Analyse Démocratie De Rimbaud
Documents Gratuits : Analyse Démocratie De Rimbaud. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresé => douceur mais aussi
mélancolie, tristesse,... Point d'exclamation marque de l'énonciation, marque la certitude,
l'exhortation.
Mais => pas de rapport avec la première phrase => rôle erroné du connecteur.
Antéposition de « en moi » => précise que cette tristesse est à lui, est passif dans cette action,
comme si la tristesse lui était extérieure mais => elle est en lui.
Tristesse comparée à la mer. Motif = sa façon de monter. Mer => immensité (on a deux immensité
Ciel>< mer associées à l'énonciateur et le destinataire). Inéluctable, quelque chose contre lequel on
ne peut rien faire, assez rapide, qu'on ne peut stopper.
Rythme du 3e vers => plus saccadé, rappelle le reflux de la mer (en refluant est entre parenthèse)
Lèvre peut aussi désigner le bord d'un coquillage (?) => métaphore filée avec « laisser » et surtout
« refluer » => vocabulaire propre à la mer ou à l'eau.
Lèvre morose => comme si les lèvres étaient là où s'exprime le reflux de la tristesse. Pourquoi le
singulier? Ses deux lèvres n'en forment qu'une? « Morose » associé à « lèvre » => hypallage ou
métaphore pour « sourire »
Enjambement => Action – conséquence. Le vers suivant = ce qui reste du reflux tout comme ce qui
reste du vers précédent
Le souvenir cuisant => cuisant donne une intensité, souvenir = ce qui reste
Limon amer => métaphore, les restes, les séquelles de la tristesse corrigé par « amer » qui rappelle
le goût => lié à lèvre
Peut être métaphore in preasentia : « souvenir cuisant » comparé à « limon amer » Point commun
=> ce qui reste de la tristesse ou souvenir cuisant est tiré de ce limon??? A développer.
Deux tirets => un au début du deuxième quatrain, l'autre à la fin du premier tercet
Les deux tirets => encadrent le passage lié à son coeur => encadre le coeur du poème + les deux
tirets isolent ce passage du reste du poème qui parle des femmes et de la tristesse = comme s'il
voulait l'en protéger.
Ta main => tutoiement + action du destinataire.
Identification (copule = « est ») de coeur et lieu saccagé. Lieu = mot vague, creux.
La griffe et la dent féroce de la femme => métaphore pour la cruauté. La femme est dépoétisée, on
la rend bestiale, sans pitié. Griffe et dent => attributs principaux d'une bête, ce qui peut blesser
l'homme. Tout cela accentué par « féroce ».
Ne cherchez => soit le retour du vouvoiement, soit une sorte d'annonce à la cantonade.
=> on dévoile seulement la clé de plusieurs métaphore => coeur pour lieu saccagé, bête pour
femme.
Métaphore sur « bêtes » pour « femmes » + métaphore sur « manger » pour détruire ravager,... =>
accentue la bestialité, soif de sang de la femme.
Incohérence car à la strophe suivante, repart sur « mon coeur... » =>
Identification « mon coeur » à « palais flétri par la cohue » => majestuosité perdue, métaphore sur
« cohue » => peut-être le désordre dans les sentiments? Ou la cohue causée par les bêtes? Réduit
son intimité, désordre,...
Exprime la nature de la cohue =>
Tiret => on revient au destinataire.
Parfum nage => légèreté, grâce, liberté du parfum. Les trois petits points après le point
d'exclamation => pause qui exprime certainement un silence hésitant.
Comparaison par apposition de « beauté » à « dur fléau des âmes » => Deux choses antithétique
(beauté> confusion,
marque l'incertitude de la nature de leur relation. Marque rapprochement / éloignement.
Métaphore in praesentia => yeux de feu. Catachrèse où les « yeux » sont comparés à « feu » =>
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