E-Commerce : État De
Dissertation : E-Commerce : État De. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoireserce pour le distributeur…………………………...p : 34
a. Des économies de coût d’exploitation (marketing, production…)…………………...p : 34 b. Simplicité de paiement (PayPal par exemple) : un nouveau mode de règlement…....p : 35 c. Le commerce électronique, ouverture sur le commerce international…………….…p : 36
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3) Inconvénients spécifiques du e-commerce pour l’internaute…………………………..p : 38
a. Les produits et services susceptibles d’être vendus par ce canal sont limités…….....p : 38 b. Impossibilité de voir le produit avant de commander………………………………..p : 39 c. Un risque de contrefaçon…………………………………………………………….p : 41 d. Le coût des frais des ports peut être important (port > prix d’achat)…………….…p : 44 e. Une absence de réelles relations commerciales et un manque de conseils………..…p : 45
4) Inconvénients spécifiques du e-commerce pour le distributeur………………….……p : 46
a. Un risque de fraude lors du paiement………………………………………………..p : 46 b. Une utilisation difficile de certains moyens de paiement (chèque, virement, espèces,…)…………………………………………………………………………....p : 49 c. Un mécontentement du réseau de distribution traditionnelle (franchise,
concessions,…)…………………………………………………………………….....p : 52
CONCLUSION……………………………………………………………………………….p : 54
ANNEXES…………………………………………………………………………………....p : 55
BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………………………………....p : 61
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INTRODUCTION
Selon le baromètre Médiamétrie, fin juin 2007 en France, plus de 30 millions de personnes ont déclaré avoir eu accès à Internet au cours du mois précédent l’enquête, depuis leur domicile, leur lieu de travail ou d’études (voir annexe graphiques 1). La population d’internautes a progressé de 12% en un an. Selon l’INSEE, près de 49% des ménages français (comptant un membre au moins, âgé de 16 à 74 ans) disposent d’une connexion à Internet à domicile début 2007 soit une augmentation de 8% par rapport à l’année 2006. Depuis 2001, la proportion des ménages connectés à Internet à domicile a plus que doublé. Selon une enquête du Crédoc de Juin 2006, environ 60% de la population (dont 57% des adultes) dispose d’un ordinateur à domicile, et 45% de la population (dont 43% des adultes) est connectée à Internet, alors que ces pourcentages étaient respectivement de 55 et 40% en juin 2005. Au sein de l’Union Européenne, la France figure en quatorzième place en matière de connexion à Internet avec près de 49% des ménages (comportant un membre au moins âgé de 16 à 74 ans). En revanche, 71% des foyers allemands et 67% des foyers britanniques étaient connectés à Internet à domicile en début d’année 2007. Aux PaysBas, en Suède et au Danemark, la proportion est de l’ordre de 80% (voir annexe graphiques 2). Cette situation résulte d’un équipement des ménages français en micro-ordinateurs inférieur à celui de la majorité des autres pays européens. Début 2007, l’Allemagne et le Royaume-Uni avec 77 et 71% des ménages équipés en micro-ordinateurs, distancent largement la France (56% fin 2005 mais 62% début 2007) (voir annexe graphiques 3). En juin 2007, le nombre de connexions en haut débit a atteint 14,3 millions de lignes. L’augmentation est de 3,15 millions d’abonnements soit une progression de 28% par rapport à juin 2006 (voir annexe graphiques 4).
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La plupart des connexions à haut débit (95%) sont constituées par des abonnements ADSL et seulement 6% par des abonnements au câble ou à d’autres moyens techniques (fibres optiques, boucle locale,…). Le haut débit est devenu très rapidement un produit de grande consommation. La substitution des accès à Internet à bas débit par des accès à haut débit s’accélère. Avec plus de 13,6 millions de lignes ADSL en juin 2007, la France se situe dans le peloton de tête des pays européens, tant en termes de nombre d’accès ADSL que de taux de pénétration. Selon Médiamétrie, plus des trois quarts des ménages ayant accès à Internet à domicile disposent d’une connexion à haut débit. Les tarifs de détail des accès à Internet en haut débit ont connu des baisses importantes en 2004 et sont actuellement parmi les plus bas d’Europe. En parallèle, les acteurs ont innové et diversifié leurs services : voix sur IP, forfaits téléphoniques et ADSL illimités, diffusion audiovisuelle, visiophonie,… La connexion à Internet à haut débit est considérée par de nombreuses études comme un facteur d’intensification rapide des usages de l’Internet (téléchargements audio et vidéo). L’usage du haut débit a également évolué. Initialement limité à l’accès à Internet, le haut débit tend aujourd’hui à englober la téléphonie voire la diffusion audiovisuelle. A terme, tous les terminaux communicants et capables d’interactivité sont appelés à devenir de véritables vecteurs du commerce électronique. Outre l’ordinateur personnel connecté à Internet, deux types de terminaux connectés sont susceptibles d’être utilisés pour des achats à distance : le téléphone portable et la télévision numérique (au travers du décodeur). En France, ces outils de communication se diffusent rapidement. En septembre 2007, près de 53,1 millions de clients, soit 84% de la population (population de référence : janvier 2006) disposent d’un téléphone mobile personnel, selon l’Observatoire des mobiles de l’Arcep (voir annexe graphiques 5), contre 69% à la fin 2003. Néanmoins, la diffusion du téléphone mobile en France reste nettement inférieure à la moyenne européenne. Le téléphone mobile est susceptible de jouer un rôle important dans le développement futur du commerce électronique. Il est meilleur marché, plus facile à utiliser et plus répandu que le microordinateur. www.oboulo.com
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Avec l’utilisation de nouveaux moyens de communication, la diffusion d’Internet de plus en plus étendue ainsi qu’un accroissement de l’équipement informatique des ménages, le commerce électronique va continuer d’augmenter. Tout d’abord dans cette étude, nous définirons le commerce électronique avec les différents types de e-commerce existants : le B2B (Business To Business), le B2C (Business To Consumer), le C2C (Consumer To Consumer). Puis dans une seconde partie, nous étudierons les avantages et les inconvénients du commerce électronique.
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I – La vente en ligne ou commerce électronique : définitions
Le rapport Lorentz définit le commerce électronique comme « l’ensemble des échanges électroniques liés aux activités commerciales : flux d’informations et transactions concernant des produits ou des services » et précise qu’ « il s’étend aux relations entre entreprises, entre entreprises et administrations, entre entreprises et particuliers et utilise diverses formes de transmission numérisées : téléphone, télévision, réseaux informatiques, Minitel, Internet ». Selon l’OCDE, ce sont « toutes les formes de transactions liées aux activités commerciales, associant tant les particuliers que les organisations et reposant sur le traitement et la transmission de données numérisées notamment texte, son et image. Il désigne aussi les effets que l’échange électronique d’informations commerciales peut avoir sur les institutions et sur les processus qui facilitent et encadrent les activités commerciales ». Ces deux approches montrent que la définition peut être vaste, qu’elle soit politique, économique ou technique. Nous avons cependant choisi de délimiter notre étude au commerce électronique sur l’Internet. Nous allons tout d’abord nous intéresser
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