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DEVOIR 2 CULTURE GÉNÉRALE

Étude de cas : DEVOIR 2 CULTURE GÉNÉRALE. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  7 Juin 2019  •  Étude de cas  •  1 844 Mots (8 Pages)  •  970 Vues

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CULTURE GÉNÉRALE ET EXPRESSION

DEVOIR N°2 : modules 2 et 3.

Les droits de l’enfant : les enfants réfugiés

Analyse des documents et extraction des idées à retenir :

1.1. Document 1

Reprenez le premier document et, en une seule phrase, indiquez son genre et le type auquel il appartient.

Puis, dans une seconde phrase, et toujours en une seule phrase, cernez son propos directeur, c’est-à-dire exprimez l’essentiel de son contenu. En cas de difficultés, reportez-vous au corrigé des devoirs 1 et 2 où cet exercice a déjà été réalisé.

Après cette présentation en deux phrases, sautez une ligne pour qu’il n’y ait aucune confusion possible entre le propos directeur et le relevé d’idées. Puis relevez les idées ou informations principales du texte, c’est-à-dire toutes celles qui méritent d’être sauvegardées pour la future synthèse. Vous devez reformuler ces idées dans un langage personnel, ce qui exclut tout recopiage du texte initial et toute citation.

Le premier document « Le droit à l’éducation des enfants roms menacé par des expulsions incessantes » est une lettre argumentative publiée le 17 Mars 2016 dans le quotidien « L’humanité », elle a été écrite par Françoise Dumont à l’attention de la ministre de l’Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem. Mme. Dumont est elle, présidente de la Ligue des Droits de l’Homme ( LDH ) et souhaite à travers ce courrier dénoncer la situation instables des enfants Roms en France.

Dans sa lettre ouverte, la présidente de la LDH exprime son inquiétude face à leurs sorts et réclame le droit à la scolarité comme l’inscrit et l’oblige la législation française. Pour elle le constat est sans appel : les expulsions privent les enfants Roms de leurs scolarités et nuisent à leurs avenirs, alors même qu’ils montrent des résultats encourageants lorsqu’ils en bénéficient. Les mois précédents, la LDG, avaient dans communiqué de presse dénonçait les évacuations forcées des Roms grâce à des chiffres, en 2015, 60% d’entre eux s’étaient vus délogés, même en période hivernale ( des organisations internationales luttent elles aussi contre ce phénomène ) . Olivier Peyroux, sociologue et directeur-adjoint de l'association "Hors la Rue » rappelle également que ces pratiques sont tout simplement contraires à nos droits fondamentaux.

1.2. Document 2

Identifiez de la même façon le document 2 ; vous consacrerez une phrase à la photographie et à son type et une seconde à l’extrait qui suit et à son type. Puis dans une troisième phrase, dégagez le propos directeur de l’ensemble du document 2.

Sautez une ligne après cette présentation. Puis, à partir de l’extrait et des éléments photographiés, formulez dans un langage personnel les idées qui peuvent être extraites de ce document. Pensez, dans votre réflexion, à l’éclairage que lui apportent les autres documents écrits.

La première partie de notre deuxième document iconographique «  Slavi, 10 ans, dort dans la rue… depuis des mois » est une photographie illustrative : nous y voyons un petit garçon vivant dans une tente. Pour l’accompagner, la deuxième partie de ce document et un article informatif publié le 16 septembre 2015 quand le quotidien «  libération » rédigé par Marie Piquemal, elle aborde et alarme l’histoire d’enfants Roms vivant avec leurs parents dans des « habitations » précaires, en bord de route.

Slavi est âgé de 10 ans et vit depuis des mois dans la rue avec sa famille, leur seul toit est celui d’une tente dans laquelle ils dorment, une situation inquiétante et dangereuse que nous décrit la journaliste mais aussi une vie différente où les enfants ne bénéficient pas du confort et des besoins nécessaires, tel faire des activités, se divertir et surtout être scolarisé.

1.3. Faites le même exercice que le 1.1 sur le document 3.

Le troisième document  « Dans la " jungle " de Calais avec la Défenseure des enfants »,est un article informatif, publié le 23 Février 2016 dans « Télérama » , rédigé par Juliette Benabent.

Le sujet traité est sur un bidonville, qui doit être évacué dans les jours qui viennent pour cause de grande insalubrité.

L’évacuation d’une partie du bidonville dans la « jungle de calais » était prévue au 23 Février 2016 mais certains habitants n’ont pas quitté les lieux, si le tribunal confirme cette décision il assure qu’il n’y aura pas d’appel aux forces de l’ordres avant 3 semaines pour les déloger.

La défenseur des enfants, Geneviève Avenard a visité les « lieux », elle dénonce des conditions de vies insoutenables où il n’y a ni l’eau courant, ni un moyen de se doucher ou même de cuisiner. Stéphane Duval, collaborateur de la Défenseure, remarque tout de même des améliorations depuis l’été dernier ou le nombre de repas est passé d’un par jour à deux, nous parlons même de projet de création d’école soutenu par l’inspecteur d’académie.

On regroupe 3455 personnes vivant dans la ‘’jungle’’, dont 445 mineurs (305 mineurs isolés).

1.4. Faites le même exercice que le 1.1 sur le document 4.

Le quatrième document « Les mineurs disparus d’Europol »  est un article informatif, publié par le Gisti  « Groupe d'information et de soutien des immigrés » en Mars 2016. L’auteur, qui nous est inconnu, nous informe que divers articles de presses ont relayé des disparitions d’enfants migrants en Europe aux alentours de janvier 2016. Après avoir été enregistré par les autorité européennes, celles-ci ne dispose désormais plus d’aucune information à leurs sujets : une grande partie serait des mineurs isolés et la moitié serait partie par l’Italie.

Les chiffres sont effroyables, c’est, en effet, plus de 6000 enfants introuvables que l’on compte. Le responsable d’Europol songe à croire à des risques d’exploitation criminels.

Nous retrouvons parfois les disparus, grâce a une permanence inter-associative qui se trouve à Paris. Pour ces rescapés il faut alors leur trouver un toit, de la nourriture et les scolariser le plus rapidement possible, parfois les aides sociales rejette leurs demandes à cause de leur identité ( pas de papier, ou des faux ).

2. Comparaison de documents

2.1. En plusieurs paragraphes organisés, vous indiquerez quelles sont les idées communes aux quatre documents. Il s’agit, en fait, de trouver des mini-thèmes (ou des sous-thèmes) communs à au moins deux auteurs, voire davantage. Puisque vous venez de relever toutes les informations à conserver dans l’exercice 1, votre travail est maintenant de les comparer et de classer dans des rubriques, celles qui vont ensemble (en les reformulant bien sûr). C’est un travail d’organisation et de classement en confrontant les auteurs.

Le thème global de ce devoir porte sur les enfants réfugiés

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