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Culture générale devoir 3 2019

Fiche : Culture générale devoir 3 2019. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  21 Mars 2019  •  Fiche  •  3 674 Mots (15 Pages)  •  809 Vues

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Devoir n°1 de Culture Générale 

Première partie sur 40 points :

Doc 1 :

Depuis la création de l'homme notre planète ne cesse de se dégrader et de souffrir, nous  courront à la destruction de notre planète.

Le document 1 a était écrit par F . Bussy, est s'intitule « Penser nos catastrophe » ; parut en 2008 dans « Le politique, n°22 ».

Comme le titre l'indique ce document nous parle des catastrophe naturelle , des drames intemporelle qui peuvent nous frapper.  

Il existe plusieurs type de catastrophe naturelle :

                                

- Les catastrophe hydrologique

- Les catastrophe métrologique

- Les catastrophe géologique

- Les catastrophe climatique et les catastrophe biologique .

Depuis les années 1990 les catastrophe ne cesse d'augmenter, une des causse majoritaire et le réchauffement climatique, nous ne pouvons ignorer que les catastrophe contemporaines et que l'homme en est majoritairement la conséquence comme le réchauffement climatique , la pollution, sécheresse etc.

En outre l'homme peut agir dans bien des domaines, comme construire des routes non bétonner , ce qui permettra à la terre ( au sol) d'absorbé l 'eau et créé des inondations.

En aménageant des coupe feu on pourrait réduire le risque d'incendies.

Il est possible d'inversé la courbe climatique si l'homme y met les moyens !

Hors je partage l'avis de F. Bussy quand il dit paragraphe 6 « Nous le savons tous, nous nous inquiétons tous, mais rien ne change fondamentalement du point politique , économique et social ». Effectivement depuis l'industrie de l'automobile l'homme pollue la terre ce qui entrain des fonte du continent Arctique ! La crise écologique qui nous menace est refoulée au sens psychologique , alors même que l'on ne parle que de cela .

Hors si nous ne fessons pas d'effort , nous courront à d'énorme sécheresse. Comme on a pu le constater la deuxième plus grande étendue d'eau le lac « lac poopo » qui au jour d'aujourd'hui  à presque disparut de la surface de la Terre à environ 98 % en l'espace de 25 ans !

Cela nous montre que notre système écologique va mal !

Doc 2

Nous devons construire des espaces de risque pour notre planète !

Pourquoi nous n'en construisons pas ?

Le document dont je vais vous parler fut rédiger par R-E Dagon est intitulé : « Les catastrophe naturelle n’existe pas »  et parut dans, les grand dossiers de sciences humaines n°33, décembre- janvier – février 2014.  

Comme le dit Frédrique  Denhez «  La nature combien sa coûte ? »  cela nous coûte 1850 morts , 135 milliard de dollars dont 81 milliards de coût directs) ; c'est au minimum ce qu'à coûter l'ouragan kartina , cette ouragan est parut les 23 août 2005 et ses dissipé le 31 août 2005, un ouragan de catégorie 5, avec un vent maximale de 280 km/h (174 mi/h) ; comme nous avons pu le voir l'ouragan Mattweh a Haïti dans les caraïbes .

Les causses des ouragans, cyclone, séisme, sont la non construction des espaces de risque; au Japon il est obligatoire de construire des bâtiments respectant certaine norme antisismique et la vérification par des processus administratifs de la réalisation effective  de ces normes .

Il faut donc entretenir les espaces de risque afin de réduire les catastrophe.

En outre la position de monsieur DARGON sur le fait qu'il faut entretenir les espaces de risque ! Nous devons en prendre soin !

Comme on peut le conclure depuis des siècle la température moyenne des océans augmente lentement ce qui amplifie , les ouragans qui sont supérieure tel que Katrina en 2005 et Sandy en 2012.

La Giec apporte sont 50éme rapport sur l'étude des climat en septembre 2013 à confirmé l'ensemble de ces données climatiques et océaniques. En même temps que le niveau des océans monte la fourchette d'élévation se situe entre 50cm et 1m à l'horizon 2100. C'est donc tout les espaces de risque qu'il faut révaluer dans ces nouvelles dynamiques environnemental.

Doc 3

Voltaire, grand philosophe du XVIIIe siècle, écrit en 1756, le Poème sur le désastre de Lisbonne. Celui-ci a eu lieu un an auparavant en 1755 et a causé de nombreux dégâts matériels et humains. Il se sert de son poème, véritable tableau apocalyptique, pour critiquer l’ Optimisme de Leibniz comme le montre le sous-titre du poème « examen de cet axiome : Tout est bien », théorie qui dit que rien ne peut être aussi parfait que Dieu donc le monde n’est pas parfait mais comme Dieu est bon alors il a créé le meilleur des mondes possibles et tout mal sera forcément suivi d’un bien beaucoup plus grand. Malgré sa dimension philosophique et polémique, ce poème est tout de même un hommage plein de compassion pour les victimes du tremblement de terre.  Avec le choix de l’alexandrin, Voltaire choisit de s’inscrire dans la tradition de la tragédie : son poème en devient plus fort. En effet, le thème qu’il traite ici est tragique : une catastrophe naturelle s’abat sur des hommes qui ne peuvent pas lutter. Les rimes plates, quant à elle, relient ensemble des mots qui sont ainsi renforcés comme nous les verrons plus tard. Nous verrons donc comment à travers une description pathétique, Voltaire organise son poème en texte argumentatif pour dénoncer la pensée de Leibniz et donc l’Optimisme.

VERS 1 A 3 :

  • Le poème s’ouvre sur des apostrophes : « O malheureux mortels ! ô terre déplorable ! O de tous les mortels assemblage effroyable !». L’utilisation de l’interjection « ô » est typique du registre pathétique voire tragique : Voltaire cherche à inspirer de la pitié aux hommes ce qui est accentué par la présence de la syntaxe affective avec 4 points d’exclamation pour 3vers.  
  • Ces apostrophes s’adressent en effet au monde entier comme le montre l’emploi du substantif « mortels ». Voltaire a besoin que tout le monde se sente concerné par ce qu’il va dire pour pouvoir défendre ses théories.
  • Le vers 3 semble indiquer que les hommes provoquent leurs douleurs comme le montre l’adjectif « inutiles » qui l’accompagnent. De même l’adjectif « déplorable » qui signifie dans un sens un peu vieilli «  qui inspire des sentiments de douleur, de tristesse, de compassion » montre la cruauté de la vie humaine.

= > Ces premiers vers permettent à Voltaire d’interpeller le lecteur pour l’inclure dans le désastre que vivent les habitants de Lisbonne. Le pathétique et le tragique de ces vers ainsi que les apostrophes sont dignes d’une tragédie antique.

VERS 4 :

  • Il s’agit du vers qui va marquer le début de la critique de l’optimisme ainsi que la thèse qu’il veut dévaloriser.
  • « Philosophes trompés » est à nouveau une apostrophe mais celle-ci est plus brutale et cible des personnes précises : les philosophes trompés c’est-à-dire les philosophes de l’optimisme tel Leibniz.
  • Le verbe tromper signifie donner volontairement une idée erronée sur la réalité, les philosophes (qui sont des amis de la sagesse et donc de la vérité) ont été induit en erreur par Leibniz. On constate ici que Voltaire ne semble pas les accuser seulement le fait qu’ils défendent également cette philosophie en fait des trompés mais également des trompeurs.
  • « Tout est bien » qui est donc « crié » par les philosophes est leur devise. Cela signifie que même le tremblement de terre qui a détruit Lisbonne a une bonne raison s’avoir eu lieu, raison que seul Dieu connaît.
  • On peut se demander si l’utilisation du verbe « crier » n’est pas déjà une critique : les philosophes crient leur devise par-dessus les cris et les pleurs des victimes.

VERS 5 A 12 :

  • On a ici le début de la description des dégâts provoqués par le tremblement de terre : c’est une hypotypose (description réaliste, animée et frappante de la scène dont on veut donner une représentation imagée et comme vécue à l’instant.) En effet, l’impératif des verbes « accourez » et « contemplez », le pronom démonstratif « ces » et le présent du verbe « terminer » (vers 11) font de ce tableau un drame en cours ce qui permet à Voltaire d’amplifier le pathétique de la scène.
  • Le verbe « contempler » est à commenter, il est en effet polysémique :

1er sens : Considérer avec une assiduité qui engage les sens ou l’intelligence un objet qui est ou peut-être digne d’admiration = On a effectivement ici une description qui fait appel à tous les sens (« spectacle » au vers 14 ; « cris » vers 13 ; « dévore » au vers 9,…) seulement ce n’est pas un objet digne d’admiration que ce chaos.

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