Sociologie Stéphane Beaud
Guide pratique : Sociologie Stéphane Beaud. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Enzo Jugovac • 16 Octobre 2019 • Guide pratique • 1 401 Mots (6 Pages) • 512 Vues
Stéphane Beaud est un sociologue français . Il est notamment professeur de sociologie à Poitiers.
Nous allons travailler aujourd’hui sur un extrait de son œuvre 80 % au bac… et après ? .
Dans cet extrait, Stéphane Beaud nous montre son étude sur 4 « copains », Djamel, Fehrat et Sabri, qui font leurs ascension à la fac. Il va alors nous montrer que la fac n’est plus aussi simple que le lycée pour des jeunes issu de milieux populaires. Stéphane Beaud l’est a donc suivis quelques années pour pouvoir observer leurs parcours.
1.Portrait de groupe
Dans cette première partie, S.Beaud décide de nous parler de la démarche qu’il a utilisé pour faire son enquête, quelles méthode a t-il utilisé…
Il nous dit alors qu’il a utilisé ce qu’il appel « l’observation participante »= Comprendre autrui dans le partage d’une condition commune.
Il dit alors que cette « observation participante » va permettre une meilleure intégration dans le groupe et permettra de révéler plus de chose, « révéler les pratiques sociales « (=façon de faire,action individuelle ou collective ) » souvent éloignées des pratiques légitimes »
Après avoir dit la manière dont il aller enquêter, il décris les 4 garçons, en précisant leurs âge, leurs bacs et parle un peu de la vie de chacun des étudiants.
A la fin de sa première partie, il dira alors que « ce qui unit le groupe, c’est à la fois une même origine sociale ».
Pour conclure cette partie, il annonce alors son plans et veut nous montrer comme il le dit « Ce récit d’observation tente de montrer la manière dont le rapport au temps de ces étudiants de « cité » s’inscrit et prend sens dans une double détermination : un rapport dominé aux études et un enracinement protecteur dans le quartier ».
2.Perdus à la fac
Ici, l’auteur, au début de sa partie, décrit les évènements passé avant la fac.
Il nous explique alors que les étudiants avaient d’abord voulu visé des études dites « courtes », tels
qu’un BTS pour pouvoir trouver du travail plus rapidement. Mais seul Nassim avait été accepté.
« La fac par défaut et le choix de la proximité » :
Après avoir arrête son BTS, ses amis lui conseil de les suivre.
Mais le problème est que Nassim n’est pas très à l’aise à l’idée de lac, ce qu’il veut lui, c’est une classe.Une classe de « 30,40 » personnes. Il préfère comme il le dit après être dans un groupe ou tout le monde se connaît.
S.Beaud nous explique aussi qu’une fille aura plus de facilitée à partir loin de chez elle pour aller à la fac, contrairement aux garçons qui eux, auront plus tendance à rester proche de chez eux, comme le pense Fehrat. Son ami lui avait proposé d’aller a Besançon mais lui à refusé « J’ai dis non, mais c’est vrai, ça m’a pas tenté ».
Ne pas partir loin, c’est aussi limité les dépenses et même avoir plus d’argent de poche pour Fehrat.
Etant donné que les 4 garçons sont d ans la même section, avec un de leurs amis « Momo », ils se sont arrangés pour partir en voiture tous ensemble, car cela leurs coûte moins chère et est beaucoup plus convivial.
Il y a ensuite une deuxième sous parties qui se nomme « La pertes des repères » :
S.Beaud nous explique que les étudiants n’était pas assez assidu et que c’est « M.Halbwachs » qui les a aidé à ne pas « décrocher »
Les 4 étudiants ont commencé petit à petit à lâcher les cours et à ne plus y aller malgré les « bonnes résolutions » faites en début d’années.
On peut voir que le fait de ne pas réussir à suivre dans des matières spécialisé ne vient pas forcement du professeur ou de la difficultés de la matière mais bien du langage, du manque de vocabulaire comme en droit par exemple.
La différence avec le lycée comme le dit S.Beaud, c’est que les étudiants pouvaient mobiliser des connaissance simple, parler de chose vu dans un magazine, où à la télé par exemple.
Les étudiants repense alors beaucoup à leurs années de lycée et S.Beaud remarque qu’ils ont perdu un « ordre temporel ».
Au lycée, tout est plus encadré, moins d’heure d’étude, plus de cours, des devoirs pratiquement chaque jours , des contrôles de connaissance réguliers…
Nassim le dit lui-même « Le lycée c’était bien[…] j’étais cadré, suivi, c’était bien ! »
« Une culture universitaire « écrasante » » :
Dans cette partie, nous avons un long dialogue entre l’auteur et Fehrat.
Ils parlent alors des cours à la fac. Et on observe un détachement de ces derniers par Fehrat.
Il dit avoir apprécier l’économie au lycée mais qu’elle est totalement différente à la fac. Que les cours vont beaucoup trop vite est que les professeur ne prennent pas le temps d’expliquer.
On observe alors un manque de culture de la part des étudiants et on le voit beaucoup mieux ici avec les hésitations sur certain mot que Fehrat à déjà du voir en cours.
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