Les thermorécepteurs cas

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1. Les thermorécepteurs

2 types :    

• Thermorécepteur externe situé au niveau cutané. Ils couvrent une large gamme  de température. Il y a des récepteurs qui réagissent au chaud et d’autres au froid.

(Si diminution de température, les récepteurs au chaud cessent leur activité (inversement))

Les neurones afférents qui partent de ces récepteurs, sont de petit diamètre et peu ou pas myélinisés.

• Thermorécepteur interne situé au niveau de l’hypothalamus. Récepteurs centraux qui jouent un rôle important car la T° du corps est quasi constante constamment.

Situé dans l’hypothalamus, dans la structure cérébrale de l’hypothalamus-> centre de régulation au froid, qui est plutôt géré par l’hypothalamus postérieur. Une fois stimulé, ce met en route des voies adrénergiques qui déclenche une vasoconstriction cutané (diminution vaisseaux de la peau -> - de circulation à la périphérie -> donc – d’échange avec l’extérieur -> - de perte d’énergie), l’horripilation (érection des poils).

Centre de thermorégulation au chaud : hypothalamus antérieur : il va déclencher la mise en route de voies cholinergiques, qui va déclencher une vasodilatation cutané et sudation.

En dessous de 33 C°, le sujet perd connaissance. A 30 C°, c’est là que les centres de l’hypothalamus cessent de fonctionner, de réguler (point de non-retour). Et entre 28 C° et 30C°, le cœur s’arrête. Vers 42 C°, atteinte ou souffrance du système nerveux, au-delà de 45C°, on a des lésions irréversibles et létales.

2) Les chémorécepteurs

Ce sont des cellules sensorielles qui fournissent des renseignements soit sur la concentration totale de soluté (hypo ou hyper concentré) ou soit sur la concentration de molécule chimique bien précise. Ils réagissent à la réception de substances chimiques (fixation).

Certains chémorécepteurs vont répondre à des motifs/variations du milieu interne.

Exemple : récepteurs aux ions H+ (chémorécepteurs  situés dans la paroi des vaisseaux sensible au Ph) et à l’oxygène (chémorécepteurs aortique stimulé par variation de pression de l’oxygène)

Il y a aussi des chémorécepteurs qui vont répondre à des motifs du milieu externe.

Exemple :

• Récepteurs au goût qui détecte les molécules chimiques constitutives des aliments.  
• Récepteurs de l’olfaction (odorat), percevoir les molécules chimiques constitutives de l’air que l’on respire.