Sociologie

tre écrit aux Smyrniotes vers 112, dans sa lettre il disait : ´´Là où est le Christ Jésus, là est l’Eglise Universelle.´´Le premier concile de Constantinople en l’an 381 reprend cette expression dans´´Nous croyons en une seule Eglise Sainte, Catholique et Apostolique.´´

ABSTRAIT

Très peu de mots suffisent pour montrer la puissance de la pensée abstraite du Catholicisme. Via les processus auto référents nous pouvons même définir les objets indéfinissables et décrire ceux qui sont indescriptibles du Catholicisme.

Cependant la pensée abstraite du Catholicisme ne se réduit pas à un jeu de langage mais plutôt regroupe en son sein la pensée symbolique, visuelle et verbale grâce aux schémas mentaux. L’Eglise Catholique malgré sa formation extraordinaire montre des caractères faible. Une Seule Eglise Sainte Catholique et Apostolique montre aussi des faiblesses comme la division de cette Eglise en deux parties appelé ´´SCHISME´´. Le schisme que Les Catholiques eux ont inventé:

1. Signe de la croix.

2. L’existence du Purgatoire.

3. L’infaillibilité du Pape, le célibat obligatoire des Prêtes te l’Immaculée conception de la Vierge Marie.

Les Orthodoxes eux récitent quotidiennement selon le Credo de Nicée Constantinople datant du IVème siècle: Je crois en l’Eglise, Une, Sainte, Catholique et Apostolique.

OBJECTIFS

Le Catholicisme bien qu’une religion divisée a pu viser à un objectif. Bien que le sujet de la religion n’a pas abouti à adapter un nom spécial. Il n’y a pas de religion unique disent plusieurs sociologues. Les auteurs chrétiens latins de l’antiquité ont tardivement repris et adapte l’idée Romaine de religion au Christianisme en parlant de ´´Vraie Religion´´.Cette expression ne signifie pas qu’il existe plusieurs religions et qu’une seule est vraie mais plutôt tenter de définir a quelles conditions la religion pratiquée peut être considérer comme vraie.

Selon Pierre Hadot le fait que le Christianisme se présente comme la philosophie a écrit: “Le christianisme est indiscutablement un mode de vie. Qu’il se soit présent comme une philosophie ne pose donc aucun problème .Mais en faisant cela, il a adopté certaines valeurs et certaines pratiques propres à la philosophie Antique. Etait‐ce légitime?”

Le christianisme voulant se populariser a dégradé les exercices spirituels de la philosophie. En ce sens Pierre Hadot rappel le mot de Nietzsche selon lequel le christianisme dite Catholicisme serait “un platonisme pour le peuple”.

Pour certains auteurs tels que Daniel Dubuisson l’idée de religion est un concept théologique propre à l’Occident, pour Jean Grondin la religion est universelle.

HYPOTHESES

Dans un tel monde quel peut être l’avenir de la tradition chrétienne et de l’institution qui est à son origine? Le Christ a‐t‐il un avenir? Si l’on regarde les choses sur le long cours, il est difficile de nier le replie du Christianisme, l’initiative de pensée ailleurs, l’ancienne structure doctrinaire disciplinaire se disloque dans l’Eglise Catholique, le Clergé meurt.

Selon Maurice Bellet, il existe quatre possibilités pour l’avenir du Christianisme´´Catholicisme´´ :

1. Première hypothèse : Le Christianisme disparait et avec lui, le christ de la foi. Déjà aux 18 ème et 19 ème siècles, l’événement a été souvent annoncé. Voila, il s’accomplit. Ce n’est même plus l’effet d’un conflit, d’une lutte antichrétienne. La foi chrétienne n’est même plus à combattre.

2. Deuxième hypothèse : Le christianisme se dissout. Il n’est pas, à proprement parler, détruit. Ce qu’il a pu apporter à l’humanité devient le bien commun et lui échappe. Ainsi ces “valeurs chrétiennes” de respect de la personne, soin des souffrants, dignité des pauvres, etc. si fortement méconnues dans les “âges chrétiennes” et qui s’imposent davantage aujourd’hui. Même du coté du spirituel, l’évangile devient une composante de cet immense domaine dont l’homme d’occident redécouvre l’importance par ses propres misères et par la rencontre des sagesses orientales.

3. Troisième hypothèse : Le christianisme continue. On conserve et on rétablit. D’autre part, on adapte, on s’accommode et on arrange. L’opposition reste intérieure à un même ensemble, fondamentalement inchangé.

4. La quatrième hypothèse : c’est qu’il y a bien quelque chose qui finit, inexorablement et c’est précisément ce système religieux lie en fait à l’âge moderne de l’occident, tout comme l’idéalisme, le marxisme, le matérialisme.

Quelque chose meurt mais nous ne savons pas jusqu’ou cette mort descend en nous. La crise chrétienne est indissociable d’une crise beaucoup plus générale qui met en cause tant d’évidences et tant d’aspirations.

Sociologie d’une religion

La religion est l’ensemble des croyances, sentiments, dogmes et pratiques qui définissent les rapports des hommes avec la divinité. En particulier, une religion est définit par les éléments spéciaux à une communauté de croyants tels que : dogmes, livres sacrés, rites, cultes, sacrements, prescriptions en matière de morale, interdits, organisation etc. La plupart des religions se sont développées a partir d’une révélation s’appuyant sur une histoire exemplaire d’un peuple, d’un prophète ou d’un sage qui a enseigné un idéal de vie.

Il existe trois grandes caractéristiques qui sont :

1) Les croyances et les pratiques religieuses

2) Le sentiment religieux ou la foi

3) L’union dans une même communauté de ceux qui partagent une même foi qui est l’Eglise, c’est-elle-même qui différencie la religion de la magie.

L’étude même des religions bien qu’elles soient disparues ou qu’elles existent montre un caractéristique universel de ce phénomène et une très grande variation dans les doctrines et les pratiques rituelles. Généralement, on distingue les religions dites primitives ou animistes, les religions orientales telles que : hindouisme, bouddhisme, confucianisme, taôisme, et les religions monothéismes issues de la Bible telles que : judaïsmes, 1054, querelles théologiques et préséances entre le Pape et le Patriarche de Constantinople. Ce schisme marque la séparation des Eglises d’Orient de l’Eglise de Rome. Depuis ce schisme le mot orthodoxe désigne l’Eglise Orthodoxe pour l’Orient et les mots ´´Catholique´´ et ´´Catholicisme´´ attribuent à l’Eglise Catholique Romaine. Bien que chaque Eglise se revendique être Catholique dans le sens d’une vocation universelle et de l’universalité du Christ en tant que Fils de Dieu. Ils ont invente depuis cette schisme beaucoup de choses pour se différencier les uns des autres…..

Christianisme, islam ; le christianisme lui-même a donné naissance à plusieurs d’autres religions ou Eglises chrétienne telles que : Catholique, Protestantes, Orthodoxes, Evangélique.

Etymologiquement le mot religion vient du mot latin religion qui signifie ce qui attache ou retient, lien moral, scrupule utilise par les Romains, avant Jésus Christ pour designer le culte des démons. Pourtant l’origine du mot“ religion” est controversée depuis l’Antiquité. Cicéron dit qu’il vient de “relegere” qui signifie relire, revoir avec soin ou rassembler dans le sens de “considérer soigneusement les choses qui concernent le culte des dieux”.

Plut tard Lucrèce, Lactance, Tertullien voient son origine dans ce qui unit à dieu. Initialement utilise pour le Christianisme, l’emploi du mot religion s’est progressivement étendu à toutes les formes de manifestation sociale en rapport avec le sacré.

Selon quelques auteurs, c’est en analysant l’émergence des sociétés modernes occidentales qu’ils proposèrent une approche sociologique du phénomène religieux.

Pour Karl Marx la religion est une idéologie contribuant à la légitimation des pouvoirs et obscurcissant la perception du monde social en particulier les rapports de domination qui le caractérisent.

Alexis de Tocqueville pour sa part insiste les vertus de la religion.

La sociologie des religions ayant, comme toute la sociologie partie liée avec l’avènement de la modernité occidentale elle a eu tendance à s’identifier au paradigme de sécularisation. Dès ses débuts la sociologie s’est interrogée sur le devenir religieux dans les sociétés modernes occidentales.

La sociologie des religions réoccupe aujourd’hui une place de choix dans la sociologie générale, comme si l’on découvrait que la compréhension de mutations religieuse était essentielle à l’intelligence des sociétés et de leur évolution.

La religion est-ce qui crée un lien social ou qui fournit une explication globale du monde. Cette définition insiste sur les réponses aux préoccupations ultimes des individus(le mal, la mort) auxquelles la religion apporte une réponse.

Sous développement en HAïTI

Haïti pays ou règne la misère, pays destructif, pays catastrophique. Haïti est qualifié de pays le plus pauvre ou le moins développé de la planète. Le sous développement en Haïti engendre la misère, la peur,