Cours d'économie

7/11/2018 ECONOMIE

L’Etat dépense toujours plus que ce qu’elle prélève. En fin d’année on parle de dette publique, qui s’élève en pourcent du PIB ;

La question qu’on doit se poser, c’est bon ou pas d’avoir un endettement.

Pour les Keynésien c’est signe de bonne santé mais pas pour les libéraux.

L’Etat lance donc un emprunt pour combler ce déficit. L’an dernier il a fallu 11 minutes pour que l’Etat comble le déficit. De cette façon on lui prête a un taux trè,s très bas. La dette française est plus basse que la tête Allemande. Il n’y a aucun pays développé qui a fait faillite depuis la seconde guerre mondiale.

On a 2 types de politique monétaire :

On a une politique monétaire restrictive et expansive

La politique restrictive est néoclassique et l’expansive est keynésienne.  

En 2007-2008 on est rentré dans une crise très lourde, c’est ce qu’on appelle la crise des sub prime, lié au crédit aux Etats Unis.

En 2009 Obama autorise la faillite des banques, ça a été le coup de Massu, il y a eu énormément de licenciement.

En 2015 l’union Européenne décide de faire la même chose mais cela ne donne pas le même effet qu’aux Etats Unis car la décision a été prise trop tardivement.

La monnaie c’est un instrument d’échange pour un économiste. Qui peut être utiliser dans un contexte de politique de relance.

Une politique monétaire est nécessaire pour relancer l’économie. Les classiques et les néoclassiques, vont distinguer 2 sphères en économie : la sphère réelle et la sphère monétaire.

Dans la sphère réelle c’est le stock de capitale par exemple et ses variables de sont pas influencer par les grandeurs monétaires. Ils montrent également que la vision que l’on a de la monnaie vient du système de prix. Ce dernier joue un rôle décisif dans les choix des individus.

Les prix sont déterminés dans la sphère monétaire. Et donc ils ne dépendant que la quantité de monnaie en circulation. Ils arrivent a déterminer que la monnaie quel que soit sa forme, n’a pas de rôle dans l’activité économique. Donc toutes politiques monétaires est inutile et inefficace. Donc à l’heure actuelle, face au politique monétaire les néoclassiques considère que les banques centrales doivent être indépendante des Etats. Et quelle doit avoir un seul objectif, c’est la stabilité des prix. C’est-à-dire, qu’elle doit contrôler la création monétaire.

On a un risque de déflation, ça veut dire qu’on a plus l’inflation.

La monnaie va modifier les choix des agents économiques ; Donc kenz présente une analyse du rôle du taux d’intérêt, sur les opérations économiques comme l’investissement, la consommation etc. … Donc on parle sur le marché monétaire, on a une offre de monnaie et une demande de monnaie. L’offre de monnaie vient de la banque centrale et pour la monnaie structurale des banques centrales.

La monnaie repose sur des institutions non démocratiques, ces institutions prennent des décisions, font des choix politiques en matière de taux d’intérêt, de création monétaire, pour réguler l’activité économique.

Politique structurelle : il y a les politiques de formation, les contenues d’un diplôme est définit dans le cadre des politiques structurelles. Il y a les politiques d’emplois, politique industrielle, politique d’aménagement du territoire etc…

Les politiques structurelles regroupent l’ensemble des décisions prisent par les pouvoir public en vue d’atteindre des objectifs désignés. Ces objectifs visent à modifier sur le long terme les activités productives d’une économie. C’est ainsi que l’Etat aménage le territoire par de l’investissement publique, investie dans la formation, favorise la recherche et le développement scientifique, protège par des politiques de santé publique les populations Etc…

Dans la politique industrielle : On a le droit fiscal, on l’aborde a travers 2 types d’actions, il y a les actions qui porte sur l’environnement économique des entreprises par exemple toutes les subventions pour aider a la recherche et au développement. Par exemple les aides pour la formation du personnel.

Et puis il y a le 2e volet c’est-à-dire les actions plus spécifiques qui concerne des projets de reconversion des entreprises. 

Cela vise à apporter de la concurrence aux entreprises international du fait que la production est l’activité qui permet la croissance pour un pays. Donc l’Etat depuis les années 1980, dans tous les pays développés capitaliste orientent ses actions sur le secteur industriel pour préparer les nouveaux secteurs qui seront la condition des nouveaux emplois.

Donc la politique industrielle est le préalable des politique d’emploi et de formation.

Pour les politiques d’emplois, on ne parle que du travail. Cela signifie que l’individu n’a pas de place dans la société que part son travail. Et de cette conception, on retient le fait que le seul travail retenu est le travail rémunéré. Pour Kent le marché du travail n’existe pas.

C’est les entreprises qui créent de l’emploi, donc c’est elles qu’il faut protéger.

Sur ce marché tous les individus qui acceptent de travailler à ce prix d’équilibre, trouve à s’employer. Et donc pour les néoclassiques il ne peut pas avoir de chômage qui perdure.

Donc le chômage provient d’individus qui refuse de travailler pour le salaire proposer, donc on ne peut rien faire pour eux. Il s’agit ainsi de leur choix personnel, c’est une vision très dure.

Qu’est ce qui peut créer un déséquilibre sur le marché du travail ?

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Les néoclassiques encouragent les entreprises a accepter des salaires élevés, le plus élevé que le prix d’équilibre en fonction d’une situation considéré comme supérieur. En revanche cette solution porte sur un classement et une dévalorisation de certains emplois et de certaines compétences individuelles. Mais l’idée général vient du fait, que la division du facteur travail, de la manœuvre, peut devenir une dynamique pôle emploi.