Commentaire mort de Kyo
Documents Gratuits : Commentaire mort de Kyo. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresent, pour Kyo, une vie où l'on accepte pas de mourir pour des idéaux ne vaut rien. Son suicide montre qu'il va jusqu'au bout de ses engagements. Cette fin à un aspect, pour lui, (et pour tous les hommes d'action?) grandiose.
Kyo est en fusion avec les autres, il ne marque aucun détachement.
l28/29 "il est plus facil de mourir quand on ne meurt pas seul" il veut une communion avec les mourants; il invite à penser à la mort dans une dimention collective car pour lui c'est une condition universelle donc qui prète à la communion, la fusion. Ici, Kyo fait preuve d'humanisme.
Un mort parmi des morts. l12 "ce lieu de râles", l13 "cette foule", l14 " son murmure de plaintes", l15 "cette souffrance" "une rumeur", l16 "ce chuchotement", l19 "leur bourdonnement de bléssés", l26 "comme chacun de ses hommes couchées", l30 " ce chevrotement"; ici beaucoup de groupes norminals singuliers suivient de groupes norminals pluriels. Cette multitude d'exemple nous montre, que, dans la tête de Kyo, c'est une communion d'hommes, un ensemble d'homme qui sont prèts à mourir pour la même cause que lui. Ce sont tous des hommes d'action qui meurent par idéologie. Aussi, l30 "fraternel" "assemblée", l31 "multitude" l29 "pas seul", ces termes singulier contribuent à l'effet d'unicité. "fraternel" est un terme fort désigant la camaraderie créée lors des combats. Les idéaux semblent être la première cause défendue jusqu'à la mort. L'idéologie réunit les frères de pensés. Elle est plus forte que le devoir parternel "tous ces hommes avaient des enfants. Pourtant la fatalité accéptée par eux" l18/19. "amour viril" terme fort désigant l'unicité.
Une mort paradoxale car elle entaîne une renaissance.
La mort: la fin d'idéaux.
Effectivement, les condamnés sont emprisonnés l1"Ô prison", l2 "séparés de tous", donc coupés du monde. l1 "lieu où s'arrête le temps" et coupés du temps. C'est un lieu clôt où s'effectuera le "coup de grâce" l5. Ils sont inévitablement amenés à mourir. Cette graddation filée l8 "des condamnés", l10 " des mourants", l11 "les morts", l31 "de vaincus", nous montre que tout est vain, ineluctable. La récurence de termes faisant penser à la mort sont mis en opposition à ceux faisant référence à la vie. Cela accentue le fait que la vie contraste avec la mort, qui est obligatoire: l25 "il mourrait", "vivre", l26 "il mourrait" "sens à sa vie", l27 "une vie" "mourir". Puis une récurence exagérée sur le mot "mort" à la ligne 28 marque comme un point final, comme pour que Kyo s'y prépare mieux, réalise qu'elle est toute prète, qu'elle l'attend "mourir" "meurt" "Mort". Aussi, tout au long de l'extrait nous avons le champ lexical de la douleur, physique l5 "coup de grâce", l6 "peine", l12 "râles", l13 "gémir", l14 "plaintes", l15 "souffrance", l17 "douleur"; et de la douleur mentale l7 "humiliation". Cependant, à chaque fois la souffrance est valorisée, la mort dignifiée. La souffrance est digne d'hommes qui se sont battus "souffrance sacrifiée" l15 Pour cela, dans cette dance macabre dans laquelle Kyo est emmenée, on y trouve un "amour viril"l13. ("coeur viril des hommes est un refuge à morts" l35) La souffrance est réhaussée et la fatalité accéptée "fatalité acceptée par eux" l18. Ils souffrent mais ne subissent pas car ils acceptent de donner leur vie pour une cause.
Souffrance faternelle et collective au servise d'une cause: idéologie.
l26/27 "mourrait [...] sa vie" cela est un paradoxe. Mais l'explication est simple. Si l'on meurt ensemble et nombreux pour une cause, cet acte va être légendaire et mystifié car une valeur didactique va inculquer une valeur morale, ainsi cette mort unie donnera de la force aux idéaux, donc de la forces aux
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