccupation principale à CT et MT.

Pourquoi réduire le chômage ?

( Il a des effets négatifs individuels et sociaux

Ex : perte de revenu, lorsque l’on ne travail pas depuis un certain temps, ainsi qu’exclusion.

C. La mesure du chômage

Le taux de chômage n’est pas le pourcentage de la population totale au chômage mais le pourcentage de la population active au chômage.

Calcul : chômeurs / pop active totale.

Chômeur au sens du BIT (Bureau International du Travail) :

- Personne sans travail rémunéré, n’a aucune activité

- Personne disponible pour occuper un emploi

- Il faut être effectivement à la recherche d’un emploi

D. L’inflation

1. Définition

Augmentation durable généralisée du niveau des prix, évolution non pas sur un trimestre mais sur une longue période et surtout sur quelque chose de généralisé. C’est un phénomène auto entretenu, les prix augmentent d’eux-mêmes.

Quels sont les effets négatifs de l’inflation ?

- Baisse du pouvoir d’achat, en particulier des ménages (lorsque l’on a un R fixe, si le niveau des prix augmente de 10%, le pouvoir d’achat diminue de 10%)

- Défavorable pour les prêteurs (l’inflation est positive pour quelqu’un qui empreinte)

- Symptôme de dysfonctionnements éco (lorsque les prix augmentent de manière généralisée dans une éco, c’est qu’elle ne fonctionne pas bien)

L’inflation crée une incertitude pour els agents éco (lorsque les prix augmentent, on ne peut pas savoir ce que sera la situation économique dans l’avenir)

2. La mesure de l’inflation

Elle se fait par le taux de croissance de l’indice des prix.

L’indice des prix à la consommation est un indice qui permet de mesurer la valeur des prix d’un panier de biens représentatif de la consommation des agents économiques.

Cet indice est calculé par l’INSEE qui relève les prix tous les mois (aout 2009 : +0,5% d’augmentation des prix)

II) Les équilibres macroéconomiques

A. La notion d’équilibre macroéconomique

• Equilibre : Situation dans laquelle aucune force ne pousse au changement (pas de modification du comportement des agents), à un moment donné, l’offre est égale à la demande.

• Equilibre comptable : Identité toujours vérifiée entre les agrégats (comptabilisation a posteriori)

• Equilibre économique : Opérations économiques compatibles ex-ante, avant qu’elles aient eu lieu.

B. Les équilibres sur le marché des biens et services

1. L’équilibre comptable entre le revenu et la production

• Production = R pour le producteur = rémunération des facteurs de production et profit

• Richesse produite = richesse versée aux agents éco (sous forme de R)

• Y (richesse produite) = R (revenu)

2. L’équilibre comptable emplois/ressources

• R distribués intégralement utilisés par les agents pour réaliser des transactions

• La Production (Y) : les ressources, c’est ce que les économistes appellent l’offre globale.

• Ces ressources donnent lieu à une utilisation : consommation (C), investissement (I) ou dépenses publiques (G).

Demande globale du marché : ensemble des biens et des services demandés par tous les agents éco.

Y = C + I + G

3. Equilibre économique

• Equilibre comptable : cadre statistique de la macroéco et structure des raisonnements macroéco.

• Théories macro : étude des équilibres économiques

- Hypothèses de comportements

- Equilibres économiques

- Comparaison des équilibres

III) Les théories et modèles macro

A. Les modèles

Travaux macro reposant sur des modèles

• Modèles : Représentations simplifiées du monde économique réel. On utilise ces modèles car on est incapable d’expliquer l’économie.

Nécessité de simplification pour comprendre le fonctionnement de l’éco.

• Construction des modèles : formulation d’hypothèses relatives aux comportements et au fonctionnement de l’économie.

B. Les controverses théoriques

Les économistes vont discuter des origines du déséquilibre de l’éco.

Hypothèses et raisonnements de nature variée : analyses et conclusions de nature variée.

Clivage principal :

- Keynésiens : pas de confiance dans les mécanismes de marché pour restaurer l’équilibre.

- Néo-classiques : rôle des marchés et des prix pour assurer l’équilibre.

Approche de la synthèse :

• A court terme, les marchés sont imparfaits

← Rôle de la demande globale dans la détermination de l’activité économique

En tant que producteur, on n’a aucun moyen de savoir si on va vendre notre production

• A moyen terme

← Qu’est ce que je peux produire? C’est l’offre qui est importante

Les marchés st parfaits ( Rôle de l’offre globale dans la détermination de l’activité économique

• Interactions entre l’offre et la demande.

Chapitre 2 : La demande globale.

I) Le rôle de la demande globale et de la théorie keynésienne (Keynes 1936)

A. La demande effective

Aucune confiance dans les mécanismes (de marchés) de prix pour établir l’équilibre sur les marchés.

- Ajustement par les quantités et non par les prix

- Approche de court terme : prix et salaires rigides.

Raisonnement à prix fixe donc : Incertitude pour les agents.

- Ecoulement de la production ?

- Dépend de

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