Rapport De Stage

açon globale la société LCJ Multimédia et les différent travaux effectué durant mon stage au sein de l’entreprise.

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Présentation de l’entreprise

Lcj Multimédia SARL à été créée en 2005 par Chun-Ji LY. (Siret : 48386267800016) Titulaire d’une formation de cuisinier il voit tous de suite que sa passion de l’informatique devance son travail. C’est pourquoi il décida d’ouvrir sa propre société d’informatique. Spécialisé dans la vente et la réparation de matériel informatique, Lcj Multimédia est le partenaire technique de nombreuses agences et entreprises pour la réalisation et la maintenance de leurs parc informatique. Qu’il s’agisse d’informatique pure, d’électronique, de réseaux, de multimédia, d’assistance à la personne ou de vente de matériel, l’entreprise sera se mettre en condition pour répondre à l’attente du client, de plus le parc de matériel est en constante évolution afin de pouvoir proposer du matériel toujours plus innovant. Cela permet de conforter sa position de leader dans le pays de Gex. Qualité, disponibilité, maîtrise et sécurité son ces maîtres mots.

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Travaux effectués

- Ouverture / Fermeture et entretien du magasin - Préparation des commandes et écriture de devis - Réparation informatique et éléctronique au magasin ainsi qu’à domicile

- Instalation de réseaux informatiques

- Aide aux personnes à distance.

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Etude technique

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Solid State Drive

- Qu’est ce qu'un SSD ? - La mémoire flash - Secteur, pages, blocs - Le commande TRIM

- Conseil d’utilisation

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Qu’est ce qu’un SSD ?

C’est un support de stockage qui enregistre les données sur de la mémoire flash. Donc, sans moteur, ni plateau en rotation. Evitant ainsi l’usure mécanique, le SSD est beaucoup plus résistant aux chocs et aux vibrations que les disques durs classiques. Il limite également le bruit du composant ainsi que sa consommation électrique.Le poids d’un disque SSD est aussi 75 % plus léger comparé au disque dur classiques. Les SSD sont trois fois plus rapides que les disques traditionnels Leurs technologie permettent d’atteindre de très hautes performances, notamment grâce à un accès aux données presque instantané et à des vitesses de lecture époustouflante (100 Mo/s à 120 Mo/s).

Disque Dur Classique

Disque SSD

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La mémoire flash

Tous le fonctionnement du SSD provient en fait des caractéristiques de la mémoire qu'il embarque.

La mémoire flash est une mémoire de type EEPROM (Electronicaly Erasable Programmable Read Only Memory) qui est une mémoire en lecture seule. Mais contrairement à la ROM qui de base est écrites une bonne fois pour toutes lors de sa fabrication, la EEPROM est programmable, ce qui signifie qu'elle peut être écrite en dehors du processus de fabrication, mais aussi et surtout, elle est effaçables, ce qui permet ensuite de la programmer à nouveau.

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Secteur, blocs, pages

Le “secteur” est l'unité d'adressage de base d'un disque dur. Il fait quasiment toujours 512 octets, et la norme ATA à repris cette taille de 512 octets comme l'unité de base pour les transferts. Ainsi, quand on envoie un secteur à écrire sur le disque dur, le contrôleur n'a pas à se poser de questions, il a simplement à écrire le secteur à l'endroit demandé, sans se soucier des données existantes, qui sont écrasées.

Avec un disque SSD c’est une autre histoire...

Le contrôleur du SSD n'utilise pas les mêmes unités d'adressage physique qu'un contrôleur de disque dur. Plus de “Secteur”. Le SSD fonctionne avec des “Pages” et des “Blocs”.

Les pages sont les unités de base pour la lecture et l'écriture. Leurs tailles sont généralement comprises entre 1 Ko et 4 Ko. Il s'agit donc de la taille minimale qui peut être lue ou écrite lors d'une opération. Le bloc est l'unité de base pour l'effacement des données. Sa taille est généralement comprise entre 128 Ko et 512 Ko. Ce qui fait qu’un même secteur logique n'est pas toujours écrit dans la même page. De plus à chaque fois que le contrôleur doit écrire des données dans une page qui a déjà été écrite, tout le bloc contenant cette page doit être effacé, pour permettre la réécriture de la page concernée.

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La commande TRIM

Comme un même “secteur logique” n'est pas toujours écrit dans la même “page”, il est très important que le contrôleur du SSD dispose tous le temps d'une information la plus fiable sur la validité des données qu'il possède.

En effet, lorsqu'on supprime un fichier, le système se contente actuellement de supprimer son entrée dans les descripteurs du système de fichiers, mais ne l'efface pas physiquement, car sa ne sert à rien sur un disque dur standard (une écriture avenir au même endroit peut se faire sans effacement préalable).

Sur un SSD ce mode de fonctionnement peut engendrer des écritures inutiles et user les puces. La solution à ce problème est la commande TRIM (En anglais "rogner"). Lors de la suppression d'un fichier, le système d'exploitation enverra cette commande au SSD pour lui indiquer la liste des secteurs logiques correspondant au fichier supprimé, et le contrôleur marquera alors les pages concernées comme étant effaçables.

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Conseil d’utilisation

Éviter les écritures inutiles

Il faut évitez l'écriture excessif de fichiers (fichier temporaires et de cache) sur un SSD. Ces écritures vont engendrer des effacements inutiles et vont augmenter la fragmentation physique, donc dégrader les performances.