Fiche De Lecture

pour rejoindre sa petite amie Caroline que sa vie bascula. C’était le 24 septembre 2000, il emprunta une petite route de campagne comme tous les jours mais ce jour la il croisa un camion, voilà comment la vie de ce jeune homme a basculé en peu de temps. Durant trois jours V. Humbert a été réanimé sans arrêt. Marie Humbert demanda même au médecin d’arrêter et de le laisser tranquille. Mais Vincent était majeur et c’était a lui seul de décider.

3.b. Apres une semaine a attendre, espérer, et patienter le pronostic fut que Vincent ne redeviendrait jamais comme avant si il s’en sortait. Il devait donc être transféré au centre hélio-marin de Berck. Sa mère a donc tout quitté, famille, travail, maison, pour venir avec son fils. Durant les neuf mois de coma sa mère fut a ces cotés tous les jours est espéré. Elle lui parlait, l’embrassait, le caresser pour lui montrer qu’elle était là auprès de lui. M. Humbert eu raison de s’entêté a penser que Vincent ne resterait pas dans le coma puisqu’un jour celui-ci lui décrocha un sourire puis bougea le pouce. C’est alors qu’elle eu l’idée de pouvoir communiquer avec lui. Pendant six mois elle lui récita l’alphabet sans cesse sans vraiment savoir s’il comprenait vraiment. Cependant Marie espérait, elle espérait pouvoir à nouveau communiquer avec son fils malgré que tout le personnel de l’établissement pensait qu’elle devrait aller voir le psychologue. Le 3 mai 2002 Marie se rendit compte qu’elle avait eu raison d’espérer puisque ce jour là Vincent commença a communiquer avec elle grâce a la pression exercé par son pouce lorsque sa mère énonçait les bonne lettre de l’alphabet. Marie mis tous le personnel au courant qui étaient stupéfiés. C’est alors que s’en suivi des discussions de plus en plus longues, il pouvait enfin exprimer ce qu’il ressentait.

3.c. C’est en septembre 2002 que Vincent compris, il comprit qu’il ne ferait plus de progrès et qu’il devait partir du centre hélio-marin. C’est à ce moment là que Vincent exprima son envie de mourir. Cette décision ne fut pas prise à la légère, il avait murement réfléchit. Il l’a d’abord expliqué a sa mère qui refusait d’entendre se que son fils lui disait. Il fut venir ces deux frères Laurent et guillaume, et son père pour leur dire qu’il souhaitait en finir, qu’il n’en pouvait plus de cette vie et qu’il n’en voulait plus. Tous furent sous le choc mais eurent compris la décision prise par Vincent. Il ne souhaitait pas finir sa vie de cette façon, allongé et dépendant de tous. Et surtout il ne souhaitait pas infliger cette vie à sa mère.

3.d. C’est alors que Vincent commença a demander de l’aide au médecin et aux infirmières qui bien entendu refusa en lui expliquant que c’était interdit en France. Il a donc fini par demander à sa propre mère de l’aider elle en lui disant « si tu m’aimais vraiment tu me tuerais » (page 108 l.25). Après de longue discussion Marie finit par lui jurer qu’elle l’aiderait. C’est à ce moment là que Vincent décida d’écrire une lettre au Président de la République avec l’aide de son animatrice. Cette lettre expliquait sa douleur, son état, et son envie de mourir pour sa mère et pour arrêter toutes ces souffrances. La réponse fut mauvaise puisque le Président n’avait jamais eu la lettre entre ses mains. Puis Marie s’est mise a donner des interviews a la radio ou a la télévision. C’est ainsi que le Président répondit en personne à Vincent en lui apportant tout son soutient. Apres plusieurs échanges entre Vincent et le Président, Marie eu un rendez vous avec celui-ci a l’Elysée.

3.e. A Berck régnait une agitation insupportable depuis que la mère de Vincent avait donné tous ces interviews. Tout le monde voulait voir le jeune tétraplégique, certains journalistes était près a donner de l’argent a Marie en échange d’une photo sur le lit. Mais Vincent eu reçut aussi beaucoup de message de soutient grâce à ces interviews. Certain lui écrivait une chanson, d’autre lui expliquait qu’il était dans la même situation que lui et qu’il fallait toujours garder espoir ou encore des messages de politique. Bien entendu il a avait toujours des messages de personnes qui ne comprenaient pas la décision de Vincent.

3.f. Le jour où Marie eu le rendez vous à l’Elysée, Vincent n’était pas bien mais anxieux. Marie pu discuter avec le Président, sa femme et sa fille de son fils et de sa demande mais bien entendu il ne pouvait