Culture Ge Et Ex Devoir 1

e rapport éducation- répression commence par considéré l'enfant désordonné et instable comme un criminel, un bandit. De ce fait, à partir de 1860 on ne pense plus à leur apprendre différentes formes de civilisation de la société mais plutôt à les punir. Ces mesures de répression sont appliquées plus particulièrement dans les centres de redressement pour ces jeunes adolescents. En 1890, ces derniers sont de plus en plus nombreux ; on constate que l'enfermement des mineurs pour une longue durée dans des conditions minables est perçu comme la meilleur relève de l'éducation. En revanche, au début du 20e siècle il y a une amélioration du système de reconnaissance des droits des enfants : l’État met en place grâce à la loi de 1912 un tribunal pour enfants. Malgré cette importante action menée en faveur de ces jeunes délinquants, de ces jeunes enfants ; elle n'a pas eu d'emprise sur le fonctionnement des maisons de redressement. Cependant, en 1925 de nombreux ouvrages, compagnes de presses menés par des journalistes dénonçant les actes et les conditions que subissent les jeunes.

C'est de là qu'en 1934 débutent les fameuses révoltes de Belle-île-Mer.

Elles ont permis la condamnation de ces formes d'établissement, la programmation de mesures éducatives ainsi que des réformes. Les réformes ne prendront places qu'entre 1937 et 1938 pour ainsi permettre un suivi pédagogique et professionnel à tous les mineurs.

4-Comparaison de documents

Ces trois documents ont comme thème principale de parler du fait divers de Belle-île-Mer.

Chacun parle de ces jeunes enfants, vu comme des délinquants en période de l'adolescence.

Ils partagent des idées communes diverses.

Premièrement, le fait que leur éducation doit étu liée à l'enfermement, ces jeunes sont regroupés dans des centres dignes de prisons.

De plus, il leur est affligé des mauvaises traitements ; Emmanuelle Bouchez en témoigne dans son ouvrage filmographie où ces mauvais traitements entraînent la mort de certains des jeunes. Ces trois documents, parlent aussi bien de la violence et de la maltraitance qui règnent dans ces maisons pénitentiaires.

Pour finir, Jacques Prévert parle des compagnes de presse qui ont amenées aux révoltes des jeunes tandis que Jacques Bourquin témoigne des compagnes de presse qui ont permises de prendre des mesures psychologiques, éducatives et pédagogiques pour venir en aide aux adolescents.