Analyse 1
Rapports de Stage : Analyse 1. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresvérifie que le numéro de lot correspond bien à celui inscrit sur la boite.
Puis je met sur une compresse un peu de sérum physiologique pour nettoyer le côté de son doigt, je la jette dans le haricot.
Je lui sèche très soigneusement et je la jette dans le haricot.
Je me frictionne les mains au stérilium, je mets mes gants, je décapuchonne la languette, je prend le doigt et j’exerce une pression dessus pour avoir un afflux de sang dans la zone à piquer, je préviens le patient que je vais le piquer.
Je le pique en effectuant une pression sur la peau avec la languette, je jette la languette dans la boite à aiguille, j’appuie sur son doigt pour faire sortir une goutte de sang puis j’approche l’appareil à HGT de son doigt et je fait monter la goutte de sang par capillarité.
Une fois que l’appareil nous signal que le prélèvement est OK, je prend une compresse et la met sur le site de piqure.
J’appuie pour arrêter le sang et essuyer les éventuelles traces de celle-ci, lorsqu’il n’y a plus rien je jette la compresse dans la boite à aiguille.
Je lis le résultat qui est de 1.90g/l, je jette mes gants dans le haricot et je me frictionne les mains, avec le stérilium, je demande au patient si il va bien, si le soin a été.
Pendant le soin le patient me parle de ses enfants et de ses petits-enfants.
Analyse, observation, étonnements :
Ce soin consiste à doser le taux de sucre dans le sang qui est compris entre 0.80g/l à 1.20g/l en préprandial et jusqu’à 1.60g/l dans le sang en postprandial.
J’ai déjà effectuée ce soin sous l’encadrement d’une infirmière qui me l’avais montré au préalable, il avait donc été validé par l’infirmière.
En règle générale, les infirmière n’utilise pas le chariot pour faire ce soin, les aiguilles sont rétractables et elles utilisent un haricot jetable pour le transport.
Le fait d’utiliser un haricot jetable pour mon soin n’est pas économique.
Ce soin est très effectué dans le service, certains patient qui chez eux sont autonomes sont à l’hôpital pris en charge et n’effectue pas eux même le contrôle de leurs glycémie ni même leurs éventuel injection d’insuline.
L’hyperglycémie se traduit par une grande fatigue, une envie d’uriner et une soif intense tandis qu’une hypoglycémie se traduit par une fatigue, des sueurs, des tremblements, des malaises, des nausées et vomissements « etc. ».
Tout deux peuvent mener au coma voir la mort.
Lors du soin on ne peut pas piquer la pince c’est-à-dire sur l’index et le pouce d’une part car cela fait mal et d’autre part si par la suite le patient présente des problèmes de vision ou une cécité, il aura besoin de ses doigt pour lire le braille.
On nettoie avec du sérum physiologique pour enlever les éventuelles traces de salissures et on sèche bien pour ne pas fausser le résultat obtenue.
Dans le service, les compresses de petites tailles sont jetées dans les boites à aiguilles car cela est autorisé.
Le patient parle beaucoup pendant le soin car il recherche le contact humain, il a juste une radio, il n’a pas la télé il ne l’aime pas. Il reçoit de la visite de sa fille qui est dermatologue et sa compagne mais plus rarement de ses autres enfants.
De plus il est en chambre seul.
Difficultés et point à approfondir :
Pouvoir avoir les apports théorique sur les symptômes d’une hypo ou hyperglycémie et pouvoir les détecter si cela se présentait.
Avec les cours d’endocrinologie et de physiopathologie pancréatique, ses lacunes seront comblées.
Vous sentez vous suffisamment autonome sur l’ensemble de ces activités pour les assurer
...