Rapport de stage Broquet S.A

I. Introduction

J’avais commencé à rechercher un stage lorsque l’on nous a annoncé que ce dernier se déroulait l’avant dernière semaine de janvier. Aussitôt, je me mis à la recherche d’un stage afin de pouvoir m’y préparer à l’avance.  

Je commençais donc à aller vers quelques magasins au fameux Millénaire car le marketing m’intéressait. Je voulais savoir comment ils géraient les stocks et surtout qui les dirigeaient. J’allais dans les magasins qui m’intéressaient mais, tour à tour, ils me refusèrent à cause de mon âge. Tous me dirent qu’ils acceptaient seulement à partir de 16 ans. J’étais déçu.

Puis quelques temps plus tard, mon père m’a proposé d’aller dans sa société pour que je fasse mon stage. N’ayant que ce dernier recours, je ne pouvais qu’accepter.

Je ne m’attendais pas à ce que ce stage puisse autant m’enrichir intellectuellement que moralement. J’ai plus retenu la morale que le savoir, je ne sais pas si c’est une bonne chose.

Mes attentes envers le stage étaient minimes : je pensais que le stage pourrait m’aider pour mon orientation ou bien l’éclaircir mais ce fut tout le contraire.

II. Présentation de l’entreprise, de son personnel et de son équipements

        a) Présentation de l’entreprise

Broquet Pumps (ou bien Georges Brière S.A.) est une société indépendante française spécialisée dans les solutions de pompage pour liquides chargés et visqueux dans les industries sucrières, chocolatières ou encore pétrochimiques. Elle existe depuis 1927 mais ce n’est que depuis 40 ans qu’elle fabrique des pompes. Elle était spécialisée dans la mécanique avant d’avoir acheté la société Broquet. Elle reçoit des commandes partout dans le monde et expédie dans plus de 70 pays à présent.

Cette entreprise est installée à Argenteuil au 15 rue Jean Poulcharch.

Cette société est divise en deux parties: la partie atelier et des bureaux. J’ai pu découvrir ces deux milieux, complètement différents mais pas tant que ça car les les deux parties ont besoin de l’autre afin de pouvoir avancer.

Il n’y a pas beaucoup de personnes dans cette entreprise : seulement 20 employés.

Là où les pompes sont standardisées, la société se démarque de leurs concurrents car contrairement aux autres, leur produit finis s’adaptent aux demandes et aux besoins  es clients donc ils se renouvellent et ne font pas la même chose constamment.

        b) Visite des lieux

A mon arrivée, je vis une grande infrastructure face à moi. Il y avait deux entrées : une pour l’atelier l’autre pour les bureaux. En face et à côté de ce bâtiment, se trouvaient deux autres entreprises.

L’atelier est vraiment vaste et très rempli de machines et de pièces spécifiques (exemple: des pignons) stockées dans des caisses soit au sol ou bien sur des «étagères» géantes. Les machines sont disposées au centre de l’atelier dont des fraiseuses numériques, des tours conventionnelles (manuelles), des tous numériques (automatiques) ou encore des aléseuses .

Mais il n’y a pas que les machines dans l’atelier, il y a aussi une cabine de peinture, une partie où l’on fait le frettage et aussi une zone de test pour pouvoir encore plus diversifier leurs produits. Le reste est toujours composé des stocks soit déjà rangés soit venant d’être livrés le matin même et des machines situées au centre.

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Ils étaient 8 dans l’atelier dont un qui alternait entre atelier et bureau, le chef d’atelier.

Toujours dans l’atelier, il y a avait un escalier menant de les vestiaires et la cantine.

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Les bureaux étaient collés à l’atelier, ce qui permettait de faire des échanges facilement entre des deux parties. Il y avait plusieurs parties dans les bureaux: 2 salles où il y avait des employés, une salle de réunion, le bureau de la comptable, le coin café et enfin le bureau du directeur général.

Chaque employé a un poste de travail avec un ordinateur et tous travaillent dessus afin d’effectuer les tâches demandées ou en attente.  

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        c) Le personnel

Les employés des bureaux sont vraiment dans de meilleures conditions comparés à ceux travaillant dans l’atelier. Il n’y a aucun doute.

Ils étaient au chaud et assis, dans dans un environnement propre alors que ceux de l’atelier étaient dans des tenues adaptées, travaillant sur des machines, dans un environnement pas sale mais salissant on va dire, dans des conditions difficiles, sans confort et très ardues. Les conditions entre ces deux parties sont vraiment considérables.

Dans l’atelier comme dans les bureaux, il y avait des personnes de tout âge.

III. Expériences et découvertes durant le stage

        a) routine du matin

Lors de mon stage, j’ai été aimablement accueilli par tous les employés que ce soit de l’atelier ou des bureaux. Oui, car je ne me suis pas contenté de rester enfermé dans les bureaux, c’est bien trop ennuyant et puis, j’étais là pour apprendre un maximum.                                                          

Je m’y suis fait rapidement dans cette société. L’ambiance est chaleureuse, conviviale. On était comme une sorte de famille tout simplement.

Le matin, je fis 1h de route pour pouvoir parvenir à l’entreprise. Je commençais tous les jours à 7h et terminait au environ de 16h30 suivant les jours. Ce fut dur lors du réveil, à chaque reprise. Tous les matins, lors de mon arrivée, nous prenions le petit-déjeuner afin de prendre des forces pour tenir la matinée. Tous se taquinèrent, se chamaillèrent. Ils étaient décontractés.

Les employés des bureaux comme de l’atelier arrivaient un à un. Je ne sais point pour les employés des bureaux mais pour ceux de l’atelier, ils devaient rentrer une carte dans une machine dès leur arrivée afin de signaler leur présence ou bien un retard. Puis ils allaient tous se changer dans le vestiaire afin de mettre une tenue adéquate.

Dès le matin, les machines font beaucoup de bruits et tournent en permanence.

        b) lundi

Vu que c’était mon premier jour, je me devais de me présenter à tous en signe de respect. Puis après cela je discutais avec quelques afin de me familiariser à eux.

Après le petit-déjeuner j’eus ensuite le droit de rentrer dans les bureaux. Ce fut ma première découverte (cf II.). L’atmosphère était plutôt calme ici. Les personnes qui arrivaient allumaient leur ordinateur et prenaient leur petit-déjeuner tranquillement au coté de ceux qui travaillaient déjà.

Je remarquais que même s’ils travaillaient beaucoup sur leur ordinateur, ils se déplaçaient beaucoup. Cela avait attiré mon attention.

Le travail était toujours pris très au sérieux, mais cela n’empêchait pas de rigoler. Je les vis beaucoup réfléchir pendant de longs moments tout au long de la journée.

Il y avait beaucoup de communications entre  les employés que ce soit avec ceux du bureaux ou ceux de l’atelier qui venait régulièrement pour voir s’ils n’avaient pas fait d’erreurs dans leur manœuvres.

Quelques heures après, on me prit pour faire la visite de l’atelier en me donnant le nom des machines et leur fonction et en m’expliquant en quoi consistait leur entreprise (cf. I).

On m’expliqua ce que c’était un pignon. Il était formé de lobes dentaires et de lobes creux. Les lobes dentaires s’emboîtent dans les lobes creux.. C’est le principe de fonctionnement.

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A la fin de l’assemblage on a un groupe composé :

- d’un châssis

- d’un corps (avec des flasques avant et arrière)

-d’un réducteur