Philosophie : La Religion Et L'Amour

mais plutot sur quelqu'un d'innocent ("Le mal des enfants comme souffrance absolue")

Michel Enfrai : ayant été scolarisé dans une école religieuse il a subi tous les sévisses des prêtres.

Agnosticisme : fait ne pas pouvoir savoir si Dieu existe ou pas. Un agnostique ne peut pas se prononcer sur l'existence de Dieu. Il est moins radical que les athées. Le premier agnostique (sophiste) : Gorgiast : "Les dieux je ne sais pas si ils sont, le sujet est trop obscure et la vie est trop brève" (nous n'avons pas le temps pour réfléchir à ça) ou alors, on peut changer "la vie est trop brève" par : "l'esprit humain est trop limité"

Déisme : compte tenu de la complexité des êtres vivants, si il y a tant de complexité. On ne peut pas concevoir celà sans une intelligence fabricatrice. Le monde est incompréhensible si on ne fait pas l'hypothèse d'une intelligence qui a créé cette complexité. Voltaire : "je ne peux pas concevoir qu'il y ait une horloge ausi complexe sans qu'il y ait un horloger" (les athéistes doivent donc prouver que ce monde est complexe sans pour autant passer par Dieu. Ils vont devoir donner des preuves physiquo-théologiques : observer le monde jusqu'à remonter à la nécessité d'une Cause première = un inconditionné). Le Dieu du déisme n'est pas l'objet d'une adoration mais juste une nécessité de la production du monde (Dieu des philosophe).

Descartes "Moi qui suis un être fini (mortel, submiscient, faillible...) j'ai en moi l'idée d'un être infini et parfait. Or cette idée, je ne peux pas l'avoir produite moi même car il y a une disproportion entre cete idée d'être parfait et infini et moi (être imparfait et fini). De plus, il est parfait, de plus, il est plus parfait d'exister plutot que de ne pas exister.

La raison est la faculté qui permet de formuler des jugements/raisonnement qui est commune à tous les Hommes si bien qu'on pourrait définir l'Homme comme un animal doué de raison. Cette raison est la cause de la proposition de Dieu

Le théisme : C'est la croyance en un Dieu personnel. Elle repose moins sur la raison que sur la révélation. Elle offre une promesse d'immortalité. Si on retire toute raison de la croyance, celà donne du fanatisme. Fanatisme : penser que la croyance est un savoir. Révélation : message de Dieu transmis aux Hommes par l'intermédiaire des prophète. La révélation est l'objet d'une croyance, avoir confiance en la parole révélée. C'est la foi. Avoir la foi c'est accepter ce que les textes "sacrés" sont vrais. Pour illustrer cette foi il est interessant de se référer à

Pascal (Chrétien français) : "C'est pas la raison qui sent Dieu mais c'est le coeur. Le coeur sensible à Dieu, voilà ce que c'est que la foi."

Croyance : tenir pour vrai quelque chose sans pouvoir fournir de preuve en ayant conscience de cette impossibilité.

Pascal dit qu'il est préférable de parier que Dieu est plutot que Dieu n'est pas

Paul Clodel : "sa convertion" : changer d'avis et se tourner de Dieu. Dans la cathédrale, tout d'un coup : il crût. Inéfable : qui ne peut pas être traduit par les mots.

Le croyant est authentique si il expérimente Dieu.

Conversion : changement d'état d'esprit.

Platon : Socrate dit qu'il ne sait rien, il montre à ses concitoyens qu'ils vivent mal. Ils donnent la priorité à l'avoir et ne se soucient pas de leur âme et de la vérité. Socrate les incite à changer cette manière de penser ===> il veut les convertir "une vie sans examen ne mérite pas d'être vécue"

Il faut modifier sa représentation du monde, changer sa façon de vivre sa vie et de voir le monde

d'un point de vue religieux, la conversion c'est se tourner vers Dieu, se rendre compte de l'existence d'un Dieu personnel.

Les gens adoptent la façon de penser de sa famille, la religion de son pays.

Montaigne : "on est croyant comme on est Normand"

Tout d'abord, une croyance inpensée, on croît parce qu'on est né en croyant. Puis, quand on y pense, on découvre toutes les racines qui ont nourries cette croyance.

Feindre la croyance : pour cacher ses vices.

Convertion face à la peur de la mort, du temps qui passe, peur face à l'adversité (choses incertaines, imprévues). On crée des dieux pour cacher la peur, puis on va les intérioriser, puis on va trouver des racines : on refuse d'accepter la tragédie du réel (rapport personnel avec Dieu)

religion naturelle/rationnelle différent de religion révélée

Le résultat des arguments qui sont donnés par la raison ex : Dieu des philosophes / preuves physico-théologiques (Voltaire : si belle horloge = horloger ; Descartes :si on pense à une transcendance, quelqu'un de transcendant nous l'a implanté ; Rousseau : tous les hommes ont la capacité de discerner le bien et le mal)

Pourquoi fait-on le mal ? Le fait est différent du droit. Ce que l'on voit faire n'est pas ce qui est le droit #1 on est un ignorant et on ne sait pas que l'on fait le mal ; #2 on est tempté de faire la mal

Esclavagisme : Rousseau : oublier sa liberté, c'est oublier sa qualité d'Homme.

Relativisme morale : conception selon laquelle a sa conception du bien et de mal. Il n'y a donc pas de bien et de mal car chacun a sa propre vision du bien et du mal. Si on tombe dans ce relativisme, plus rien ne va.

L'autre n'est pas simplement un moyen pour arriver à des buts. Il n'est pas qu'un moyen mais il vaut. Il n'a pas de prix mais une valeur absolue, valeur dignitaire. C'est un être de respect. Le respect est un sentiment rationnel par lequel je considère l'autre comme ayant cette valeur absolue.

Le philosophe passe par Dieu pour essayer de comprendre la complexité du monde, pour s'assurer que ce que l'on croit vrai est réellement vrais.

Éthymologie religion : latin religion : origine incertaine, soit redigare : lien (entre les homes)

bouddhisme : religion sans dieu

L'Homme est la frontière entre le savoir absolu et la définir

Pourquoi défnit-on l'Homme comme un etre raisonable ?

Relativisme morale : il y aurait autant de conception de bien et de mal que d'être vivant

Il faut faire la distinction entre le fait (ce que l'on peut observer) et le droit.

Il y a une disticntion entre l'être qui est définie par la raison et un être définie par les passions, capable de tomber dans la démeusure Eric Weil : "L'Homme est raisonnable mais les hommes, le sont-ils ?" , l'homme donne le spectacle de la déraison, il est dirigé par la passion (sentiments très forts entraînants une transformations de la personnalité) mais aussi la violence (tendance qu'ont les individus à détruire l'autre ou l'écarter par la force) Hobbes "L'homme est un loup pour l'Homme" c'est une anthropologie pessimiste (conception de l'Homme selon laquelle il est mauvais, il a en permanence un penchant à faire le mal) Machiavel Le prince 1513 "Il faut toujours supposer que les hommes sont méchants, ingrats, versatiles" à partir de cette antrhopologie pessimiste, il crée une startégie politique. Kant "L'Homme est taillé dans un bois courbe" l'Homme est gouverné par la démesure et n'a pas un regard objectif sur le monde. Il a un regard antropomorphique . Il voit le monde de façon fictive, selon son imagination hybris = démesure. Grâce à sa conscience, il est capable de s'acheminer vers autre chose que ce qu'il est. La désinance "able" désigne que l'homme a la possibilité de s'élever à une existence dirigée par la raison. Cette possibilité elle suppose la conscience d'avoir été gouverné par les passions mais d'autre part, elle suppose aussi un travail permanent sur soi-même. Cela signifie qu'il appartient continuellement à l'homme de réfléchir sur son mode de vie, sur la façon dont il va orienter sa vie. Ce qu'on apele en d'autres termes, une reflexion éthique dont la définition est résumée par la question suivante : "Coment vivre ?", question qui traverse toute la philosophie Grecque.

Comment savoir si j'aime ?

Définition de l'amour : aller du mot au concept, il faut "bricoler" la définition, il faut inventer continuellement ce que l'on va dire "la nature bricole". La philosophie est un tatônement permanent.

Lamartine "un seul être vous manque et tout est dépeuplé"

C'est