Corniche Kennedy, Maylis de KERANGAL (2008), Le goût de l'interdit
Fiche : Corniche Kennedy, Maylis de KERANGAL (2008), Le goût de l'interdit. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Fanlor • 21 Juin 2017 • Fiche • 297 Mots (2 Pages) • 3 090 Vues
ANALYSE :
Incipit : début de récit, mise en place du cadre spatio-temporel, des personnages et de l'intrigue.
Référence à une corniche dans un quartier à Malmousque. Endroit desservi par les transports communs.
→ contribue au ?
personnage collectif : désignation péjorative
/!\ statut : narrateur personnage : 1ère personne
narrateur témoin : 3ème personne
point de vue / focalisation :
→ externe : vision objective
→ interne.
→ omniscient : le narrateur sait tout.
Récit au présent de narration et d'énonciation.
Dans une époque contemporaine la corniche est comme une frontière entre la ville et la mer.
Corniche = zone de transgression, appellation péjorative du groupe collectif « p'tits cons ».
Références à de vrais lieux (transports en commun, ville)
→ effet de réel produit.
Description large, générale du lieu qui construit l'image de la corniche : « épouser, ceinturer, contient » qui montre sa disposition par rapport à la ville.
→ personnification des verbes employés pour décrire la corniche.
Réalisme de l'auteur = attention portée sur le lieu et sur la matière.
Personnage collectif suscite la curiosité.
= « ils », « les premiers », « c'est le gros de la troupe », « bande »
→ périphrase
« on les entend », « des p'tits cons », « fille-fille », « fille-garçon », « garçon-garçon »
→ tournure familière
seule distinction, le sexe des personnages → façon différente de se saluer.
présence du narrateur visible « on » → pdv omniscient ?
Le narrateur intègre le lecteur « c'est là que nous sommes ».
subjectivité perceptive « des p'tits cons », « un lecteur radio pourri »
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