Devoir 3 Culture Générale Bts Notariat 1Ère Année
Commentaires Composés : Devoir 3 Culture Générale Bts Notariat 1Ère Année. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresce à l’autodestruction. Le problème des magazines de mode est que les gens s’identifient aux mannequins. Les codes dictent les comportements des individus ce qui est néfaste par les individus.
1.3 En ce qui concerne la provenance, le document 3 est un extrait de la nouvelle « Boule de Suif » de Guy de Maupassant publiée en 1880. Cet extrait est de type narratif, en effet, l’auteur nous fait le portrait de Boule de Suif.
En ce qui concerne le contenu, l’auteur nous décrit une femme surnommée « Boule de Suif » qui signifie boule de graisse. Cette jeune femme est une prostituée qui attise tous les désirs. Il évoque le sentiment de désir qu’elle dégage avec le champ lexical du corps. Il décrit Boule de Suif comme une personne « appétissante », il nous fait une description « culinaire » de cette femme avec l’idée de lard…Boule de Suif est une personne qui n’existe qu’en fonction de la société, elle est une femme « galante » et elle dégage l’idée de consommation.
1.4- En ce qui concerne la provenance, le document 4 est un tableau avec un commentaire. Ce tableau se nomme La mort de Didon et a été peint Pierre-Paul Rubens vers 1635.Il représente la légende d’Enée.
En ce qui concerne le contenu, Didon est représentée avec de l’embonpoint, en effet, à cette époque il valait mieux être une femme bien en chair plutôt que fine. Les femmes avec un embonpoint étaient la beauté de l’époque.
Résumé
A la fin du XIXe siècle, un premier constat est fait par les assurances américaines, la graisse entraine une diminution de l’espérance de vie. Peu après, les médecins s’alignent sur ce constat. On observe la montée de la minceur comme un phénomène social. Le corps doit être esthétiquement beau. En 1980, la femme devient une vraie prédatrice, elle est « féline ».
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Développement personnel
L’embonpoint est aujourd’hui redouté et la graisse bannie de la cuisine. Quelle est la part de la mode dans ce contexte « anti-graisse » et quels sont les facteurs de la condamnation du gras ? Si la mode prend une part non négligeable dans l’obsession de la minceur, il existe des facteurs importants qui prônent la minceur pour des raisons satisfaisantes tels que des facteurs médicaux mais également le changement des mœurs et des modes de vie.
La mode joue un rôle non négligeable dans la condamnation de la graisse. La mode se définit comme une manière de vivre, de penser, propre à une époque, à un pays, à un milieu. En effet, on constate que selon les pays et même les époques, les critères de la beauté sont différents. Dans certains pays, les femmes ayants un embonpoint sont les beautés tandis que les femmes minces ne le sont pas. Par exemple, aux Etats Unis les hommes préfèrent les femmes rondes tandis qu’en Europe les hommes préfèrent les femmes que l’on peut apercevoir dans les magazines féminins, les publicités… De plus, selon les époques la beauté des femmes est perçue de façon différente puisque l’on sait qu’entre le XVI et le XVIII les femmes avec de l’embonpoint étaient les véritables beautés alors qu’aujourd’hui ce sont les femmes des magazines occidentaux qui dictent les codes vestimentaires, corporels à adopter. La mort de Didon de Rubens illustre très bien cette idée car elle est représentée bien en chair mais aujourd’hui notre modèle est celui des magazines féminins tels que Cosmopolitain, Vogue… On peut donc se demander si la publicité ne joue pas un rôle dans le culte de la minceur. En effet, chaque publicité, magazine nous montre toujours le même stéréotype de femme. Elles sont toujours grandes, minces, belles, sportives… On nous vend donc ce à quoi nous devons ressembler, il s’agit d’une « image » à laquelle nous devons ressembler afin de ne pas être rejeté par la société.
La mode joue donc un rôle non négligeable dans la condamnation de la graisse et de l’embonpoint. Toutefois, les véritables causes de cette guerre contre la graisse et l’embonpoint trouvent sa légitimité dans l’incidence de la graisse sur notre santé mais également car nos mœurs et mode de vie ont changé. La première observation qui inscrit la graisse comme un frein à l’espérance de vie a été faite par les compagnies américaines d’assurances et à été soutenu par les médecins au cours du XXe siècle comme nous le fait partager Claude Fischler dans son article du Nouvel observateur en 2004. On constate que l’excès de poids entraine une diminution de l’espérance car l’excès de poids s’associe à des maladies telles que l’hypertension, problèmes cardiovasculaires, diabète, cancers…On met alors en place une politique de minceur avec des campagnes afin de s’alimenter de
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