La princesse de Clèves, Madame de la Fayette
Commentaire de texte : La princesse de Clèves, Madame de la Fayette. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Jufrancais • 6 Mai 2017 • Commentaire de texte • 810 Mots (4 Pages) • 1 698 Vues
L'apparition de Mlle de Chartres à la cour de "il parut alors un beauté à la cour" à "qui est d'aimer son mari et d'en être aimée."
- En quoi Mlle de Chartes s’apparente-t-elle à une héroïne idéale ?
I – Un portrait idéalisé
Physique : Dans la première phrase : « il parut une beauté à la Cour », « l’on doit croire que c’était une beauté parfaite ».
L’auteur ne donne pas davantage de détails physiques précis sur cette personne mais utilise la répétition du mot « beauté » pour lui conférer un caractère exceptionnel. = termes élogieux
« Une beauté parfaite » et le terme qu’elle « attira les yeux de tout le monde » : hyperboles qui insistent également sur sa beauté
« Yeux » ; « admiration » « a voir » lexique de la vue -> tous les regards vont sur elle.
Abondance de termes mélioratifs afin de souligner la beauté unique de l’héroïne.
On apprend également aux premières lignes du récit qu’ « elle porta de l’admiration dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes », c’est-à-dire de l’étonnement et de l’émerveillement éprouvé par les courtisans. Même dans un lieu magnifique elle est remarquée.
Un personnage de haute naissance
On retrouve l’évocation de la famille du personnage : « même maison que le vidame de Chartres », c’est-à-dire qu’elle a de l’importance et qu’elle est respectée.
Emploie du superlatif : « Une des plus grandes héritières de France » : elle se distingue par son statut important.
On apprend également des informations sur sa mère Mme de Chartres qui possède des valeurs aristocratiques ; « le bien, la vertu et le mérite ». C’est-à-dire qu’elle possède de « le bien » donc de la fortune mais aussi des qualités morales et intellectuelles.
« Son père était mort jeune » : cette tragédie est noyée dans l’abondance de termes mélioratifs.
Une éducation particulière
mise « sous la conduite de Mme de Chartres », « elle avait donné ses sois à l’éducation de sa fille » + « plusieurs années ». L’éducation de la jeune femme était au centre des préoccupations et la priorité de la mère.
L8-9 on retrouve un parallélisme : « Elle ne travailla pas seulement à cultiver son esprit et sa beauté ; elle songea aussi à lui donner de la vertu et à la lui rendre aimable ». Sa mère lui donne une éducation double visant à développer des qualités extérieures qui servent à plaire en société mais aussi des qualités intérieures.
Mme de Chartres procède à contre-courant des pratiques de son époque puisqu’elle s’est retirée de la Cour pour se consacrer à l’éducation de sa fille. « Plusieurs années sans revenir à la Cour ».
On retrouve aussi l’implication de Mme de Chartes dans le lexique de l’éducation.
Cette éducation inhabituelle fait va faire de Mlle de Chartres un personnage exceptionnel.
C
II- Les peinture de l’amour
Les
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