Alcools d’apollinaire

DEVOIR MAISON « Alcools d’Apollinaire » :

Le thèmes choisis pour réaliser le devoir maison est Le voyage/La migration.

I. Tableau synthétique

TITRE DU POEME BREF RESUME DU POEME COMMENTAIRES SUR LA FORME CITATION INTERESSANTE ET PETITE EXPLICATION POURQUOI AVOIR CHOISIS CE POEME

ZONE Il met à l'honneur Paris à l'époque de la Seconde Révolution industrielle. Le poète met en avant la modernité pour l'époque. En effet appolinaire evoque le monde et les nouveautés qui y sont apportés. Il insiste sur la modérnité et la divérsité car pour lui cela (son monde moderne) est beau ce qui n’est pas l’opinion de tous le monde. La struture du poême n’est pas commune. « Zone » commence par trois vers desolidarisés les uns des autres puis une petite strophe de trois vers puis deux strophes beaucoup plus longues etc…

Meme choses pour la longeures des vers ; 11 ou 12 pour le premier, 16 pour le 2ème et 17 pour le 3ème, ainsi de suite…

L’ennonciation du poême est très particulière, on retrouve « tu », mais aussi « vous ».

Dans la langue egallment, appolinaire n’a pas suivis les codes, on retrouve notament un niveau de language famillier.

Cependant, on retrouve des formes de lyrisme beaucoup plus traditionnelle. Le titre « Zone », lui-même est porteur de sens : en marge du recueil, ce poème renvoie également au quotidien urbain moderne qui fascine Apollinaire. Par ailleurs, le mots Zone fait référence déjà à la migration.

« Douloureux et jouyeux voyages », appolinaire evoque ces douloureux souvenirs dans ce passage du poeme. Car ce poeme est novateur et très riche pour effectuer une analyse dessus.

LA CHANSON DU MAL-AIME La chanson du mal aimé détaille la vie sentimentale d'Apollinaire qui a toujours l'impression de ne pas être aimé à sa juste valeur. Pour exprimer ses regrets et ses rêveries, le poète utilise des allusions à l'Histoire et à la mythologie. Ce poème a été repris par Nino Ferré. La chanson du mal aimé est un poême extrenement long de 300 vers (60 quintils) octosyllabiques parfaitement rimés. « Un soir de demi-brume à Londres » Ce «soir», «à Londres», s’explique parce qu’y habitait Annie Playden. La «demi-brume»

est propre au climat anglais ; mais, suffisante pour estomper la réalité sans la masquer pour autant,

pour permettre de se méprendre par instants, elle crée aussi une atmosphère de mystère, propice à

l'éclosion du souvenir et au rapprochement avec les légendes.

« J’erre à travers mon beau Paris ton soleil ardente lyre » Du roi se suicidant dans un printemps frisquet de montagne, on passe brusquement, à

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