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ECONOMIE - étude de cas

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Par   •  3 Novembre 2020  •  Étude de cas  •  611 Mots (3 Pages)  •  553 Vues

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1 - Solde commercial

Tout d’abord, un solde commercial est la différence entre les importations et les exportations. Il est excédentaire lorsque les exportations sont supérieures aux importations, et déficitaire quand c’est le cas inverse. C’est un indicateur de la balance commerciale d’un pays.

Ensuite, grace au graphique du document 1 qui représente les échanges commerciaux de la France avec le Japon, réalisé par l’ambassade de France au Japon en 2017, on peut voir que la France est en situation déficitaire : elle importe plus qu’elle n’exporte. En 2007, elle exportait pour 5,9 milliards d’euros et importait pour environ 10,2 milliards d’euros. De même, en 2016, elle exporte pour seulement environ 6,2 milliards d’euros face à environ 9,4 milliards d’euros en importations.

De plus, de 2007 à 2016, le solde commercial est toujours négatif, allant de -4,5 à -3 milliards d’euros, mais cela relève aussi que le solde commercial progresse sur certaines périodes.

En outre, l’année 2016 était, pour le secteur de l’agro-alimentaire fructueuse. En effet, la France est excédentaire (environ 1,2 million d’euros d’exportations et environ 66 000 euros d’importations). Elle constitue d’ailleurs la seconde plus grande partie de ses exportations (17,89%) alors que dans le cas inverse, le Japon exporte très peu de produits agro-alimentaires vers la France (0,71%). Le document 1 nous montre que même si dans ce secteur la France est en excédent, une fois que les secteurs sont réunis, elle se retrouve en situation de déficit, notamment à cause des transports.

2 - Fonctionnement de l’OMC

Tout d’abord, l’Organisation Mondiale du Commerce permet l’échange de biens et de services en conservant une certaine stabilité entre les pays membres. Elle y parvient via la réduction des barrières douanières (appelée libéralisation des échanges) grâce à des négociations multilatérales, d’après le document 3, écrit par La Tribune en 2013. Celui-ci stipule aussi qu’à travers ces négociations, l’OMC permet une égalité des pays via la clause « de la nation la plus favorisée » (tous les pays membres doivent offrir les mêmes conditions commerciales).

En outre, le Japan European Union Free Trade Agreement est un accord bilatéral de libre-échange entre l’Union Européen et le Japon. Il recouvre presque tous les secteurs (99% des échanges). Selon le document 2, de la CCI, le MOCI et Alternatives Économiques en 2017, l'agroalimentaire n’aura aucun droit de douanes pour 85% de ses produits. Il va à l’encontre de l’OMC qui stipule tous les pays membres de l’OMC ne peuvent pas avoir un traité bilatéral, et la clause de la nation la plus favorisée n’est pas non plus respectée.

3 - Taux de change

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