Les Liaisons Dangereuses, Choderlos de Laclos

1) Contexte

"Les Liaisons Dangereuses" parut en mars 1782. Si cet ouvrage fut un grand succès, il provoqua également un énorme scandale. En effet, en raison des deux personnages principaux (libertins et machiavéliques) et de leur fin tragique, elle est considérée comme immorale. A la fin des Lumières, cet ouvrage condamne la corruption d'une aristocratie gaspillée.

Ce roman est basé sur la communication des lettres, il est produit en donnant des styles différents à chaque personnage, en multipliant les points de vue et les méthodes psychologiques immersives.L'auteur donne à ses œuvres un réalisme efficace et dynamique.Le sous-titre du roman est une lettre collectée dans la société et publiée pour publication par d'autres, ce qui signifie que le roman a été inspiré par la réalité.

Selon Standhall, Lacrosse aurait dû être à Grenoble vers 1770. Connaître les personnes qui l’inspireront pour Les liaisons Dangereuses. . Mais c’est à partir de 1779 (et jusqu’en 1781), alors qu’il est sur l’île d’Aix en pleine guerre contre les Anglais, que Laclos rédige son ouvrage.

Personnage :

Le marquis De Merteuil :La marquise de Merteuil (marquise de Merteuil) était une jeune veuve noble (vingt-cinq ans). Elle est aussi une femme libertaire intelligente; elle est naturellement observatrice, et elle est éduquée et rationnelle (comme le montrent les maximes citées dans sa lettre). Elle connaît les mécanismes sociaux et les utilise sans se toucher. Elle est le personnage central de l'histoire (même si elle est le personnage avec le moins de lettres), toutes les intrigues sont basées sur cela, manipulent d'autres histoires

Le Vicomte de Valmont :Vicomte de Valmont (Vicomte de Valmont) était un jeune noble (vingt-cinq ans). Contrairement à la marquise, Valmont n'a pas vraiment peur du compromis, car sa réputation de libéral est un dessert depuis le début du roman. C'est un libéral vaniteux et salope, c'est un libéral vaniteux qui est tombé dans le jeu de l'amour. Après l'avoir perdue, il ne peut qu'admettre ses sentiments pour le président Tourville au bord de la mort.

La Présidente de Tourvel : Le président Tuville est un jeune noble (aujourd'hui âgé de 22 ans) qui a épousé un haut magistrat. Elle est très sensible et excitée. Chrétienne diligente et vertueuse, elle est comme l'opposé de la marquise, sans masque et rejetant l'hypocrisie. Elle considérait l'amour comme un sacrifice de soi et mourut après avoir été victime du jeu Valmont.

Cecile de Voloage :Cécilede Volanges est une jeune fille (quinze ans) qui vient de sortir du monastère et qui a promis au comte Gercourt, vingt ans. Au début du roman, on comprend son point de vue à travers une lettre à son amie Sophie Canet. Mais bientôt, cette correspondance a disparu, remplacée par celle avec Madame de Merteuil: Cécile est facilement affectée, ne sait rien de la vie et a une éducation superficielle. C'est une jeune fille spontanée, instinctive et émotionnelle.

Le Chevalier Danceny : Danceny est un jeune homme (dix-huit ans) qui évolue avec le développement du roman: au début du roman est bête, doux et sensible, il finira par devenir l'amant de Cécile puis l'amant de M de Merteuil. Il est également une proie facile pour les libéraux. Avec le développement du roman, son style poétique a continué à s'améliorer, et finalement il est devenu un homme juste, et donc un homme honorable: il s'est battu avec Valmont et a distribué des lettres de la marquise. Enfin, il se retire à Malte.

Madame De Volanges : Madame de Vorangis est une amie de Madame Meteile et la mère de Cecil Vorangis. Elle était aussi une amie du président Tourville et lui révéla la mauvaise réputation de la vicomtesse. La distance qui la séparait de sa fille la poussa à la confier à la marquise.

Madame De Rosemonde : Madame de Vorangis est une amie de Madame Meteile et la mère de Cecil Vorangis. Elle était aussi une amie du président Tourville et lui révéla la mauvaise réputation de la vicomtesse. La distance qui la séparait de sa fille la poussa à la confier à la marquise.

Themes :

L’epistolaire : Le style de ce roman est novateur car basé sur l'échange de vues entre les protagonistes. Cette lettre est un objet unique, situé au centre de l'œuvre, elle peut boucler, se cacher, se révéler, voire se cacher.

La « rouerie » :Le mot a été inventé à la fin des Lumières. Dans les cercles aristocratiques de cette époque, la conquête passionnée équivalait généralement à la conquête militaire. L'itinéraire déploie des tactiques et des stratégies à travers les masques (apparences) qu'ils utilisent pour manipuler les tactiques environnantes.

Le persiflage :Ce terme apparaît souvent dans les romans. L'intimidation signifie tromper quelqu'un. C'est généralement le résultat de l'ironie ou du double sens.

Le Libertinage : Les Liaisons Dangereuses c’esaussi un roman qui condamne le comportement d'une société aristocratique dégénérée: le roman considéré comme un scandale a donné naissance à un mouvement littéraire, à savoir le libéralisme. La marquise de Thad, la célèbre Lady Liberty, écrite en 1799

Le Feminisme : Dans « Les Liaisons Dangereuse », la féministe s'exprime à travers le personnage de la marquise, mais aussi à travers le regard amoureux de Madame Tuville.

Résumé :  « Les Liaisons dangereuses » est un roman épistolaire de la fin du XVIII, divisée en quatre parties (175 lettres au total), s'est tenue à Paris et ses environs. La marquise de Merteuil (marquise de Merteuil) et Valmont (vicomte de Valmont) eurent une liaison, ce fut le début de leur relation licencieuse. Au début du roman, chacun a dévoilé son plan machiavélique.

Pour la marquise, il s'agit de venger le comte de Gacote en encourageant sa future épouse, Cécile De Volanges.

Pour Vicomte, il s'agit de séduire une femme pieuse, la présidente de Tourvel.

Parce que la marquise était jalouse de l'amour de Vicomte pour le président Tourville et se faisait même la guerre jusqu'à ce que les deux parties se détruisent, la vicomtesse et la marquise étaient toutes les deux mortes et les deux protagonistes abdiqueraient bientôt, exilé.

Les victimes subissent elle aussi cette fin tragique, comme des dommages collatéraux des manigances des deux roués : Madame de Tourvel meurt et Cécile s’enferme dans un couvent.

1 ére Partie, lettre 1 à 50 :

Chez sa tante, Madame Rosemond, le vicomte de Valmont reçut une lettre de son complice libéral, la marquise, le sommant de retourner à Paris pour travailler à la vengeance commune et humilier le comte de Coulter. En fait, cette dernière a abandonné Mme Mertaire. Aujourd'hui, il s'apprête à épouser une jeune femme, Cécile De Volanges. Le but est de faire descendre au plus vite la jeune fille qui vient de quitter le monastère.

Cependant, le vicomte a des ambitions plus élevées pour séduire une jeune femme pieuse, la présidente DeTourvel, qui séjourne actuellement chez sa tante. Mme Mettyel n'aimait guère ce rejet, et parce qu'elle était fière de l'apparence de ce concurrent, elle a nié la conception de ses associés. De plus, elle a ramené la jeune Volanges sous ses ailes et convaincu sa mère de la confier au chevalier Danceny pour un cours de solfège.Les deux jeunes sont tombés amoureux au premier regard, mais cela n'a pas échappé. Marquise.

Franchement, la jalousie de Madame Mettle a été révélée plus tard, et elle a accusé son fils de tomber amoureux de Madame de Tourville. Par conséquent, elle a attaqué son estime de soi, c'est un grand libéral, tombant naïvement dans le piège de l'amour. Elle lui a également raconté les singeries avec l'amant actuel Berroche Knight. L'exercice a réussi, mais le vicomte n'a pas été ramené. Par conséquent, elle a utilisé le vicomte pour parier que s'il essayait de séduire le président, elle se récompenserait.

«Aussitôt que vous aurez eu votre belle dévote, que vous pourrez m’en fournir une preuve, venez et je suis à vous.» Dit elle a la lettre 20.

M. De Merteuil travaille fort pour que Cécile déteste son futur mari et la rapproche du chevalier Danceny.

De son côté, Valmont a tenté d'attirer Madame Tuville dans la maison de sa tante en dérangeant la maison de sa tante; il sentait qu'elle n'était pas sensible à son propre charme car il sentait son cœur la battre. Mon cœur bat alors que je traverse le fossé. balade. Mais le président a reçu un avertissement d'un ami proche (sauf M de Volanges) que le vicomte avait mauvaise réputation. Par conséquent, le président a douté de son honnêteté et lui a demandé de suivre. Mais le piège s'est retourné, car elle a rapidement averti le vicomte et a commencé à tromper: il a remboursé la dette d'une famille sans personnel dans le village voisin et a fait semblant de les aider devant le valet du président.

La scène