Rapport De Stage Mexicana
Recherche de Documents : Rapport De Stage Mexicana. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoireséchir, c’était devenu automatique ou plutôt naturel! Je pense avoir réussi à cerner ce que chaque client recherché et traiter ses objections.
II/ LES ETAPES DE LA VENTE DANS L’ENTREPRISE
A/ Vente en général
Les consignes étaient simples :
1. Dire Bonjour
2. Laisser le client regarder, ne pas lui « sauter dessus ». S’il montre un intérêt particulier ou veut essayer, lui proposer son aide ou le laisser de lui-même venir vers nous.
3. Phase de découverte à l’aide des questions miroirs, ricochets ainsi que la reformulation.
4. Ne pas mentir au client, préférer ne rien lui vendre que lui vendre quelque chose dont il ne sera pas satisfait pour tenter de le faire revenir et/ou le fidéliser. Ne surtout pas le forcer pour éviter de le refermer sur lui-même!
5. Phase d’argumentation ; ne dire que la vérité sur tout ce qui concerne la matière, puis valoriser la marque, le tomber d’une robe ou la beauté d’un sac…
B/ Ventes privées
Les Ventes privées sont réservées aux habitués ayant effectué durant les six derniers mois des achats de 400 ou plus de 400 euros dans le magasin.
1. Dire Bonjour
2. Se présenter, être courtois.
3. Demander au client s’il veut d’abord voir quelque chose de particulier ou si on lui présente directement les avantages qu’il a sur les différentes collections.
4. Lui proposer café, chocolat, thé, soda, vin et en accompagnement des chocolat pyrénéens.
5. Les conditions changent, il faut vendre, ce sont des client qui ont des moyens financiers, il faut les convaincre de leurs avantages comparer aux autres clients, les flatter, leur faire acheter tous ce qui peut leur plaire.
Les amis du Directeur reçoivent le même traitement que les clients des ventes privées mais sont reçus par Hervé en personne ou Claudia la meilleure vendeuse du magasin.
III// LES APPORTS PERSONNELS DU STAGE
A/ Poste occupé
Vendeuse : le plus souvent au stand Diesel et Haut de Gamme ( dû au fait que je soit une fille). On m’a aussi confié la responsabilité de téléphoner aux clients des ventes privées pour les y convier et leur faire part de leur avantages. Le but était d’obtenir un rendez-vous.
Tout ce que j’ai pu faire durant ce stage était en adéquation totale avec l’idée que je m’en faisais. J’ai vendu, j’avais peur d’être, en tant que stagiaire, celle qui passerait la serpillière l’aspirateur et qui apporterait le café. Toutes ces appréhensions ont disparu dès le premier jour, lorsque Hervé, le directeur, m’a expliqué ce qu’il attendait de moi.
B/ Particularités de l’entreprise
1. Beaucoup de stagiaires et apprentis : La deuxième semaine de décembre, nous étions douze sans compter le personnel résidentiel.
2. Chaque vendeur avait un stand qui lui était attribué : Haut de Gamme, Jean et Slim, Dickies et Diesel.
3. Des ventes privées sont organisées pour les clients les plus fidèles et qui dépense le plus, j’appelai cela les soldes avant les soldes.
4. La surface était de 540 m2 et chaque accessoire ou objet était l’œuvre du sculpteur Jean-François Buisson. Ce magasin est en quelque sorte le lieu d’exposition des sculptures de Jean-François Buisson. La caisse, le comptoir, les portants, les cabines et les miroirs ont été réalisé par ce sculpteur.
C/ Difficultés rencontrées
1. Rester debout toute la journée a été pour moi un vrai calvaire. Je rentrai le soir chez moi avec un mal de dos, des douleurs cervicales et une grosse fatigue.
2. Les sculptures qui sont présentes dans le magasin, bien qu’elles soient très esthétiques, étaient dangereuses. Elles étaient tranchantes, en fer et certaines rouillées. La deuxième semaine, je me suis blessée avec l’une d’entre elles. Le soir, j’ai dû aller me faire vacciner contre le tétanos.
3. Il faisait froid, il n’y avait pas de chauffage pendant les deux premières semaines.
4. Le personnel parlait beaucoup entre eux et les uns sur les autres, j’ai vite compris qu’il fallait que je fasse un effort pour ne pas me mêler aux conversations de ce type. J’ai donc tenté de les éviter le plus possible.
5. Il n’y avait aucune organisation dans les stocks, je me suis donc proposée, la dernière semaine, de ranger le stock de chaussures, ce qui m’a pris environ quatre heures.
D/ Meilleur moment retenu
J’étais avec Victor, un autre stagiaire, nous étions au fond du magasin quand Naar, le chef de la sécurité, est arrivé pour nous prévenir qu’un individu pas très net était rentré dans le magasin et qu’il fallait le surveiller. Nous l’avons donc salué, puis suivit et observé. Il avait bien compris que nous le suivions et qu’on lui portait une attention particulière. Il s’est donc dirigé vers la sortie et en passant devant les Santiags, il s’est arrêté et a demandé d’essayer des chaussures. Il venait d’un pays étranger, j’aurais dit que c’était un Mexicain. Il ne parlait que très peu le français et ne connaissait pas sa pointure. Nous sommes donc parti chercher le modèle qu’il nous avait demandé en taille 40. Nous avons mis un quart d’heure pour trouver la paire de chaussure en question. Il avait de plus choisit les plus chères, 865 euros. Le 40 était trop grand nous sommes donc allés chercher une autre paire, et ceci quatre fois d’affilée. Nous avions tous la conviction qu’il n’achèterait rien, c’est pourquoi Hervé nous a dit de « laisser tomber » en quelque sorte. Nous nous sommes donc amusé à lui ramener des chaussures de différentes tailles pour les faire passer pour du 38, sa taille (une taille qui n’existe pas en ce qui concerne les Santiags homme), nous avons choisit les plus moche et
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