J. Pradel : La Parque Assistée Par Le Droit, D. 2005, p 2106

charnement thérapeutique « respecter la vie de quelqu’un… c’est soulager sa douleur physique ». Enfin, elle est contestée par les membres des professions médicales, tant sur le plan de leur convictions que sur le plan de leurs intérêts. Selon le code pénal, l’euthanasie est donc un crime, on peut « laisser mourir » si le patient le désir mais on ne peut le « faire mourir ». Par contre dans certains pays comme les pays bas, il ya une exception d’euthanasie selon la loi du 12 avril 2001. Il faut que certaines conditions soient remplies : le médecin doit être sur que l’état du malade soit insupportable et plus aucunes améliorations possibles, il doit consulter un confrère qui doit avec la même opinion, et il doit respecter le choix du patient qui souhaite en finir et que celui-ci l’ait mentionné par écrit. En France pour le cas d’un malade qui n’est pas en fin de vie, le médecin doit prendre sa volonté en considération. Ça volonté peut être retirée à tous moment. La décision du patient doit être éclairée c’est pourquoi les médecins peuvent lui laisser un temps plus ou moins long de réflexion. Ensuite, ça décision est inscrite sur son dossier médical. Il en est de même pour les personnes en fin de vie. Mais cette décision doit être prise par un patient lucide, sinon c’est à l’entourage de prendre cette décision. En ce qui concerne une manifestation anticipée de la volonté d’une personne, elle doit être majeure et doit désigner la personne de son choix pour présenter les choix thérapeutiques dans le cas où elle ne serait plus en l’état de le faire. Ces volontés doivent être rédigée en tout état de cause et doivent avoir étaient établies moins de trois avant le début de l’état d’inconscience.