Culture Géné Bts

est tout a fait probable que Gervaise soit superstitieuse, mais nous pouvons associer cela également à de la solidarité et de soutien.

La nourriture est aussi un des attraits de la fête. Il est cité un menu très copieux : Oie, potage aux pâtes accompagné de bœuf bouilli, une blanquette de veau, une échine de porc aux pommes de terre et un plat de pois aux lardons. L'auteur tends a faire une analyse sociale. Nous pouvons dans cette extrait avoir une comparaison avec les gens riches, mais en rapport avec l'aspect physique et négatif que montre peux montrer ces personnages, des ouvriers parisiens de la fin du XIX siècle, lors de ce repas : « la bouche ouverte, le menton barbouillé de graisse, ils avaient la face pareilles à des derrières, (…........) de gens riches, crevant de prospérité. ». Zola veut faire comprendre l'état d'esprit populaire de la fête, mais en souligne la vulgarité qui en dégage.

1.3

Le troisième document est un article intitulé, les femmes dans le banquets politiques en France vers 1878 est mis en ligne le 16 novembre 20006. L'auteur est Jacqueline Lalouette. Ce document est de type informatif.

Cet extrait décrit la scène d'un repas banquet civique, le 1mai 1878, offert par la garde Nationale de Libourne à un de ses régiment conviant 1500 à 1600 hommes. Nous pouvons voir dans cette article que les femmes, avant la révolution, n'assistées au repas seulement sous formes de « décor », ce qui veut dire qu'elles ne goutaient pas au repas, qu'elles avaient le plus souvent fait et ne participaient pas à la soirée, mais un changement s'est opéré après la révolution dans leur participation aux banquets organisés.

La place des femmes lors des fêtes par rapport aux hommes est donc un point à souligner dans ce document.

1.4

Le document 4 est un extrait du livre de Roger Caillois, L'Homme et le Sacré, paru au éditions Gallimard en 1938 (c'est a dire avant la révolution française dites « les trois glorieuse » )

Cet extrait est de type descriptif. Il mets en avant le fait que les fêtes sont synonymes d'excès à cette époque.

L'extrait fait ressortir le fait que les même éléments soient présents dans les fêtes : la danse, le chant, la nourriture, l'alcool en abondance, avant et après la période des « trois glorieuse ». Ils sont même très fortement associés voir même impossible à dissocier.

L'extrait montre que les « excès » peuvent également être visible dans le temps. Au lendemain des fêtes, il possible de voir et de ressentir dans les lieux investis ce qui c'est « jouer ».

2.

La fête est l'expression d'un héritage et d'une identité culturel. Elle permet à chacun de revendiquer son appartenance à un groupe ainsi que rythmer des rites ancestraux Elle est l'occasion de célébrer la mémoire des générations et de perpétuer les traditions. Le « sacré » est inscrit et participe à valeur de la fête dans notre société. ( 55 mots )

3.

Historiquement, nous pouvons constater une différences entre les repas festifs d'hier et ceux d'aujourd'hui. Autrefois, les repas festifs s'organisé de manière quantitative tant pour les invités que pour la nourriture servi. Nous allons nous intéresser aux changements. Pourquoi leur organisation à changées et comment ? Nous présenterons donc ces repas festif de nos jours et tenterons d'en trouver les raisons du changement qu'il présente.

Il est je pense également important de rappeler qu'autrefois, les repas marqué le statut de chacun d'un point de vue hiérarchique dans les rencontres politiques. Ils permettaient de trouver parfois un terrain d'entente face a des désaccords et renforcer les liens entre chacun.

De nos jours, la présentation d'un repas festif ne pourrait se faire de la même manière. Les invités sont beaucoup moins nombreux, le statut social est moins marqué. Nous pourrions rencontrer une grande quantité d'invités, mais lors de grande occasion, tels que dans les mariages, les grandes fêtes de famille, mais pour d'autres occasion cela se fait rare. Les différences hiérarchiques, elles, se feront encore sentir dans les réunions politiques, ou dans des réunions professionnelles, mais très rarement dans des repas festifs d'aujourd'hui. Aujourd'hui, la convivialité et la simplicité sont préférés aux valeurs d'autrefois.

La manière de recevoir est différente. L'objectif étant à ce jour de se retrouver, se réunir entre famille ou amis et de passer du bon temps. Nous portons une importance à la qualité du repas, nous ne sommes pas dans la quantité, nous n'y attachons pas une perfection Le partage est un aspect à souligner aussi. Il n'est pas rare que chacun des invités participe à l'élaboration de la rencontre en apportant quelques choses a partager. Nous sommes loin du temps où l'on se retrouver autour d'une table pour manger a outrance et qui manquait la hiérarchie de chacun ainsi que leur statut social. De plus, il est important à mon sens de souligner le fait que la quantité de la nourriture « absorber » autrefois, ne devait pas être bénéfique pour la santé. Aujourd'hui, nous attachons une importance à la qualité de se que nous mangeons. Sans rappeler que le « culte de la minceur » doit parfois avoir son effet. Les campagnes de publicité nous rappelle sans cesse à l'ordre concernant notre hygiène de vie. Il en découle également, l’attitude face a l'alcool que pouvaient avoir les gens d'autrefois.

Ceci expliquerais peut être une partie des changements et de la transformation de ces repas.