Résumé cours d'économie terminale
Fiche : Résumé cours d'économie terminale. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Gonzague Ansart de Lessan • 24 Janvier 2020 • Fiche • 2 885 Mots (12 Pages) • 555 Vues
Investir en K : vendre prod + cher qu’elle n’a couté. On dépense de l’argent pour faire de l’argent
Capitaliste : individu vivant en investissant de l’argent en espérant faire du profit
Avantages capitalisme :
- Production de biens demandés à des prix raisonnables, et pour cela il faut laisser faire le marché. Schumpeter : destruction créatrice : qu’une E disparaisse : pas forcément mal
- Capitalisme rend système adapté aux évolutions du M
- Incitation à /> éco + avantages
- Besoin des autres pour produire (rôle de pacification)
Critique marxiste : salaire du prolétaire : inférieur à ce qu’il rapport au capitaliste
Pbs capitalisme :
- destruction env
- sur-conso
- inégalités
- crises
Pour que capitalisme puisse émerger et prospérer, nécessaire qu’il existe :
- protection propriété privée (brevets)
- droit des contrats 🡪 faciliter échanges
- Droit : précondition du capitalisme :
- Liberté (créer E, échanger, concurrence)
- Système financier qui permet d’emprunter de l’argent
- Système fiscal qui encourage à la création de richesse
- Droit peut intervenir pour rééquilibrer
Capitalisme a besoin d’argent 🡪 financer son activité qui peut être emprunté / prêt bancaire (sommes peu importantes) ou / M financiers : obligations (sommes + importantes)
Bourse : moyen de financement des E mais aussi des dettes d’Etats.
Epargne :
- Ss matelat (ne rapporte rien)
- Livret : ne rapporte pas grand-chose
- Achat immobilier pour location
Placement : peu de risques, investissement : + de risques
Bourse 🡪 diversifier son épargne :
- Actions
- M obligataire
- M monétaire
- « portefeuilles » en achetant des parts
Tt le monde peut investir, devenir actionnaire, acheter obligations mais cela suppose de pouvoir épargner. Le choix d’un type de placement/investissement dépend de son rendement, mais aussi des placements et investissements alternatifs
# M :
- M dérivés : instruts dérivés : contrat financier dont valeur provient de fluctus de P d’un autre actif financier. Pas de valeur éco à proprement parler car pas titre de créance sur une E. Dérivés servent à transférer le risque et donc s’en protéger. Effet de levier sur le % de variation du ss jacent. De base : gérer risques, servent aujourd’hui à spéculer.
Bourse : hauts rendements : capitalisation boursière 2017 : 92 412 milliards de dollars. Echanges quotidiens : CAC40 : 3 milliards, Euronext : 8 milliards, NYSE : 50 Milliards
M des dérivés : 23 milliards/jours en 2015
Obligations : 1000 Milliards/jours, valeur totale : 45 000 milliards
Argent largement virtuel. Sommes si importantes qu’il faut contrôler M contre abus (obligation de transparence + contrôle des délits d’initiés)
Buffet : Acheter actions qd cours : au + bas, ne pas investir ds E high tech, diversification limitée, garder dirigeants des E qu’il achète même si ils sont agés.
Investisseur choisissent une action / graphiques (cours passés) : si cours /> : gens ont infos et achètent ; si cours \> : gens ont infos et vendent. Cours synthétise l’info, + cours monte, plus bonne nouvelle est attendue.
Logique boursière 🡪 objectifs de rentabilité clair sur court et moyen terme, E n’exercent que le cœur de métier, distribuer stock-options 🡪 inciter dirigeants à maximiser valeur de l’E. E : perçue nn plus comme centre de prod et d’emplois mais est désormais une structure qui gère un portefeuille d’activités
Crise :
- Bulle immobilière (bien immo : bien et actif financier, s’apprécie de 9% / an)
- Bulle du crédit (tx d’intérêt bas ont renforcé mécanisme bulle
- Titrisation (permet de transformer crédit bancaire en actif négociable et liquide)
CI : avantageux car /> nb et variété des objets, intérêt individuel contribue à l’intérêt collectif, pacification.
Mondialisation :
- XVIème siècle – 1960 : économie internationale : multiplication des échanges et chaque état gère sa pol d’échange.
- 1960 : phase de l’éco multinationale : IDE, transfert de facteurs de prods, pas encore de délocalisation.
- 1980 : mondialisation moderne : Dimension plus financière (strates de rentabilité), plus grande flexibilité, unification des M.
Mondialisation éco :
- \> barrières commerciales et coûts d’échange
- Forte intégration des M financiers
- IDE : facteur central de la mondialisation
- E multinationales : principaux vecteurs de l’internalisation de l’éco
- Déspécialisation des activités éco
- /> accords régionaux de libre échanges
Délocalisation :
- Impacts positifs : \> coûts, main d’œuvre qualifiée mobilisée ds d’autres emplois, pays ds lequel on délocalise se dév.
- Impacts négatifs : /> chômage ds pays qui abritent l’usine délocalisée, travailleurs nn qualifié ont du mal à trouver un emploi ds pays pas destinataires de délocalisation, qualité des produits : + aléatoires, \> potentielle des recettes fiscales, dégradation envi pour pays accueillant délocalisations
Dév du CI :
- Nouveaux produits crées ds pays riche pour conso locale
- Demandés ensuite ds autres pays riches, importations puis création de substituts
- Deviennent des standards et produits / pays émergents
- Nouveau cycle (permet transfert technologies et \> coûts produits)
- Recherche de la production à un moindre coût 🡪 délocalisation 🡪 pays hôte s’enrichit, salaires /> + transfert de technologies, formations liés à la prods 🡪 dév.
Droit peut aider à encadrer processus mais doit faire attention lorsque il veut les freiner.
Loi de Say : Prod 🡪 richesse répartie entre agents éco qui ont contribués à sa prod ss forme de revenus. Ces derniers 🡪 dépenses 🡪 produits et ainsi de suite. Le revenu est l’égal de la dépense. Prod : consommée, investie ou dépensée / gouv. R des ménages : consommé ou épargné + payer impôts. Prod de biens 🡪 suffisamment d’argent aux salariés et E pour que les biens : achetés. Si trop de prod, P : \>. Si ménages épargnent 🡪 dépenses d’investissement des E : fav / \> tx d’intérêt. Si \> conso et tx d’intérêt, E 🡪 investir.
Prod E dépend d’anticipations (/ D agrégée ou anticipée) qui auront impacts sur tx de chômage.
Classiques : Tx d’intérêt s’ajuste automatiquement 🡪 équilibre du M.
Keynes : Investissement dépend faiblement du tx d’intérêt réel et l’épargne des ménages : résidu du R dispo après conso : pas de mécanisme d’ajustement entre épargne des ménages et investissements des E et de l’Etat : équilibre du M pas tjrs assuré 🡪 crises.
Keynes : P et salaires : pas flexibles et ne s’ajustes pas. Keynes raisonne en éco fermée. Ménages consomment en fonction de leur R dispo. Propension moyenne à Consommer : rapport entre conso et R. propension Marginale à Conso : mesure variation de la conso entre 2 périodes lié à variation du R sur les 2 mêmes périodes. PMC : constante et stable # PmC
Selon Keynes : pas vrmt de raisons pour que fluctus de tx d’intérêt affectent niveau d’épargne des ménages. Proportion moyenne à Epargner (tx d’épargne) : mesure rapport de l’épargne sur le R. Proportion Marginale à Epargner mesure variation d’épargne lié à variation d’une unité de R.
D anticipée ne dépend qu’en partie du R dispo, existe aussi D autonome (ne dépend pas du R)
Crises selon Keynes : objectif idéal : ménages consomment et E investissent suffisamment pour que tte prod : vendue. Si tt R des ménages : consommé 🡪 plein emploi. (loi de say) Si ménages épargnent, il faut des investissements (sinon : surproduction et licenciement). Epargne 🡪 récession
Qd E produisent qté de biens et services = à Y, E distribuent ce même R Y aux ménages ss forme de salaires. M des biens et services : équilibré lorsque prod des E gènère R permettant d’absorber la totalité de la prod. Si E anticipent bien la D : M 🡪 équilibré.
Selon Keynes : mécanismes d’ajustement existent pour M de B&S à l’équilibre mais contrairement aux classiques, c’est / qtés et nn pas / P. Insuffisance D limite production des E 🡪chômages. Pour équilibrer M des B&S et plein emploi, il faut soutenir D de B&S.
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