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Rapport de stage 3ème

Rapport de stage : Rapport de stage 3ème. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  9 Avril 2019  •  Rapport de stage  •  1 528 Mots (7 Pages)  •  986 Vues

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Lundi

Premier jour de stage. Je fais l'accès à la station de ski d'Avoriaz (1800 m) par le télécabine ( des Prodains ). Lors de la montée, le téléphérique restera bloqué pendant 30 minutes au dessus du vite… !! .Du coût, j'ai le temps d'être impressionné par la structure du téléphérique 3s qui signifie trois câbles, deux porteurs et un tracteur ; une remarquable réalisation.

Après avoir été équiper de haut en bas je débute la journée dés 9h30 sur une formation obligatoire sur la sécurité avec Cédric, qui durera toute la matinée.

Après le repas, on me donna une radio pour pouvoir me contacter n'importe ou dans la montagne. je repart dans le sous sol de l'ancienne arrivé de téléphérique ou l'on m'explique très rapidement le fonctionnement de l'appareil. Puis direction dans un petit chalet situer au départ d'un téléski pour l'entretien d'un radiateur tombé en panne.

Pas de repos, direction le sommet de la station situer à 2277m pour une tentative de réparation d'une remontée mécanique ayant des problème au niveau des vitesses. Malheureusement mon accompagnateur de cette journée ne trouvera pas la solution tous comme ses collègue. En haut le vent soufflait très fort la neige ; des plaques avants était entrain de ce formé. Nous descendons les pistes pour parvenir à un autres télésiège qui nous transportera vers un autres sommet à 2250m, afin de réaliser des testes mensuel sur la remontée mécanique. Retour au centre ville d'Avoriaz, quelque dernier rangement avant de repartir.

Conclusion : cette première journée ma permis de m'intégrer à l'ensemble du personnel et de découvrir dès le premier jour, le vaste travail d'exploitation d'une station de ski .

Mardi

Arrivée à la station à 8h30, pour se début de journée je remonte au sommet avec un autres accompagnateur (Roger) pour la réparation d'hier qui n'avait pas porter ces fruits. Nous montons donc dans la machinerie du télésiège, je bénéfice alors de quelques explications :

La machinerie d'un télésiège est composé d'un moteur électrique alimenter souvent par du 500v mais également d'un moteur thermique afin d'évacuer les skieurs en cas de coupure électrique ou en panne.

Direction ensuite vers un télésiège plus bas (1500m) pour détailler le fonctionnement d'une remontée mécanique :

La pince (morse) du support de la cabine se débraye du câble par un système situé en haut cabine. Elle continue alors à une vitesse normal, tandis que la benne continue son parcours sur de petites roues pneumatiques qui entraînent à faible vitesse la cabine. Les roues à pneus sont entraînées par plusieurs poulies qui la ralentisse petit à petit en fonction de leur diamètre ; c'est par ce système compliqué que la cabine du télésiège ralentie lors de son arrivée en gare. Lorsque la cabine se relance, pour une montée ou une descente la pince s'ouvre de nouveau par un système complexe, elle se referme donc sur le câble pour pourvoir ainsi repartir.

Après le repas, nous devons avec les électriciens partir en peu partout dans la station afin de réparer quelques problèmes non prioritaires. A la fin de la journée je rate la chance (de justesse) car j'aurais bien aimé monter au sommet d'un pilonne du téléphérique (15m). Je resterais alors devant un écran… ! relié au pilonne pour observer leur travail .

Mercredi

Arrivée à Avoriaz à 8h30. Début de journée, je parcours les pistes encore damée pour aller réaliser un contrôle mensuel sur un télésiège avec Roger. Pendant toute la matinée nous ferons alors des testes pour entretenir plusieurs télésièges, téléski.

Dans l'après-midi, je visite l'énorme machinerie du téléphérique des Prodains de Morzine-Avoriaz avec Michel, accompagner de plusieurs explications :

Les gares du téléphérique (départ et arrivée) ont 8 (dont 4 de secours) moteurs électriques pour faire tourner les roues pneumatique lentement, afin qu'elle entraîne à une vitesse réduite les cabines à dans la gare.

Le téléphérique possède une vitesse de 7 m/s soit 25,1 km/h et une capacité de 2400 personnes/h.

L'appareil est munit de plusieurs capteur pour calculer l'espace entre les 12 cabines que possède

ce téléphérique, si une cabine prends de l'avance ou du retard, le conducteur de la remontée mécanique ralentie ou accélère le moteur pour que le cabine revient dans une distance d'écart normal. (sur ce téléphérique chaque cabine est séparer de 439m). Après un arrêt à cause d'un mauvais débrayage, j'ai la chance de redémarrer moi même le téléphérique.

C'est vers 16h30 que ma troisième journée s’achève.

Jeudi

Arrivée à 8h30 à Avoriaz. Montée à 2300m à 8h45 pour réparer une échelle qui permet d'accéder au sommet du téléski en compagnie de Damien, apparemment elle aurait été abîmée par une dameuse la nuit dernière. Malgré les -21°C..., je ne ressentais plus le froid… !

Nous accédons alors au sommet du téléski avec une échelle et deux colliers de serrage de 2kg chacun en empruntant un télésiège. Nous sommes alors obligé d'arrêter le télésiège au risque de perde du matériel. Arrivée à l'endroit de notre intervention, j'aide à placer l'échelle de service contre le pilonne, pendant que mon accompagnateur est entrain d'installer le collier de serrage , qui servira à fixer la nouvelle échelle. Après la réparation, nous descendons les pistes (rouge) avec l'échelle pour la stoker dans un hangar.

Après le repas, je participe au déménagement du local des employés du service mécanique. J'adhère alors à plusieurs manutentions ( menuiserie, électricité, mécanique...)

Vendredi

Arrivée à 8h30 à Avoriaz. Visite une nouvelle fois de la gare pour des révision mais également des nouvelle explications de plus en plus précise.

On monte bien évidement en chaussure de ski que l'on garde toute la journée, pour : si des interventions se produise (comme des pannes de télésiège, composant défectueux ) mais également, profitent de ces déplacement, pour effectuer de petites réparations qui ne sont pas impérativement prioritaires. Travailler en chaussure de ski toute la journée pour grimper au sommet des pilonnes à plus de 10m du sol n'est pas toujours évident, c'est pour cela que les employé

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